« Nobiliaire du diocèse et de la généralité de Limoges. Tome I » : différence entre les versions

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[[Catégorie:Études historiques]]
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</div><div class="text" style="text-align; width:40em;"><font face="Times New Roman" size="3">
 
 
='''Corps du document'''=
=='''ALBANI-ALESME, p. 26'''==
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ou des Chadauds, damoiseau de Montbrun, fils de feu Pierre ''de Casalibus'', damoiseau, par contrat du 20 février 1364.
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:{{refa|4}} Châtelus-le-Marcheis, canton de Bénévent, arrondissement de Bourganeuf (Creuse).
:{{refa|5}} Près St-Léonard (Haute-Vienne). – Plusieurs Dalesme de Rigoulène ont été trésoriers de France au bureau de la généralité de Limoges.
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=='''AUBOUX-AUBUSSON, p. 44'''==
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Louis Auboux, S{{exp|r}} d’Esteveny, S{{exp|r}} de La Maison-Rouge, paroisse de....., fut maintenu par M. d’Herbigny, intendant.
<div class="centertext" style="text-align; width:40em;">
Louis Auboux, S{{exp|r}} d’Estevenv, S{{exp|r}} de La Maison-Rouge, paroisse de....., fut maintenu par M. d’Herbigny, intendant.
</div>
 
Jean-Claude d’Auboust, S{{exp|gr}} des Vergnes de Saint-Maurice et de Bagueville ({{refl|1}}) demeurant dans la paroisse du dit lieu de Saint-Maurice, près Crocq, diocèse de Limoges, province de la Marche, fut maintenu dans la qualité d’écuyer par ordonnance de l’intendant de Moulins du 9 novembre,1700. Il fut marié, le 18 avril 1692, avec Françoise du Pouyet, dont il eut Claude-René Auboust des Vergnes, né le 22 avril 1697, reçu page du roi dans sa grande écurie le 30 janvier 1712 ({{refl|2}}).
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:{{refa|3}} Le père Anselme (Hist. généalogique, t. V) dit, d’après Baluze, que dans lé Limousin, ces vicomtes furent Faucher de Ségur pour le Haut-Limousin ; Adhèmar des Echelles pour le Bas-Linousin, et Ranulfe d’Aubusson pour la partie de cette province que l’on nomme la Marehe, Quoique ces emplois de vicomte ne fussent que personnels, leurs descendants s’en firent depuis un titre d’honneur
:{{refa|4}} La Feuillade dans la paroisse de Faux-la-Montagne, canton de Gentioux, arrondissement d’Aubusson (Creuse). – Il y a vingt ans a peine que la famille d’Aubusson a vendu cette terre. L’antique manoir est depuis longtemps en ruines. – La Borne est près d’Aubusson, – Le Monteil-au-Vicomte est une paroisse du canton de Royère, arrondissement de Bourganeuf (Creuse), où l’on voit encore le donjon du château. – La Chassagne, dont on parle un peu plus bas, est une terre située dans la paroisse de Saint-Quentin, près Felletin, arrondissement d’Aubusson (Creuse).
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=='''AUBUSSON, p. 45-84'''==
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<div class="centertext" style="text-align; width:40em;">
premier comte de la Marche ({{refl|1}}), prit un lieutenant dans la maison d’Aubusson, environ l’an 860. Ce lieutenant, dont nous ne savons point le nom, fut appelé vicomte d’Aubusson à cause que ces lieutenants des comtes, pour se distinguer les uns des autres, et se faire connaître chacun en particulier, ajoutaient au titre de leur dignité celui de la terre principale qu’ils possédaient. Ainsi les seigneurs d’Aunay, de Limoges, de Rochechouart, de Comborn, de Turenne, de Polignac, qui étaient vicomtes de Poitou, de Quercy, de Périgord et d’Auvergne, comme les vicomtes d’Aubusson étaient vicomtes de la Marche, se faisaient appeler, du nom de leurs terres, les vicomtes d’Aunay, de Limoges, de Rochechouart, de Comborn, de Turenne et de Polignac.
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:––––––––––
:{{refa|1}} Dans l’Art de vérifier les dates, les bénédictins font Geofroi premier comte, non de la Marche mais de. Charroux, en… C’eat Boson I{{exp|er}} qui fut premier comte de la Marche vers le milieu du <small>X</small><sup>e</sup> siècle.
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<div class="centertext" style="text-align; width:40em;">
Barthélémy de Bénévent, sont encore des monuments authentiques de leur piété libérale. Je ne di,sdis rien du monastère de Fontevraud, auquel Ramnulphe III donna le village de Blessac ({{refl|1}}) lorsque sa fille en était prieure, ni du monastère même de Blessac, que Renaud VI fonda environ l’an 1100, et où, sur la fin de ses jours, il se rendit religieux. (Voyez mes Mémoires, T. I, p. 93.)
</div>
 
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:{{refa|3}} Moutier-Rozeille, canton de Felletin, arrondissement d’Aubusson (Creuse).
:{{refa|4}} Evaux, chef-lieu de canton, arrondissement d’Aubusson (Creuse)
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<div class="centertext" style="text-align; width:40em;">
Robert [qualifié vicomte d’Aubussoan sur la fin du xe<small>X</small><sup>e</sup> siéclesiècle ({{refl|1}}) donna, en qualité de vicomte d’Aubusson, deux mas au monastère de Tulle pour la sépulture d’un de ses fils, mort enfant vers l’an 950, ou mieux 930, puisque son frère Rainaud était. déjà qualifié de vicomte. On présume qu’il mourut peu après ({{refl|2}}) sans enfants mâles. Il fut vraisemblablement père d’Officine, petite-nièce de l’évêque Turpion.
</div>
 
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Il épousa....., dont il eut 1° Rainald, qui suit ; 2° Agnès, mariée a Gulpherius de Las Tours, auquel elle porta la moitié du château de Gimel ; [3° la supérieure de Blessac, dont on vient de parler].
 
 
 
