« Page:Doyle - Sherlock Holmes triomphe.djvu/252 » : différence entre les versions

Nouvelle page : <noinclude>{{PageQuality|1|}}<div class="pagetext"> </noinclude>presque à la folie. On a donc supposé que c’était sous l’empire de ce sentiment qu’elle avait commis ce cri...
(Aucune différence)

Version du 8 février 2008 à 22:46

Cette page n’a pas encore été corrigée

presque à la folie. On a donc supposé que c’était sous l’empire de ce sentiment qu’elle avait commis ce crime qui a causé à Londres une telle émotion. Il a été jusqu’ici impossible de suivre sa trace pendant la nuit de lundi, mais une femme correspondant à son signalement a vivement attiré l’attention le mardi matin à la gare de Charing-Cross par le désordre de sa toilette et la violence de ses gestes. Il est donc probable que le crime a. été commis par elle sous l’empire de la folie, ou bien qu’il a eu pour effet immédiat de lui faire perdre la raison. Actuellement, elle est hors d’état de pouvoir raconter ce qui s’est passé, et les médecins ont peu d’espoir" de la guérir. On a constaté qu’une femme répondant à son signalement a surveillé lundi soir pendant plusieurs heures la maison de Godolphin Street. »

— Que pensez-vous de cela, Holmes ? lui dis-je après avoir lu à haute voix, pendant le déjeuner, le compte rendu du journal.

— Mon cher Watson, dit-il en se levant de table et en marchant de long en large dans la pièce, vous avez une patience d’ange, mais si je ne vous ai rien dit depuis trois jours, c’est