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AU P ACDJOUE.


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polition qu’Yale. Avant la découverte des mines du Caribou, Hope avait \IDe importance CODSidérablej aujourd’hui elle e&t enfoncée et se dépeuple. l’{oua aperçQmol devant nous le. lumi_res de New-Westminster au commeDCemeDt de la nuit et, UDe demi-beure plus tard, nous étions _onfor’-blemeDt install6s 11’H6tel Colonial.

La cité de New-Westminster, capitale de la ColomlNe Britannique, OŒupe une position dominante, sur un lerrain qui s"lève par degrés, du bord du tleuve, large en cet endroit de trois quarts de mille. Le plia de la ville a été heureusement tracé par le colonel du génie Moody, qui vient d’être nolDmé Commissaire des terres et des travaux’ Commiuioner of Lands and Workl). On a déjà élevé plusieura rues de bonnes maisons de bois.

Le désavantage de la situation est l’épaisseur de la futaie colossale qui l’enve)oppe. Le peu d’éclaircie qu’on y a déj ! fait est dû à un grand travail, etfecb.té IOUS la direction d’ingénieurs qui y sont. et.bli. depuil pluaieurs anD_e8, et, quoique la terre y soit as..8 fertile, les frais d’abattre les arbres sont si oDéreux que l’asricubure y elt encore fort,peu avancée. Le pays reste désagréable à la. vue, à cause des southea d’arbres qui lurgisaent de toutes parts. Le Deuve est navigable jusqu’à la ville pour des navires calant dix-huit à vingt pieds d’eau, et, si l’on y établissait une communication directe avec l’Angleterre, New

Westminster pourrait rivaliser avec Victoria de Vancouver ; mais, dans les circonstances actuelles, elle est tout à fait éclipsée’ par cette ville plus favorisée.

Après une nuit passée à New-Westminster, nous nous sommes embarqués, le 19 septembre, sur l’Enterprise qui allait à Victoria, dans l’tIe Vancouver. À notre grande surprise, nous nous rencontrions avec M. O’H., qui était arrivé par la route de Lilloet et de Douglas. Il était singulièrement cbangé depuis que DOUS l’avions quitté une semaine auparavant. Comme nous