VI. –Rainald, troisième du nom, qui rétablit le monastcre de Moutier-Rauzeille, en 1070, épousa....., dont Agnès, mariée à Bernard de La Roche-Aymon, dite sœur de Gui.
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:{{refa|1}} On remarque de a contradiction entre 1es notes de Nadaud et celles de Legros ; nous ne nous chargeons pas de l’expliquer.
:{{refa|2}} Voir la note précédente.
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<div class="centertext" style="text-align; width:40em;">
Gérald, évêque de Cahors, dans une lettre a l’empereur Frédéric, le priede faire mettre en liberté son cousin, vicomte d’Aubusson, ''de Albucione'', marquis de ce pays, et tous les autres, avec restitution entière de ce qu’on leur a enlevé.
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:{{refa|2}} Bénévent, chef-lieu de canton, arrondissement de Bourganeuf (Creuse).
:{{refa|3}} Le père Anselme ne parle des armoiries de la famille d’Aubusson qu’en nommant Raynaud V ; comme tout le monde sait que les armoiries proprement dites ne sont pas antérieures aux croisade, nous laissons celles de cette famille comme celles des autres, en tête de la généalogie,
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<div class="centertext" style="text-align; width:40em;">
des barons de La Borne, des marquis de Cassain-Grimond, des seigneurs de Bausson ou Bansson en Auvergne et de Reillat, en Périgord.] ({{refl|1}}).
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:{{refa|1}} Jusqu’au numéro XI de cette généalogie, Nadaud et Legros ont entassé notes sur notes avec une confusion incroyable. Sans rien ajouter au manuscrit, nous avons recours a l’Histoire généalogique des grands officiers de la couronne, par le P. Anselme, pour établir les numéros d’ordre, qui ne nous paraissent pas encore complètement exacts, puisqu’ils renferment un collatéral, et qu’on a négligé, dans les autres cas, les vicomtes qui ne se succèdent pas de père en fils.
:{{refa|2}} « Du consentement duquel, et se qualifiant dame de Felletin, elle donna au prieuré de Blessac la moitié de la leyde du blé que l’on vendoit dans sa ville de Felletin. L’acte est du 27 mars 1273. Elle y parle de Raynaud, son aïeul », dit le P. Anselme (Histoire des grands officiers de la couronne, T. V. : Généalogie des d’Aubusson). – Cette Alengarde, connue dans la Marche sous le nom d’Orengarde, et faussement estimée femme d’Audebert III, comte de la Marche, avait un château à Felletin. La tradition locale rapporte que cette pieuse darne remplaça l’odieux impôt qu’on prélevait sur chaque femme de la ville, après ses couches, par une offrande d’huile, qui, servant a l’entretien de la lampe de l’autel, ne fut plus qu’une action de grâces envers Dieu à l’occasion des nouveau-nés.
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<div class="centertext" style="text-align; width:40em;">
eurent pour troisième enfant Guillelme d’Aubusson, dite de La Borne, femme de Pierre Vigier, damoiseau, S{{exp|gr}} de Saint-Severin au diocèse de Périgueux ; elle vivait en 1275.
Ligne 298 ⟶ 299 :
:{{refa|3}} Soubrebost, canton et arrondissement de Bourganeuf (Creuse).
:{{refa|4}} Sainte-Anne, canton d’Eymoutiers, arrondissement de Limoges (Haute-Vienne).
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<div class="centertext" style="text-align; width:40em;">
Pierre de La Chapelle, évêque de Carcassonne, quantité de rentes dans la ville de Peyrat ({{refl|1}}) et les environs, le dimanche Reminiscere, 1293, 1294.
Ligne 332 ⟶ 334 :
:{{refa|1}} Vraisemblablement Peyrat-le-Château, paroisse dans le canton d’Eymoutiers arrondissement de Limoges. – Le dimanche Reminiscere, ainsi nommé du premier mot de la messe de ce jour, est le deuxième dimanche de carême.
:{{refa|2}} Feuillade, canton de Montbron, arrondissement d’Angoulême (Charente).
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<div class="centertext" style="text-align; width:40em;">
deuxième du nom, qui suit ; 2° Raynaud, qui a fait la branche des seigneurs du Monteil-au-Vicomte ; 3° Guillaume, chevalier, duquel descendent les seigneurs et ducs de La Feuillade, lui-même étant S{{exp|gr}} de Vilhac et de La Folhade en 1445 ; 4° Gui, damoiseau, aussi S{{exp|gr}} de Vilhac et de La Folhade en 1445, et tige des seigneurs de Villac ; 5° Louis, chevalier de Saint-Jean-de-Jérusalem, précepteur de Charreyras et de Gentioux, 1445, 1468 ({{refl|1}}) ; 6° Jacques, prieur de Blessac pour les hommes, 1468 ; 7° Giles, religieux célerier en l’abbaye de Tulle, 1428, 1445 ; 8° Antoine, prieur de Breffons en 1474 (c’est tort qu’on l’a dit évêque de Bethléem en 1468, car l’évêque de Bethléem, diocèse de Nevers d’alors, s’appelait Antoine Buisson, et était Carme) ; 9° Jeanne, mariée avant 1416, à Bertrand, S{{exp|gr}} de Saint-Avit, chevalier, morte en 1452, et dont il eut des enfants ; 10° Catherine, alliée à Nicolas, S{{exp|gr}} de Maumont, veuve avec des enfants en 1455 ; 11° Marguerite, femme....., S{{exp|gr}} de Touzelles, veuve en 1441 ; 12° Marie, prieure de Blessac en 1435 ; 13° Philippe, marié, le 25 novembre 1451, à Jean de Gontaut, baron de St-Gerniez et de Badefol, chambellan du roi Charles VII.
Ligne 356 ⟶ 359 :
:{{refa|1}} Dans l’église de Gentioux, arrondissement d’Aubusson (Creuse), et dans celle de Vallière, on remarque aux clefs de voûte et dans les murs de construction la croix ancrée des d’Aubusson.
:{{refa|2}} Le Châtenet, canton de Saint-Léonard, arrondissement de Limoges (Haute-Vienne).
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<div class="centertext" style="text-align; width:40em;">
laume de Rochefort, S{{exp|gr}} de Châteauverd ; 2° à Amauri de Fontenai, baron de Fontenai en Berry, Elle vivait en 1500.
Ligne 380 ⟶ 384 :
Il avait épousé, le 9 mars 1525, Jeanne de Montal, fille d’Aimeri S{{exp|gr}} de Montal, et de Jeanne de Balzac. Une généalogie manuscrite, dressée en 1657 par Pierre Robert, président et lieutenant-général de la Basse-Marche au siège du Dorat, porte que les galanteries de cette dame, pour lesquelles son mari l’avait maltraitée, furent cause de sa mort, elle-même ayant fait rechercher la conduite de son mari, et que ses poursuites le conduisirent à l’échafaud. De ce mariage est née Jeanne d’Aubusson, dame de La Borne ou du Doignon, qui était sous la tutelle de sa mère lorsque le roi François I{{exp|er}} ordonna qu’elle serait mise entre les mains de Raoul de Coucy, S{{exp|gr}} de Vervins, qui l’épouserait quand elle serait nubile, et, à cet effet, le roi lui fit don de la confiscation des biens de son père, le 11 août 1535 ; mais cette alliance ne se fit pas, et, étant devenue majeure, elle épousa, le 9 septembre 1539, René Brachet, S{{exp|gr}} de Montagut-le-Blanc, dont elle n’eut point d’enfants. Elle fut maltraitée par son mari, qui la retenait prisonnière ; mais, à la requête de la mère et des autres parents de cette dame, il fut condamné, à peine de 10,000 livres d’amende, et d’être déclaré, lui et ses officiers, rebelles et désobéissants au roi, de la remettre entre les mains de Joseph de Beaune, lieutenant et juge magistrat au siège présidial de Limoges, par sentence du 23 mai 1555. Elle testa le 10 mars 1569, son mari vivant, et elle mourut peu après.
 
Enfants naturels de Charles, S{{exp|gr}} de La Borne cet de Françoise d’Aubusson,</font></font>
 
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<div class="centertext" style="text-align; width:40em;">
de la branche de Villac : 4° Charles ; 2° Jeanne, mariée a René Brachet ; 3° François ; 4° Claudine ; 5° Françoise.
Ligne 416 ⟶ 421 :
:{{refa|2}} Probablement paroisse de Saint-Avit-de-Tardes, canton d’Aubusson (Creuse). – On y voit encore les ruines d’un château.
:{{refa|3}} Château situé dans la paroisse de Mautes, canton de Bellegarde, arrondissement d’Aubuson (Creuse).
</small></font></font>
 
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<div class="centertext" style="text-align; width:40em;">
d’Aubusson, alliée a Jacques de Rochedragon, S{{exp|gr}} de Marsillac ({{refl|1}}) ; elle vivait en 1507.
Ligne 443 ⟶ 449 :
:––––––––––
:{{refa|1}} Paroisse du Compas, canton d’Auzances, arrondissement d’Aubusson (Creuse).
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<div class="centertext" style="text-align; width:40em;">
en Limosin ; il épousa, le 23 mai 1646, Gabrielle d’Aureille de Colombine, dont 1° François, qui suit ; 2° Jean-Marie, S{{exp|gr}} de Servières, enseigne dans le régiment du roi, et qui fit le voyage de Candie en 1669 : il vivait en 1690 ; 3° Hyacinthe, qui étudiait a Riom en 1669 ; 4° Joachim ; 5° Pierre ; 6° Antoine ; 7° Marie-Catherine, peut-être simplement Marie d’Aubusson de Banson, née a Saint-Georges d’Agelles, diocèse de Clermont, le 16 mai 1659, et morte abbesse nommée à La Règle de Limoges le 9 juin 1705 ; 8° Gabrielle-Marguerite.
Ligne 465 ⟶ 472 :
:{{refa|2}} D’abord prieur claustral de l’abbaye de Tulle, il fit sont entrée solennelle, comme évêque de cette ville, le 25 juillet 1451. Baluze raconte que Charles VIl l’envoya bientôt après, avec Jacques de Comborn, évêque de Clermont, intimer, à Lyon, au cardinal d’Estouteville, légat de Nicolas V, « défense de faire aucunes fonctions de son ministère de légat avant que d’avoir obtenu l’agrément de Sa Majesté ». Il fut inhumé dans sa cathédrale.
:{{refa|3}} Religieux bénédictin et prieur de Montagne, qui dépendait de l’abbaye de Saint-Michel-en-l’Herm, fut élu évêque de Tulle à la majorité des voix, et confirmé par sentence de l’official de Bourges le 22 mai 1455. Guichard de Comborn, abbé d’Uzerche, qui avait eu un tiers des suffrages, fit opposition, et en appela au Saint-Siège ; mais le roi reçut le serment du nouvel évêque, qui fit son entrée solennelle le 29 juin, et se fit sacrer après que le pape Calixté III eut confirmé son élection, le 27 décembre de la même année ; ce qui n’empêcha point le turbulent Guichard d’intenter un procès, que le généreux évêque arrêta, en accordant au compétiteur une pension viagère de 300 livres. Baluze assure que le pape Nicolas V avait nommé à l’évêché d’Alet, le 4 décembre 1454, Louis d’Aubusson, qui y renonça, préférant étre élu à Tulle.
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Ligne 472 ⟶ 480 :
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<div class="centertext" style="text-align; width:40em;">
maître d’Aubusson leur fit bâtir un couvent dans la ville ; 6° Souveraine [ou Subérane], mariée, l’an 1446, à Gui de Blanchefort [homme très noble, issu de la maison de Comborn] ; 7° Marguerite, seconde femme de Mathelin Brachet, S{{exp|gr}} de Montagut, bailli de Troyes et sénéchal du Limousin ; 8° Catherine, abbesse de La Règle a Limoges [en 1461], morte en 1473.
Ligne 486 ⟶ 494 :
<div style="text-align:center;">''Branche des seigneurs, comtes et ducs de La Feuillade.''</div>
 
