« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Porte » : différence entre les versions

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d'une poterne très-relevée au-dessus du sol extérieur, dans un endroit
spécial, bien masqué et flanqué; ils étaient hissés dans la forteresse au
moyen d'un plan incliné, disposé en face de cette poterne. <span id=Mont.Saint.Michel.en.Mer>Il y avait au
[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes M#Mont.Saint.Michel.en.Mer|Mont-Saint-Michel -en -mer]] une longue trémie ainsi pratiquée sur l'un
des flancs de la forteresse supérieure, en face de la porte de mer.
Cette trémie, en maçonnerie, aboutissait à une poterne munie d'un treuil,
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féodales (car ils étaient seigneurs féodaux), voulaient conserver à leurs
établissements le caractère pacifique qui convenait à l'institution. Excepté
dans quelques abbayes, qui, comme celle du [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes M#Mont.Saint.Michel.en.Mer|Mont-Saint-Michel -en -mer]],
étaient des forteresses du premier ordre, les entrées, tout en présentant
quelques signes de défense, n'accumulent pas les obstacles formidables