« Page:Erckmann-Chatrian - L’Ami Fritz.djvu/288 » : différence entre les versions
m Pmx: split |
|||
État de la page (Qualité des pages) | État de la page (Qualité des pages) | ||
- | + | Page corrigée | |
En-tête (noinclude) : | En-tête (noinclude) : | ||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
{{nr|278|L’AMI FRITZ.|}} |
|||
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
bataille, et je regarderais de loin avec calme. » |
la bataille, et je regarderais de loin avec calme. » |
||
Hâan était de trop bonne humeur pour se fâcher. |
Hâan était de trop bonne humeur pour se fâcher. |
||
Ligne 5 : | Ligne 5 : | ||
« À quelle heure le dîner ? demanda-t-il. |
« À quelle heure le dîner ? demanda-t-il. |
||
— À midi, monsieur. » |
|||
⚫ | |||
⚫ | Ils entrèrent dans le vestibule, pendant que Zimmer dételait ses chevaux et les conduisait à l’écurie. Le vestibule s’ouvrait au fond sur un jardin ; à gauche était la cuisine : on entendait le tic-tac du tournebroche, le pétillement du feu, l’agitation des casseroles. Les servantes traversaient l’allée en courant, portant l’une des assiettes, l’autre des verres ; le sommelier remontait de la cave avec un panier de vin. |
||
« Il nous faut une chambre, dit Fritz à l’aubergiste, je voudrais celle de Hoche. |
« Il nous faut une chambre, dit Fritz à l’aubergiste, je voudrais celle de Hoche. |
||
Ligne 11 : | Ligne 13 : | ||
— Impossible, monsieur Kobus, elle est prise, les Prussiens l’ont retenue. |
— Impossible, monsieur Kobus, elle est prise, les Prussiens l’ont retenue. |
||
— Eh bien, donnez-nous la voisine. » |
|||
⚫ | |||
Le père Lœrich les précéda dans le grand escalier. Schoultz ayant entendu parler de la chambre du général Hoche, voulut savoir ce que c’était. |
|||
⚫ |