On dit que MM. de La Feuillade ne sauraient prouver qu’ils sont venus des anciens vicomtes d’Aubusson, ni même que le grand-maître cardinal d’Aubusson fût de leur famille : « Je laisse, disait M. Amelot de La</font></font>
 
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Ligne 493 ⟶ 502 :
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<div class="centertext" style="text-align; width:40em;">
Houssaie en 1722, l’examen de ce fait aux généalogistes, moi qui ne le suis point, et qui aime trop la vérité pour avoir envie de l’être ({{refl|1}}). »
Ligne 517 ⟶ 526 :
:{{refa|4}} La Colombe, monastère de l’ordre de Citeaux au diocèse de Limoges ; aujourd’hui commune de Tilly, canton de Belabre, arrondissement du Blanc (Indre).
:{{refa|5}} Le Sollier ou Le Soulier, paroisse de Magnac-Laval, arrondissement de Bellac (Haute-Vienne).
</small></font></font>
 
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Ligne 524 ⟶ 534 :
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<div class="centertext" style="text-align; width:40em;">
Tersannes. Georges de La Feuillade, S{{exp|gr}} de La Ganiêre en 1537, pouvait être un bâtard.
Ligne 544 ⟶ 554 :
:––––––––––
:{{refa|1}} La Villedieu, annexe de Faux-la-Montagne, canton de Gentioux, arrondissement d’Aubusson (Creuse).
</small></font></font>
 
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<div class="centertext" style="text-align; width:40em;">
depuis évêque de Metz ; 3° Jacqueline, alliée, le 21 décembre 1613, à Louis Ajasson, S{{exp|gr }}de Vot et de Villebussière ; 4° Marie, carmélite à Ypres en Flandre ; 5° Louise, mariée à Louis Chauveron, S{{exp|gr }}de La Motte-sur-Indre en Touraine, sénéchal de la Marche, par contrat du 20 juin 1621.
Ligne 586 ⟶ 597 :
:––––––––––
:{{refa|1}} Il avait d’abord pris l’habit de jésuite, dit le père Anselme. En 1639, il se qualifiait abbé de La Souterraine. Il devint docteur de Sorbonne puis abbé de Solignac près Limoges. Député deux fois a l’assemblée du clergé, en 1645 il en fut élu promoteur ; en 1650 il en fut d’abord second président, puis, vers la fin de la même année, premier président à cause de la maladie de l’archevêque de Reims. Il eut l’honneur de porter quatre fois la parole au roi au nom du clergé de France, ce qu’il fit avec dignité. Il prononça aussi l’oraison funèbre de l’archevêque de Reims. En 1648, sur le refus de l’évêque de Gap, qu’il devait remplacer dans ce siège, il devint archevêque d’Embrun. Cette même année, il se qualifiait abbé de Saint-Jean-de-Laon et de Saint-Loup de Troyes, prévôt de La Fonteraie et prieur de la Ville-Dieu. Il fut ambassadeur à Venise, puis ambassadeur extraordinaire en Espagne. Nommé enfin évêque de Metz en 1668, il mourut dans cette ville a l’âge de quatre-vingt-cinq ans.
</small></font></font>
 
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<div class="centertext" style="text-align; width:40em;">
de Mardick le 24 août 1646. On dit qu’il avait demandé à un astrologue judiciaire ce qu’il deviendrait, et que celui-ci avait répondu qu’il serait tué dans sa première campagne, ce qui arriva ; 5° François, qui suit ; 6° Elisabeth, abbesse de La Règle à Limoges, morte le 12 mars 1704 ({{refl|1}}) ; 7°, 8°, 9°, 10° Marie, Thérèse, Claudine-Elisabeth et Anne, religieuses. Une d’elles fut religieuse chez les Grandes-Claires, à Limoges ; une autre fut abbesse de Real-Lieu en 1682. Claudine-Elisabeth fut nommée, en 1676, à l’abbaye de Long-Champs, diocèse de Paris, par le roi, qui voulait priver les religieuses urbanistes du droit d’élire, mais qui ne suivit pas son dessein.
Ligne 616 ⟶ 628 :
:{{refa|2}} Le père Anselrne nous apprend que le roi approuva cette vente, et de nouveau érigea cette terre en duché-pairie par ses lettres datées d’avril 1667. Alors parlant de La Feuillade, le même auteur la qualifie simplement de comté.
:{{refa|3}} Ce fut en 1686 que François d’Aubusson échangea la terre de Saint-Cyr contre la châtellenie royale de Felletin et autres terres de la Marche. Ces terres avaient été vendues au duc de Bourbon, comte de la Marche, en 1365.
</small></font></font>
 
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<font face="Times New Roman" size="3"><div class="centertext" style="text-align; width:40em;">
parbleu, dit-il, messieurs, prenez-en un peu, et l’envoyez dans un linge au cardinal Mazarin, qui me dit cent fois le jour que je n’en ai point. »
</div>
Ligne 642 ⟶ 655 :
La guerre s’étant renouvelée, cette même année, contre l’Espagne, il se trouva aux sièges de Berghes, de Founes et de Courtray.
 
Après la paix d’Aix-la-Chapelle, une véritable grandeur d’âme fit paraître son zèle pour la religion. Dès que le roi lui eut permis d’aller secourir Candie, assiégée par les Turcs, ce jeune seigneur, d’une bravoure qui allait jusqu’à la témérité, se fit chef de l’expédition avec le comte de Saint-Paul, jeune seigneur de la maison de Longueville. La Feuillade se rendit à Toulon avec deux cents gentilshommes, la plupart cadets, qui étaient l’élite de la noblesse française, quatre cents soldats qu’il entretenait à ses propres frais, et quelques autres dont on peut voir le détail dans Nani ; ce qui faisait en tout huit cents hommes. Ce secours, dont il était chef, arriva à Candie le 29 mai ou le 3 novembre 1668. Les Turcs en voulaient bien plus à ces nouveaux venus qu’à tout le reste. Ils jetaient dans leur quartier une quantité prodigieuse de bombes, de grenades, de pots empoisonnés et d’autres feux</font></font>
 
