« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Tirant » : différence entre les versions

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<references />
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| width=33% style="background: #ffe4b5" | <center>[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index Tome 9|Index par tome]]</center>
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=== TIRANT ===
s. m. Pièce de fer ou de bois qui maintient l'écartement des
arbalétriers d'une ferme, ou le dévers de deux murs parallèles, ou la
poussée d'un arc. Les entraits, dans les charpentes de combles, sont de
véritables tirants (voy. [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 3, Charpente|Charpente]]). Pour fermer leurs voûtes, les constructeurs
du moyen âge plaçaient provisoirement des tirants, afin d'éviter
les poussées, en attendant que les piles fussent chargées. Ces tirants
étaient habituellement de bois, et étaient sciés au ras de l'intrados du
sommier des arcs, quand les constructions étaient terminées. À la cathédrale
de Reims, ces tirants étaient de fer, avec des œils passant dans des
crochets qui sont restés en place. Il est peu de voûtes de collatéraux où
l'on n'ait l'occasion d'observer la trace de ces tirants.