« Page:Taine - Carnets de voyage, 1897.djvu/145 » : différence entre les versions
Aucun résumé des modifications |
|||
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
{{t3mp|DE LYON |
{{t3mp|DE LYON À BESANÇON}} |
||
Il a plu énormément, toutes les rivières sont débordées ou gonflées. Je retrouve la sensation ancienne, celle que j’ai eue autrefois l’hiver en revenant d’Hyères. Lyon est bien la limite du pays sec et du pays humide — les deux plus grands contrastes de la nature. — Mais aujourd’hui mon impression est autre : c’est le pays humide qui m’attriste. |
Il a plu énormément, toutes les rivières sont débordées ou gonflées. Je retrouve la sensation ancienne, celle que j’ai eue autrefois l’hiver en revenant d’Hyères. Lyon est bien la limite du pays sec et du pays humide — les deux plus grands contrastes de la nature. — Mais aujourd’hui mon impression est autre : c’est le pays humide qui m’attriste. |