« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Créneau » : différence entre les versions
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la meurtrière est tourné de façon à permettre de tirer; en C, de façon à
masquer l’ouverture. Ces merlons, très-étroits d’ailleurs, sont munis de
profils pour empêcher les balles de ricocher. <span id=Nuremberg>Il existe des embrasures de
ce genre dans les fortifications de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes N#Nuremberg|Nuremberg]] antérieures à celles élevées
par Albert Dürer (voy. [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 5, Embrasure|Embrasure]]). On voit aussi, sur les courtines
réunissant
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[[Image:Creneau.Nuremberg.png|center]]
<div class="text">
Plusieurs des courtines de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes N#Nuremberg|Nuremberg]] sont munies de crénelages en bois
posés au-dessus des parapets, percés d’embrasures pour les bouches à
feu, ainsi que l’indique la fig. 18. Évidemment ces crénelages en bois,
Ligne 384 :
[[Image:Creneau.Nuremberg.2.png|center]]
<div class="text">
Les tours de commandement de l’enceinte de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes N#Nuremberg|Nuremberg]], élevées par
Albert Dürer, sont couronnées par des crénelages en bois avec volets
destinés à garantir les artilleurs qui servaient les pièces de petit calibre
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