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refroidie a fait à la puce des souliers persiques ; en les déchaussant, il a mesuré l’espace. |
refroidie a fait à la puce des souliers persiques ; en les déchaussant, il a mesuré l’espace. |
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{{personnage|STREPSIADÈS.|c}} O Zeus souverain, quelle finesse d’esprit ! |
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{{personnage|LE DISCIPLE.|c}} Que serait-ce, si tu apprenais une autre invention de Sokratès ? |
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{{personnage|STREPSIADÈS.|c}} Laquelle ? Je t’en prie, dis-la-moi ? |
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{{personnage|LE DISCIPLE.|c}} Chéréphon, du dème de Sphattos, lui demandait s’il pensait que le bourdonnement des cousins vînt de la trompe ou du derrière. |
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{{personnage|STREPSIADÈS.|c}} Et qu’a-t-il dit au sujet du cousin ? |
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{{personnage|LE DISCIPLE.|c}} Il a dit que l’intestin du cousin est étroit ; et que, à cause de cette étroitesse, l’air est poussé tout de suite avec force vers le derrière ; ensuite, l’ouverture de derrière communiquant avec l’intestin, le derrière résonne par la force de l’air. |
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{{personnage|STREPSIADÈS.|c}} Ainsi le derrière des cousins est une trompette. Trois fois heureux l’auteur de cette découverte ! Il doit être facile d’échapper à une poursuite en justice, quand on connaît à fond l’intestin du cousin. |