« Épître amoureuse d’un puriste, dédiée à M. Blavet » : différence entre les versions
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<div class="text" > {{TitrePoeme|[[Auteur:Alphonse Allais|Alphonse Allais]]||Complainte amoureuse<br /><small>republiée dans ''Par les bois du Djinn''
▲{{TitrePoeme|[[Auteur:Alphonse Allais|Alphonse Allais]]||Complainte amoureuse<br><small>republiée dans ''Par les bois du Djinn'' – Fayard (1997)</small>}}
Beauté féroce, vous me plûtes ; ▼
De l’amour qu’en vos yeux je pris,
Sur-le-champ vous vous aperçûtes ; ▼
▲Oui, dès l'instant que je vous vis,
Mais de quel air froid vous reçûtes ▼
▲Beauté féroce, vous me plûtes ;
En vain je priai, je gémis : ▼
▲Sur-le-champ vous vous aperçûtes ;
Dans votre dureté vous sûtes
▲Mais de quel air froid vous reçûtes
Même un jour je vous écrivis ▼
▲En vain je priai, je gémis :
Et je ne sais comment vous pûtes ▼
▲Même un jour je vous écrivis
Fallait-il que vous me plussiez,
▲Et je ne sais comment vous pûtes
▲De sang-froid voir ce que j'y mis.
Fallait-il que je vous
Que vous me désespérassiez, ▼
▲Qu'ingénument je vous le disse,
Et qu’en vain je m’opiniâtrasse,
▲Qu'avec orgueil vous vous tussiez !
Pour que vous m’assassinassiez ! </poem> </div>
▲Que vous me désespérassiez,
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