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<div class="centertext" style="text-align; width:40em;">
d’artifice. Avec cela le duc de La Feuillade ne laissait pas de s’exposer comme le moindre soldat, et de chercher les occasions périlleuses avec plus de courage que de prudence. C’était bien plus par l’exemple que par ses discours qu’il animait ses gens. Les volontaires français n’avaient point passé à Candie pour se renfermer dans une ville. Voulant seulement donner des marques de leur valeur, et se retirer ensuite, ils demandèrent tous de faire une sortie générale. Les officiers généraux y consentirent, excepté quelques-uns que M. de La Feuillade ramena dans son opinion par l’espoir de la gloire. Il y en eut de si impatients qu’ils sortirent avant d’avoir reçu l’ordre. Le chevalier de Tresmes eu fut un : il donna seul dans les travaux des assiégeants, et retourna dans la place avec son épée ensanglantée. M. de La Feuillade, quoique irrité d’une telle imprudence, se contenta néanmoins de lui en faire une courte réprimande, et de lui dire qu’il aimait autant voir un boucher. Cela ne fit point impression sur les autres : rien ne put modérer l’ardeur de ces esprits bouillants : les généraux furent contraints de leur lâcher la bride. Ils sortirent en effet le lendemain 16 décembre. Le grand visir, en ayant été averti, avait fait dresser une batterie qui donnait du côté où ils étaient postés. Il y fit jeter quantité de bombes et de grenades, ce qui obligea M. de La Feuillade à donner le signal de l’attaque plus tôt qu’il n’aurait fait. Les chrétiens et les infidèles furent mêlés et confondus en un moment, et l’on vit la terre, couverte de morts de l’un et l’autre parti. M. de La Feuillade, s’apercevant que le peu de Français qui restaient serait enfin accablé par la multitude des ennemis, que soutenaient de nouvelles troupes, fit battre la retraite ; mais les brigades étaient tellement animées au combat qu’on ne pouvait plus les en faire revenir. Les aides-de-camp qui portaient les ordres n’étaient même pas écoutés. La Feuillade fut oblige de courir de tous côtés pour ordonner aux Français de faire volte-face, et il s’emporta contre le P. Paul, capucin, qui, par un zèle indiscret, un crucifix à la main, les avait engagés trop avant dans la mêlée. Pourtant ils rentrèrent en très bon ordre dans la ville. D’Aubusson se signala dans cette guerre avec beaucoup d’éclat, et fit tout ce qu’on pouvait espérer des plus grands capitaines de son siècle ; mais il ne lui resta que deux cent trente des hommes qu’il avait amenés, et il les ramena en France. Le courage de la noblesse française retarda un temps considérable la perte de cette importante place. On lit avec plaisir dans l’histoire de François Morosini, doge de Venise, par Antoine Arrighius, en 1749, ce qu’il raconte de la valeur de ces six cents Français commandés par le duc de La Feuillade au siège de Candie.
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» Le siege de Rhodes, qui fait le plus bel endroit de l’histoire du grand-maistre, a rappelé en ma memoire le siege de Candie où vous allastes chercher la guerre, lors que toute l’Europe jouïssoit d’une paix profonde. C’est là que, à la teste de la noblesse françoise, qui se soumit à vostre commandement par une déférence volontaire, vous fistes ces deux fameuses sorties qui cousterent si cher aux Turcs, qui rétablirent les affaires des Vénitiens, et retarderent de huit mois la perte du rempart de la chrétienté.
 
» Mais ce n’est pas seulement en ce qui regarde l’ennemi commun des chrétiens que vos avantures ressemblent à celles du grand d’Aubusson. Vous avez signalé l’un et l’autre vostre valeur contre les ennemis de la</font></font>
 
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Ligne 686 ⟶ 701 :
| align="center" width="200" | NOBILIAIRE
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<div class="centertext" style="text-align; width:40em;">
France dès vos premières années ; avec cette différence néanmoins que vous avez trouvé de plus belles occasions que luy de servir vostre prince et vostre patrie.
Ligne 706 ⟶ 721 :
:––––––––––
:{{refa|1}} Chamade : signe que les assi&gés donnent avec la trompette, le tambour ou un drapeau blanc pour parlementer.
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Ligne 713 ⟶ 729 :
| align="center" width="200" | DU LIMOUSIN
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<div class="centertext" style="text-align; width:40em;">
point si loin en temps de guerre un colonel du régiment des gardes sans quelque sorte de mécontentement. Il s’embarqua à Toulon le 2 février, et arriva le 20 à Messine, où, s’étant fait reconnaître vice-roi, il commença par rétablir la discipline parmi les troupes, qui n’en avaient aucune. Chaque jour il visitait les postes, et réglait lui-même les affaires, sans s’en rapporter à un secrétaire, comme faisait son prédécesseur. Enfin il prit connaissance du dedans et du dehors de la ville avec la même application que s’il avait dû exercer plusieurs années sa charge de vice-roi. Ensuite il fit courir le bruit qu’il voulait faire une conquête considérable en Sicile avant que les ennemis eussent le loisir de se mettre en campagne. Il fit avec beaucoup de dépense tous les préparatifs de cette prétendue expédition : il acheta quantité de chevaux et de mulets pour traîner l’artillerie, et pour porter ses bagages dans le lieu où il ferait une descente ; il publia qu’il avait besoin pour son dessein de tout ce qu’il y avait de Français dans le pays. Sur ce prétexte, il les fit tous embarquer et le canon du roi, sans qu’aucun Messinois soupçonnât quel était son véritable dessein. Il n’y eut pas même de gouverneur espagnol qui ne tremblât pour sa place. Mais ce qui l’embarrassait davantage, c’était le soin de retirer ses malades, qui étaient en grand nombre à Messine, la bonne chère et les plaisirs en ayant réduit plusieurs à l’extrémité. Cependant il demanda aux médecins devant les jurats s’ils ne croyaient pas que le changement d’air leur ferait du bien : les uns et les autres dirent qu’ils le croyaient, et là-dessus il les fit porter à bord des vaisseaux. Néanmoins comme il y en avait plus de cinquante si fatigués qu’il n’était pas possible de les embarquer sans laisser soupçonner qu’il s’agissait d’un plus long voyage que celui dont on parlait, il fallut les laisser, en prenant toutes les précautions qu’on peut prendre pour leur sûreté. Enfin, après avoir mis sur les vaisseaux et sur les galères tout ce qui appartenait à la France, dès qu’il fut hors de la portée du canon, il envoya dire aux jurats de Messine, le 15 marsau soir, qu’il avait oublié de leur faire part d’une chose fort importante. Ils le vinrent trouver, et alors il leur déclara que le roi, ayant désormais besoin de toutes ses forces dans son royaume pour les opposer au grand nombre d’ennemis qui l’attaquaient de toutes parts, et qui même, selon toute apparence, allaient bientôt être augmentés par la ligue de l’Angleterre avec la Hollande, il avait reçu ordre de reconduire en France les troupes, les vaisseaux et les galères.
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On ne peut exprimer la consternation où jeta les jurats de Messine ce compliment si peu attendu ; celle de toute la ville ne fut pas moindre, Chaque habitant envisageait ce qu’il avait à appréhender du ressentiment des Espagnols, et s’abandonnait à une espèce de désespoir. Le duc de La Feuillade, plus touché par leurs larmes que par leurs prières, permit à ceux qui avaient été fidèles de s’embarquer avec lui, et leur donna deux jours pour cela. Les jurats, les gentilshommes et les plus considérables bourgeois de la ville embarquèrent leurs femmes, leurs enfants et ce qu’ils avaient d’argent et de meubles précieux. Quatorze cent cinquante familles, qui ne faisaient pas la dixième partie de ceux qui se présentaient, furent reçues sur la flotte, et se rendirent la nuit même, sans bruit, dans les vaisseaux et dans les galères.
 
Toute la flotte partit de Messine, le 16, à la pointe du jour. Elle prit la</font></font>
 
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Ligne 727 ⟶ 744 :
| align="center" width="200" | NOBILIAIRE
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<div class="centertext" style="text-align; width:40em;">
route d’Augusta, où le maréchal de La Feuillade fit embarquer avec les mêmes précautions les troupes, le canon et les munitions qui étaient dans la place, et, en même temps, il se dirigea vers la France. Après avoir essuyé une rude tempête, il arriva à Toulon le 9 avril, avec la gloire d’avoir, en si peu de temps, rendu à son maître et à son pays un des plus importants services qu’on leur pût rendre. Il eut même le bonheur de ne perdre dans sa route aucun des six-vingts bâtiments qu’il reconduisait en France, quoiqu’il eût été obligé de faire canal dans la saison la plus périlleuse pour la navigation des galères, et qu’il eût eu un ordre secret du roi de les couler à fond si le temps était mauvais pour les ramener. Il arriva à Paris le 18 avril. La relation de cette retraite des troupes françaises qui étaient en Sicile fut impriméé la même année 1678.
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<div style="text-align:center;">Et La Feuillade encore aujourd’hui l’on en raille.</div>
 
