« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Soubassement » : différence entre les versions

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près de l'œil. Pour s'en convaincre, il suffit d'examiner les soubassements
des portails des cathédrales de Chartres, de Rouen, de Sens
(XII<sup>e</sup> siècle); ceux des cathédrales de Paris, d'[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes A#Amiens|Amiens]], de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes N#Noyon|Noyon]], de
Reims, d'[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes A#Auxerre|Auxerre]] (XIII<sup>e</sup> siècle); de Rouen (de la Calende et des Libraires),
de Lyon (XIV<sup>e</sup> siècle). Quelle que soit d'ailleurs la richesse des décorations
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une ordonnance spéciale: comme, par exemple, la belle arcature des ébrasements
de la porte de la Vierge sur la face occidentale de la cathédrale
de Paris<span id="note2"></span>[[#footnote2|<sup>2</sup>]]; <span id=Noyon>ou encore la tapisserie inférieure de la porte centrale de Notre-Dame de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes N#Noyon|Noyon]] (fig. 3); <span id="Amiens105">celle des trois portails de la cathédrale
d'[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes A#Amiens|Amiens]], si amplement composée.