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autorise la calomnie, qui a donné le nom au Diable, Non est
autorise la calomnie, qui a donné le nom au Diable, Non est
peccatum saltem lethale detrahentis auctoritatem magnam tibi
peccatum saltem lethale detrahentis auctoritatem magnam tibi
noxiam falso crimine elidere [p. i8y sqq.].
noxiam falso crimine elidere [''p. 187 sqq.''].


Arnauld. — Seconde Lettre.... à un duc et pair.
Arnauld. — Seconde Lettre.... à un duc et pair.
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p. 61... On tonnoit en mesme temps dans les chaires 1 . On
p. 61... On tonnoit en mesme temps dans les chaires 1 . On


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Père. Et pour prouver cette impudente calomnie, ils mettent à la marge. Voyez les règles de V es tab lisse ment des filles du S. Sacrement imprimées. Qui est un livre qui ne fut jamais » (note d' Arnauld) [p. 2o4]- — U Analyste était attribuée au Père Seguin. A cette époque, les Constitutions de Port-Royal n'avaient pas encore été imprimées.
Père. Et pour prouver cette impudente calomnie, ils mettent à la marge. ''Voyez les règles de l'establisssement des filles'' ''du S. Sacrement imprimées''. Qui est un livre qui ne fut jamais » (''note d' Arnauld'') [p. 204]- — U Analyste était attribuée au Père Seguin. A cette époque, les Constitutions de Port-Royal n'avaient pas encore été imprimées.


1 . « Le P. d'Anjou Jésuite preschant à S. Benoist le 8. de Mars dernier [1655] avança en pleine chaire cette estrange calomnie : Qu'il sçavoit de science certaine que les aumosnes publiques qu'on avoit recueillies pour les pauvres de Champagne et de Picardie avoient esté employées pour la
1 . « Le P. d'Anjou Jésuite preschant à S. Benoist le 8. de Mars dernier [1655] avança en pleine chaire cette estrange calomnie : Qu'il sçavoit de science certaine que les aumosnes publiques qu'on avoit recueillies pour les pauvres de Champagne et de Picardie avoient esté employées pour la