François-Séraphin Regnier des Marais a composé la ''Description du monument érigé à la mémoire du roi par M. de La Feuillade, avec les inscriptions de tout l’ouvrage'', Paris, 1686, in 4°. – Les inscriptions sont de M. des Marais, excepté celle ''Viro immortali''. Afin que cette statue fût conservée à perpétuité en son entier, par contrat du 20 juin 1687, confirmé par lettres patentes du roi du mois de juillet suivant, portant dérogation aux ordonnances et coutumes y contraires, par lettres registrées au parlement de Paris le 4 du même mois, au Chatelet, le 12 suivant, et au greffe de l’Hôtel-de-Ville le 7 août de la même année, il fit une donation à Louis d’Aubusson, son fils, depuis duc de La Feuillade et maréchal de France, du comté de La Feuillade, de la vicomté d’Aubusson, de la baronnie de La Borne, première baronnie de la Marche, de la chatellenie de Felletin et de la baronnie de Pérusse en Poitou en la mouvance du roi, toutes les terres de l’ancien domaine de la maison d’Aubusson, avec les chatellenies d’Ahun, de Chenerailles, de Jarnage et de Drouilles, situées aussi dans la Marche, et échangées avec le roi contre la terre et seigneurie de Saint-Cyr, près Versailles, par contrat du 14 juin 1686, le tout alors de la valeur de 22,000 livres de rente. Cette donation fut chargée de la condition d’une substitution graduelle et perpétuelle, de mâle en mâle ; et, si cette ligne vient à manquer, le donateur appelle Jean d’Aubusson, marquis de Miremont en Périgord, et son fils Jacques ou ses autres enfants mâles et leurs descendants par le même ordre, en cas de défaillance de la ligne masculine de Jean d’Aubusson, marquis de Miremont, qui était alors l’aîné de la branche de Gui d’Aubusson. A leur défaut la ligne masculine de Guillaume d’Aubusson, S{{exp|gr}} de Poux et de Banieux en la Marche, à commencer par François d’Aubusson, comte de Banson en Auvergne, et tous ses descendants mâles, le dit comte étant l’aîné de cette ligne, séparée de celle du donateur avant 1350 ; les dits Gui et Guillaume d’Aubusson étant descendus de Renaud, vicomte d’Aubusson, duquel les comtes de La Feuillade sont descendus par les aînés en ligne directe et masculine. Seront exclus de la substitution : 1°, les mâles engagés</font></font>
 
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Ligne 774 ⟶ 792 :
| align="center" width="200" | NOBILIAIRE
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|}<font size="3">
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<div class="centertext" style="text-align; width:40em;">
dans les ordres sacrés, les religieux profès ou chevaliers de Malte, et ceux qui dans la suite prendraient ces engagements ; 2° ceux qui épouseront une femme dont le père n’aurait pas assez. de noblesse pour faire ses enfants chevaliers de Malte et les entants qui en naîtront ; 3° les filles de tous les substitués.
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On rapporte encore qu’il occasionna un bon mot à M{{exp|me}} de La Suze, connue par ses poésies, et contre laquelle M{{exp|me}} de Chatillon plaidait au parlement de Paris. Ces deux dames se rencontrèrent tête à tête dans la salle du palais ; M. de La Feuillade, qui donnait la main à M{{exp|me}} de Chatillon, dit d’un ton de Gascon à M{{exp|me}} de La Suze, qui était accompagnée de Benserade et de quelques autres poètes : « Madame, vous avez la rime de votre côté, et nous avons la raison du nôtre. » Piquée de cette raillerie, M{{exp|me}} de La Suze repartit fiérement, en faisant la mine : « Ce n’est donc pas, Monsieur, sans rime ni raison que nous plaidons. »
 
La nouvelle édition des œuvres de Boileau raconte encore une petite mortification qu’il reçut : le vieux. duc de La Feuillage ayant récité à M. Despréaux un sonnet de Charleval, où le satirique ne trouvait rien que de fort commun, le maréchal lui dit d’un air moqueur qu’il était bien délicat de ne pas approuver un sonnet que le roi avait trouvé bon, et que M{{exp|me}} la Dauphine louait aussi : « Je ne doute point, répliqua le poète, que le roi ne soit très expert à prendre des villes et à gagner des batailles ; je doute aussi peu que M{{exp|me}} la Dauphine ne soit une princesse pleine d’esprit et de lumières ; mais avec votre permission, Monsieur le maréchal, je crois me connaître en vers aussi bien qu’eux. » La-dessus, le maréchal accourut chez le roi, et dit d’un air vif et impétueux : « Sire, n’admirez-vous pas</font></font>
 
<font face="Times New Roman">
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Ligne 811 ⟶ 830 :
| align="center" width="200" | NOBILIAIRE
| align="right" width="200" |
|}<font size="3">
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<div class="centertext" style="text-align; width:40em;">
l’insolence de Despréaux, qui dit se connaître en vers un peu mieux que Votre Majesté ? – Oh ! pour cela, répondit le roi, je suis fâché d’être obligé de vous dire, Monsieur le maréchal, que Despréaux à raison. »
Ligne 828 ⟶ 847 :
Elle renouvela son vœu de chasteté, et y ajouta celui de se faire carmélite ; mais diverses personnes tâchaient de la détourner. Dans une occasion, sa faiblesse ne lui permit pas de refuser une petite complaisance pour une personne qui lui avait été proposée ; mais elle en eut tant de scrupule dans la suite qu’elle fit vendre tous ses diamants qu’elle avait toujours gardés sans s’en servir, et elle en distribua l’argent aux pauvres pour réparer par là la faute qu’elle croyait avoir faite ; mais ne devait-elle pas les vendre ?
 
Son curé se trouva obligé de l’interroger sur la manière dont elle avait</font></font>
 
<font face="Times New Roman">
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Ligne 835 ⟶ 855 :
| align="center" width="200" | DU LIMOUSIN
| align="right" width="200" | 73
|}<font size="3">
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<div class="centertext" style="text-align; width:40em;">fait son vœu, et elle lui témoigna tant de résolution qu’elle ne croyait pas qu’il y eût aucune autorité dans l’église qui pût l’en dispenser. Elle reprérenta si bien à une demoiselle qui était sortie du cloître sur un arrêt qui lui permettait de se marier sans avoir égard à un vœu qu’elle avait fait ; elle lui représenta si fortement que ces sortes de dispenses ne pouvaient la dégager de son vœu, que cette demoisélle ne pensa plus depuis à se marier ({{refl|1}}). Certaines compagnies que fréquenta M{{exp|lle}} de Roannes la firent enfin se relâcher comme insensiblement de sa piété ordinaire. Elle commença à mener une vie molle, et à hésiter sur son vœu, puis elle consulta sur l’objet de sa peine. Des casuistes lui répondirent qu’elle ne pouvait, en conscience, s’engager dans le mariage, et qu’elle était même obligée de réciter l’office. Cette réponse n’était pas selon sa disposition ; elle consulta d’autres docteurs, qui lui répondirent comme elle souhaitait. Bientôt après elle obtint dispense, et se maria à M. de La Feuillade. Peu de temps après, elle éprouva les amertumes et les chagrins dont est accompagnée la vie du monde, qui paraît la plus heureuse. Étant allée à une de ses terres en Poitou, elle y tomba malade à l’extrémité, et, croyant sa mort prochaine, elle fit, en 1671, son testament, par lequel elle légua à Port-Royal 3,000 livres pour y recevoir une religieuse converse, qui remplirait la place qu’elle avait voulu tenir elle-même. Elle guérit de cette maladie, et retourna à Paris ; mais elle eut le reste de sa vie une santé débile, il lui survint toujours quelque indisposition ou quelque maladie lorsqu’elle voulait aller à la cour prendre des divertissements ou traiter de ses affaires. Dans les commencements, cette croix lui paraissait dure et pénible ; mais depuis elle en reconnut l’utilité, s’y soumit humblement, et souffrit avec patiénce. On admira surtout sa vertu dans sa dernière maladie, qui fut très longue et fort extraordinaire : on lui ouvrit plusieurs fois un abcès au sein avec des incisions horribles sans qu’elle témoignât la moindre impatience pendant les opérations les plus douloureuses. Elle conserva toujours une amitié trés particulière pour Port-Royal : souvent elle disait qu’elle aimerait mieux y étre paralytique toute sa vie que de se voir dans l’état où elle était. Cette affection Iui avait fait souhaiter que son cœur fût, après sa mort, porté dans cette maison ; mais, la proposition qu’elle en fit n’ayant pas été goûtée, elle répondit humblement que, après avoir retiré son cœur, qu’elle avait donné à Jésus-Christ, pour le donner ensuite à la créature, il était juste qu’elle n’eût plus ni son cœur ni son corps en sa disposition. Elle confirma le legs qu’elle avait fait en 1671, et mourut le 14 février 1683, à Paris, à l’âge de cinquante ans.</div>
 
