« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Arc de décharge » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
m [[]]
m [[]]
Ligne 30 :
décoration, et lorsqu'en maçonnant on avait besoin d'arcs de décharge on
cherchait à les accuser, soit par une saillie, et même quelquefois par
un filet orné ou mouluré à l'extrados. <span id=Nevers>Tels sont les arcs de décharge
qui se voient le long du mur des bas côtés de l'Église St-Étienne de
[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes N#Nevers|Nevers]] (fin du XI<sup>e</sup>
</div>
[[Image:Arc.decharge.eglise.Saint.Etienne.Nevers.png|center]]
Ligne 118 :
On trouve des arcs de décharge en tiers-point, dans les galeries hautes de Notre-Dame
de Paris, dans le triforium des nefs des cathédrales d'[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes A#Amiens|Amiens]] (79),
de Reims, de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes N#Nevers|Nevers]]. Mais à [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes A#Amiens|Amiens]], les fenêtres supérieures étant posées
sur la claire-voie intérieure du triforium, ces arcs de décharge ne portent
que le poids d'un mur mince, qui ne s'élève que jusqu'à l'appui du fenestrage.