« Nobiliaire du diocèse et de la généralité de Limoges. Tome IV » : différence entre les versions
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B. – Après la paix de 1580, il alla chercher de la gloire aux Pays-Bas, y menant, comme volontaires, au duc d’Anjou, cinquante gentilshommes des meilleures maisons d’Auvergne et du Limousin, qui voulurent bien, non-seulement marcher sous ses ordres, mais encore prendre ses livrées. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
En 1585, il avait assemblé de la cavalerie et de l’infanterie dans le Limosin, le Périgord et le Quercy. Le prince de Condé espérait, en octobre, qu’il lui emmenerait à Brouage quatre au cinq mille hommes dans peu de jours, et qu’il prendrait le commandement du siège de cette ville en son absence. Le vicomte y conduisit en effet quelques troupes. ; mais, dès qu’il vit arriver le maréchal de Matignon, il les congédia. V. V<small>AISSETTE</small>, p. 419. Le lendemain de la bataille de Contras, 1587, M{{exp|r}} de Turenne, croiant que, la réputation de son gain aurait tellement effrayé les provinces de Périgord et de Limosin, que tout se réduirait sous sa puissance, débaucha le tiers de l’armée du roi de Navarre, qui fut depuis Henri IV, pour la mener en ces provinces, sous des espérances qu’il donnait et promesses qu’il faisait de les faire tous riches de butin, et de chasser la religion catholique de ces provinces. Néantmoins, il n’y fit rien qui vaille, il ne prit pas une bicoque et fut bien battu à Sarlat. Le 13 décembre, le siège de Turenne fut levé. En 1588, voyez V<small>AISSETTE</small>, p. 424, 425. En 1591, il leva des troupes en Limosin
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