Ligne 846 ⟶ 866 :
:{{refa|1}} Charlotte Gouffier avait pris à Poart-Royal des idées fort exagérées, et les docteurs qui les entretinrent en elle n’étaient rien moins qu’opposés à la doctrine catholique ; car, ainsi qu’on le prouve, en vertu des pouvoirs que Jésus-Christ lui à délégués, l’église a le droit de dispenser des vœux.
:{{refa|2}} Cervières, canton de Noirétable, arrondissement de Montbrison (Loire).
</small></font></font>
 
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Ligne 853 ⟶ 874 :
| align="center" width="200" | NOBILIAIRE
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|}<font size="3">
|}
<div class="centertext" style="text-align; width:40em;">naquit le 30 mai 1673, et reçut le supplément des cérémonies du baptême le 18 novembre 1674.</div>
 
Ligne 867 ⟶ 888 :
:––––––––––
:{{refa|1}} Quoique éloigné de la Marche, Louis d’Aubusson était heureux d’y faire aimer son souvenir, comme le prouve entre autres le fait que voici : par acte reçu Brissé, notaire, le 5 février 1710, M. Delaporte des Forges, sénéchal de la Feuillade,concéda, au nom du duc de La Feuillade, Louis d’Aubusson, lieutenant-général des armées du roi, à MM. Jean Choupineau et Bombrut,prêtres, directeurs du collège de Felletin, et à leurs successeurs le terrain qui faisait partie des fossés de la ville, et qui était entre la porte dite du Château et celle de l’Horloge, c’est-a-dire derrière le jardin du collège. Ce terrain contenait à peu près 55 toises de long et 4 toises 1/2 hors des murs en large. Or il le concéda moyennant « une messe solennelle à diacre et sous-diacre, à laquelle assisteraient chaque année, le lendemain de la Saint-Louis, tous les écoliers dudit collège pour la prospérité et santé de mondit seigneur le duc et de madame la duchesse de La Feuillade ».
</small></font></font>
 
<font face="Times New Roman">
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Ligne 874 ⟶ 896 :
| align="center" width="200" | DU LIMOUSIN
| align="right" width="200" | 75
|}<font size="3">
|}
Il obtint, le 2 septembre 1716, l’enregistrement au parlement de Paris des lettres d’érection en pairie du duché de Roannes, obtenues par son père au mois d’avril 1667, prêta serment et prit séance au parlement en qualité de pair de France le 26 ou le 29 novembre suivant. Il se démit du gouvernement du Dauphiné en faveur du duc de Chartres, depuis duc d’Orléans, le 27 août 1719. Il fut déclaré maréchal de France le 2 février 1724, et prêta serment pour cette dignité le 10 du même mois.
 
Ligne 897 ⟶ 919 :
:––––––––––
:{{refa|1}} Gourdon chef-lieu d’arrondissement (Lot). – Il y a Genouillac dans le canton de Saint-Claude, arrondissement de Confolens (Charente), et Genouillac paroisse dans le canton de Châtelus (Creuse). – Vaillac est dans le canton de La Bastide, arrondissement de Gourdon (Lot). Voir l’article Genouillac au tome II.
</small></font></font>
 
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Ligne 904 ⟶ 927 :
| align="center" width="200" | NOBILIAIRE
| align="right" width="200" |
|}<font size="3">
|}
<div class="centertext" style="text-align; width:40em;">d’autre Jean et de Jeanne de Rassials, dame de Viallac, dont Louis, abbé de Saint-Martial, évêque de Tulle. Elle testa en 1541.</div>
 
Ligne 930 ⟶ 953 :
:––––––––––
:{{refa|1}} Romain, canton de Saint-Pardoux-la-Rivière, arrondissement de Nontron (Dordogne).
</small></font></font>
 
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Ligne 937 ⟶ 961 :
| align="center" width="200" | DU LIMOUSIN
| align="right" width="200" | 77
|}<font size="3">
|}
<div class="centertext" style="text-align; width:40em;">mort le 15 août 1669 ; 4° Jeanne, mariée 1° à ..... de Calvimont, S{{exp|gr}} de Chatans ; 2° à François de Salagnac, S{{exp|gr}} de Poncie, fils de Barthélémy et de Marguerite Hamelin de Rochemorin.</div>
 
Ligne 955 ⟶ 979 :
:{{refa|1}} Firbeix, canton de Saint-Pardoux-la-Rivière, arrondissement de Nontron (Dordogne).
</small>
</div></font></font>
 
<font face="Times New Roman">
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Ligne 962 ⟶ 987 :
| align="center" width="200" | NOBILIAIRE
| align="right" width="200" |
|}<font size="3">
|}
<div class="centertext" style="text-align; width:40em;">verneur de Bourbon-Lancy, et d’Agnès Berthelot de Pléneuf, dame du palais de la reine, Ce futur mariage fut rompu, et il épousa, le 28 avril 1727, Catherine-Scholastique Bazin de Bezons, née, le 10 février 1706, de Jacques, maréchal de France, chevalier des ordres du roi, grand’croix de l’ordre de Saint-Louis et gouverneur de Cambrai, et de Marie-Marguerite Le Ménestrel de Hauguel : Il en eut : 1° Jean-François-Marie, né le 30 janvier 1728, et mort peu après ; 2° Louis-Gabriél, né le 3 août 1729 ; 3° Louise-Anne-Gabrielle, née le 31 janvier 1731 ; 4° Françoise-Catherine-Scholastique, née en 1733, mariée, le 13 juin 1752, à François-Henri d’Harcourt [Beuvron, appelé le] comte de Lillebonne, fils [aîné] d’Anne-Pierre, duc d’Harcourt, marquis de Beuvron, et de Thérèse-Eulalie de Beaupoil de Sainte-Aulaire [il fut brigadier de dragons et mestre de camp du régiment d’Harcourt ] ; 5° Louis-Claude–Armand-Rose, comte d’Aubusson, né posthume, et mort peu de temps après ({{refl|1}}).</div>
<div style="text-align:center;">''Branche des seigneurs de Savignac.''</div>
Ligne 982 ⟶ 1 007 :
:––––––––––
:{{refa|1}} D’Hozier ne s’accorde avec Nadaud ni pour les noms ni pour le nombre des enfants issus de ce mariage ; il dit, 1re partie, p. 36 « il a laissé pour enfants Hubert-Jérôme d’Aubusson, comte de La Feuillade, âgé de six ans ; Louis-Charles-Armand-Rose d’Aubusson, né posthume, et Françoise Scholastique d’Aubusson, âgée de deux ans. »
</small></font></font>
 
<font face="Times New Roman">
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Ligne 989 ⟶ 1 015 :
| align="center" width="200" | DU LIMOUSIN
| align="right" width="200" | 79
|}<font size="3">
|}
<div class="centertext" style="text-align; width:40em;">contrat du 20 août 1464, signé Tarnelli, Jeanne de Salaignac, fille de Jean, S{{exp|gr}} de Maignac. Le père Anselme, édité par le père Simplicien, T. V, p. 336, et T. VIII, p, 372, l’a mal nommée ''Marguerite d’Aubusson'',. De ce mariage naquit Louis, qui suit. Antoine, bâtard d’Antoine, vivait en 1480.</div>
 
Ligne 1 005 ⟶ 1 031 :
:{{refa|2}} Nous avons dit déja que cette terre est dans la paroisse de Vallières, canton de Felletin (Creuse). – Cette terre conserve encore son château féodal, et l’église de Vallières porte les armoiries de la famille d’Aubusson, non-seulement sur ses clefs de voûte, mais encore sur un tombeau placé dans une chapelle attenante. La Villeneuve, aujourd’hui paroisse dans le canton d’Eymoutiers, ne garde au contraire aucun souvenir de cette famille. La note de l’abbé Legros est donc erronée. Du reste, huit lignes plus bas, Nadaud semble le prouver lui-même.– Legros dit : « V. Villeneuve » . Sans doute ses notes ont été déchirées : on ne trouve ce nom dans aucun des deux volumes du Nobiliare.
:{{refa|3}} On sait que les femmes des chevaliers étaient seules qualifiées de l’appellation de madame. Les femmes des autres nobles, de quelque rang qu’ils fussent, n’étaient que demoiselles.
</small></font></font>
 
<font face="Times New Roman">
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Ligne 1 012 ⟶ 1 039 :
| align="center" width="200" | NOBILIAIRE
| align="right" width="200" |
|}<font size="3">
|}
<div style="text-align:center;">''Branche des seigneurs de Chassingrimont.''</div>
 
Ligne 1 035 ⟶ 1 062 :
:{{refa|2}} Monisme, château dans la commune de Bessines, arrondissement de Bellac (Haute-Vienne). – Razès, est aussi canton de Bessines.
:{{refa|3}} Castel-Nouvel, paroisse de Varets, canton de Brive (Corrèze).
</small></font></font>
 
<font face="Times New Roman">
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Ligne 1 042 ⟶ 1 070 :
| align="center" width="200" | DU LIMOUSIN
| align="right" width="200" | 81
|}<font size="3">
|}
 
XX. – Jean d’Aubusson, fils de François, S{{exp|gr}} de Beauregard, Castel-Nouvel et La Rue, vendit des héritages le 10 mars 1544, et fit son testament le 29 juillet 1564.
 
Ligne 1 063 ⟶ 1 090 :
:––––––––––
:{{refa|1}} Il acheta cette terre d’Hélène de Clermont, dame de Mucidan, dit le père Anselme, et il en rendit hommage au roi de Navarre le 2 janvier 1580.
</small></font></font>
 
<font face="Times New Roman">
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{| border="0"
Ligne 1 070 ⟶ 1 098 :
| align="center" width="200" | NOBILIAIRE
| align="right" width="200" |
|}<font size="3">
|}
<div class="centertext" style="text-align; width:40em;">donation qu’elle confirma dans son testament, daté du 15 novembre suivant. Il fut nommé maréchal-de-camp par brevet du 19 novembre 1651, et testa le 4 janvier 1666.</div>
 
Ligne 1 101 ⟶ 1 129 :
REQUIESCAT IN PACE.
</div></font>
</small></font></font>
 
<font face="Times New Roman">
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{| border="0"
Ligne 1 108 ⟶ 1 137 :
| align="center" width="200" | DU LIMOUSIN
| align="right" width="200" | 83
|}<font size="3">
|}
<div class="centertext" style="text-align; width:40em;">de rendre tous les cinq ans à Sa Majesté. André-Joseph d’Aubusson mourut, le 1{{exp|er }} août 1741, au château de Jaure en Périgord ; il avait soixante-dix ans.</div>
 
Ligne 1 121 ⟶ 1 150 :
 
Il épousa, le 29 juin 1643, Jeanne de Loudat ou Loupdat, veuve de Charles d’Aubusson, S{{exp|gr}} de Beauregard. D’eux naquirent : 1° Jacques, S{{exp|gr}} de Beauregard, capitaine des grenadiers aux gardes, tué, le 3 août 1692, au combat de Steinkerque en Flandre, sans laisser de postérité de Marguerite du Chêne, fille de François du Chêne, lieutenant-général et juge-mage de Périgueux ; 2° Jean-Georges, chanoine de Périgueux et abbé de Chatres, auquel l’archevêque d’Embrun résigna la prévôté de La Souterraine ; il mourut, peu après, l’an 1713 ; 3° François, S{{exp|gr}} de Fouleys, mort mousquetaire du roi ; 4° Marie-Jeanne, morte fille ; 5° Charlotte, mariée, le 16 mai 1683, à François de Souillac d’Azerac, S{{exp|gr}} de Verneuil, d’une ancienne et noble maison qu’on fait remonter aux vicomtes de Turenne ; il était fils de Bardy, comte du Bourg, et d’Elisabeth de Ferrières de Sauvebeuf ; 6° Catherine, alliée à François du Chêne, vicomte de Montréal, lieutenant-général de Périgueux ; 7° Henriette, mariée à ..... de Taillefer (S{{exp|r}} de Mauriac) de Barrière.
<div class="centertext" style="text-align; width:40em;"></div></font></font>
 
<font face="Times New Roman">
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{| border="0"
| align="left" width="200" | 84
| align="center" width="200" | NOBILIAIRE
| align="right" width="200" |
|}<font size="3">
|}
<div style="text-align:center;">''Branche des seigneurs d’Auriac et de La Bacconnaille ({{refl|1}}) près Saint-Léonard en Limousin.''</div>
 
Ligne 1 160 ⟶ 1 189 :
:{{refa|1}} Excepté pour la branche des seigneurs de Banson, dont nous avons noté la différence, toutes les branches de la famille d’Aubusson portent, dans le père Anselme : d’or a la croix de gueules ancrée ; mais, comme cet auteur ne parle pas de la branche d’Auriac, nous désirions savoir par les monuments si ces seigneurs ont ajouté quelque pièce dans l’écu traditionnel. Ni l’église d’Auriac, ni le château de La Bacconnaille ne portent trace d’écusson. Le château, après avoir passé dans la famille des Bourdicaud, a été vendu, en 1788, par un Bourdicaud de Saint-Priest-Palus a la famille du Autier.
:{{refa|2}} Les notes suivantes inscrivent des noms isolés qui appartiennent évidemment a diverses branches de la famille d’Aubusson.
</small></font></font>
 
 
<font face="Times New Roman">
=='''BAY-BAZIN, p. 136'''==
{| border="0"
Ligne 1 168 ⟶ 1 198 :
| align="center" width="200" | NOBILIAIRE
| align="right" width="200" |
|}<font size="3">
|}
 
I. – Jacques de Bay [S{{exp|r}} du Chaseaud] transigea avec Antoinette Cladiere [ou Cladier], le 4,janvier 1536. [Il épousa ....., dont Antoine ou Annet, qui suit].
 
Ligne 1 207 ⟶ 1 236 :
:{{refa|2}} Un renvoi de Nadaud indiquait cette généalogie a la page 765, déchirée, ainsi que la suivante.
:{{refa|3}} Rilhac-Lastours, canton de Nexon, arrondissement de Saint-Yrieix (Haute-Viennej.
</small></font></font>
 
 
<font face="Times New Roman">
=='''BAZIN, p. 137'''==
{| border="0"
Ligne 1 215 ⟶ 1 245 :
| align="center" width="200" | DU LIMOUSIN
| align="right" width="200" | 137
|}<font size="3">
|}
 
IV. – Jean Bazin épousa, par contrat au 19 mai 1602, Anne Coral, dont 1° Jean, S{{exp|r}} de Puyfaulcon ; 2° Antoine, S{{exp|r}} d’Eyssette, peut-être aussi noble Antoine, S{{exp|r}} de Maraval, mort le 9 novembre 1650. (Registres de Rilhac-Lastours.)
 
Ligne 1 245 ⟶ 1 274 :
:{{refa|1}} Salon, canton d’Uzerche, arrondissement de Tulle (Corrèze).
:{{refa|2}} Nadaud avait d’autres notes sur cette famille, p. 128, déchirée.
</small></font></font>
 
 
<font face="Times New Roman">
=='''BAZIN-BEAUCHAMP, p. 138'''==
{| border="0"
Ligne 1 253 ⟶ 1 283 :
| align="center" width="200" | NOBILIAIRE
| align="right" width="200" |
|}<font size="3">
|}
<div class="centertext" style="text-align; width:40em;">
dont il eut : 1° Hélie, qui suit ; 2° Olivier, qui se maria, et fit la branche de La Barodiére.
Ligne 1 296 ⟶ 1 326 :
:{{refa|6}} Londiny, canton de Villefagnan, arrondissement de Ruffec (Charente).
:{{refa|7}} Bessé, canton d’Aigre, arrondissement de Ruffec (Charente).
</small></font></font>
 
 
<font face="Times New Roman">
=='''BEAUPOIL, p. 160-164'''==
{| border="0"
Ligne 1 304 ⟶ 1 335 :
| align="center" width="200" | NOBILIAIRE
| align="right" width="200" |
|}<font size="3">
|}
<div style="text-align:center;">''Branche des seigneurs de Castel-Nouvel.''</div>
 
Ligne 1 327 ⟶ 1 358 :
:––––––––––
:{{refa|1}} Le château de Lanmary, est commune d’Antonne, canton de Savignac, arrondissement de Périgueux (Dordogne).
</small></font></font>
 
<font face="Times New Roman">
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{| border="0"
Ligne 1 334 ⟶ 1 366 :
| align="center" width="200" | DU LIMOUSIN
| align="right" width="200" | 161
|}<font size="3">
|}
 
VII. – Antoine de Beaupoil, sénéchal du Périgord, chevalier de l’ordre du roi en 1576. [Le P. Simplicien rapporte que les rois Charles IX et Henri IlI lui écrivirent diverses lettres pour le remercier de ses services et de sa fidélité. Il mourut en 1593.] Il avait épousé, en 1584, avec dispense du pape, Jeanne de Bourdeilles, sa parente, dame de Bernardières et de Douzillac, fille de Gabriel et de Claude de Gontaut. Ils eurent 1° Marc-Antoine, qui suit ; 2° Claudine, mariée a ....., S{{exp|gr}} de La Martonie, de Puyguillin.
 
Ligne 1 352 ⟶ 1 383 :
Il avait épousé, en 1681, Jeanne-Marie Perrault, baronne de Milly en Gatinois, Angerville, Rouvre, etc., fille de Jean, président à la chambre des comptes, et de Marie-Anne Le Moine. Jeanne-Marie se remaria, le 31 janvier 1704, à Gilbert-François de Rivoire, marquis du Palais, et elle mourut le 22 janvier 1719.
 
D’eux naquirent : 1° Marc-Antoine-Front, qui suit ; 2° Henri, reçu page</font></font>
 
<font face="Times New Roman">
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Ligne 1 359 ⟶ 1 391 :
| align="center" width="200" | NOBILIAIRE
| align="right" width="200" |
|}<font size="3">
|}
<div class="centertext" style="text-align; width:40em;">
de la grande écurie du roi en 1711, puis capitaine dans le régiment du roi ; 3° et 4° Louis et François, morts jeunes ; 5° Hélène, coadjutrice de l’abbaye de Ligneux en 1718 ; 6° Julie, qui épousa ..... de Cugnac, comte de Giversac ; 7° Elisabeth, religieuse à Ligneux, morte en 1724 ; 8° Sabine, qui épousa Armand Du Lau, S{{exp|gr}} d’Allemans, et mourut en 1718.
Ligne 1 384 ⟶ 1 416 :
:{{refa|4}} Lonzac, canton d’Archiac, arrondissement de Jonzac (Charente-inférieure).
:{{refa|5}} Barry, Le Barry est un fief situé commune d’Aixe-sur-Vienne, arrondissement de Limoges (Haute-Vienne).
</small></font></font>
 
<font face="Times New Roman">
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{| border="0"
Ligne 1 391 ⟶ 1 424 :
| align="center" width="200" | DU LIMOUSIN
| align="right" width="200" | 163
|}<font size="3">
|}
 
IX. – Jean de Sainte-Aulaire, ''très noble et très vertueux'', écuyer, S{{exp|r}} de Quinsac en Périgord, fit son testament le 23 juin 1683, et mourut, à l’âge de soixante-quatorze ans, le 25 mars 1687.
 
Ligne 1 411 ⟶ 1 443 :
:{{refa|1}} Cussac, canton d’Oradour-sur-Vayres, arrondissement de Rochechouart (Haute-Vienne).
:{{refa|2}} Mort en son château de Vaulris, canton de Nantiat (Haute-Vienne), le 21 avril 1781, étant âgé de soixante-dix-huit ans. (Renistres paroissiaux.)
</small></font></font>
 
<font face="Times New Roman">
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Ligne 1 418 ⟶ 1 451 :
| align="center" width="200" | NOBILIAIRE
| align="right" width="200" |
|}<font size="3">
|}
<div class="centertext" style="text-align; width:40em;">
entrant, Françoise Guingand la releva par sa fortune. Cet évêque vivait tincore en 1790. C’est lui qui m’a ordonné prêtre sur dérnissoires, le 28 mai 1768, dans sa chapelle, à Poitiers] – 5° Henri [qui suit] ; 6° Pierre, né le 19 décembre 1720 [apparemment celui qui est dit le chevalier de Sainte-Aulaire, capitaine-commandant au régiment de Boufllers-dragons, avec rang de lieutenant-colonel, et chevalier de Saint-Louis ; 7° Charles-Denis-Jacques, né le 16 novembre 1723, nommé abbé de Saint-Taurin d’Evreux, ordre de Saint-Benoît, en mars 1753, vicaire général de Rouen 1753, archidiacre de Tarbes, aumônier du roi, archidiacre et vicaire général de Poiüers, abbé de La Rerle, ordre de Saint-Benoît, au diocèse de Tarbes ; mort, à Lucienne, le 12 août 1761.
Ligne 1 449 ⟶ 1 482 :
:––––––––––
:{{refa|1}} Genouillac, canton de Saint-Claud, arrandissement de Confolens (Charente).
</small></font></font>
 
 
<font face="Times New Roman">
=='''BOURB-BOURGEOIS, p. 228'''==
{| border="0"
Ligne 1 457 ⟶ 1 491 :
| align="center" width="200" | NOBILIAIRE
| align="right" width="200" |
|}<font size="3">
|}
<div class="centertext" style="text-align; width:40em;">
de Châlus, née au château de Busset le 6 ou le 16 septembre 1747 ; 3° un garçon ; [4° une fille, née le 27 juin 1749, peut-être 1746].
Ligne 1 494 ⟶ 1 528 :
:{{refa|7}} Saint-Priest-Palus, vanton et arrondissement de Bourganeuf (Creuse).
:{{refa|8}} Bussière-Galand, canton de Châlus, arrondissement de Saint-Yrieix (Haute-Vienne).
</small></font></font>
 
 
<font face="Times New Roman">
=='''CHANTOIS-CHAPELLE, p. 357'''==
{| border="0"
Ligne 1 502 ⟶ 1 537 :
| align="center" width="200" | DU LIMOUSIN
| align="right" width="200" | 357
|}<font size="3">
|}
<div class="centertext" style="text-align; width:40em;">
Chervix, fils de Roland de Joussineau et de Gargarde de La Vergne. Marguerite se remaria au sieur de La Maureilhe.
Ligne 1 525 ⟶ 1 560 :
:{{refa|1}} Montbrun, château en ruines, paroisse de Doumazac, qui, comme Milhaguet, est du canton de Saint-Mathieu, arrondissement de Rochechouart (Haute-Vienne). Le lieu de Chapbat se trouve commune d’Abjat, canton de Nontron (Dordogne)..
:{{refa|2}} Saint-Jean-Ligooure, canton de Pierrebuffière, arrondissement de Limoges (Haute-Vienne).
</small></font></font>
 
 
<font face="Times New Roman">
=='''CHAPELLE, p. 358-360'''==
{| border="0"
Ligne 1 533 ⟶ 1 569 :
| align="center" width="200" | NOBILIAIRE
| align="right" width="200" |
|}<font size="3">
|}
<div class="centertext" style="text-align; width:40em;">
mariée à Léonard de Massiot, S{{exp|r}} du Muraud, paroisse de Saint-Denis-des-Murs ({{refl|1}}), élu en l’élection de Limoges en 1606.
Ligne 1 550 ⟶ 1 586 :
:{{refa|1}} Saint-Denis-des-Murs, canton de Saint-Léonard, arrondissement de Limoges (Haute-Vienne).
:{{refa|2}} Montaigut, canton de Saint-Vaulry, arrondissement de Guéret (Creuse).
</small></font></font>
 
<font face="Times New Roman">
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{| border="0"
Ligne 1 557 ⟶ 1 594 :
| align="center" width="200" | DU LIMOUSIN
| align="right" width="200" | 359
|}<font size="3">
|}
<div class="centertext" style="text-align; width:40em;">
goure, baron d’Arfeuille, fit ériger en marquisat la terre de Jumilhac en Périgord, en 1656 [par lettres de 1655, enregistrées au parlement de Bordeaux le 26 avril 1656, et en la chambre des comptes de Paris, le 28 mai 1657]. Il mourut le 3 avril 1675. II avait épousé, le 12 septembre 1644, Marie d’Afis, dont il eut : 1° Jean, qui suit ; 2° Marie, mariée, le 14 février 1667, à Jean de La Martonie, S{{exp|r}} de Bruzac, fils de Gaston et de Jeanne Guiton de Maulevrier.
Ligne 1 571 ⟶ 1 608 :
:––––––––––
:{{refa|1}} Le Châtenet, canton de Saint-Léonard, arrondissement de Limoges.
</small></font></font>
 
<font face="Times New Roman">
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{| border="0"
Ligne 1 578 ⟶ 1 616 :
| align="center" width="200" | NOBILIAIRE
| align="right" width="200" |
|}<font size="3">
|}
<div class="centertext" style="text-align; width:40em;">
écuyer, S{{exp|r}} du Mazet, paroisse d’Ambazac. Il mourut le 15 septembre 1675, et elle, le 20 janvier 1677 : tous deux ils furent enterrés à Ambazac, dans le tombeau de la famille Sarrazin.
Ligne 1 617 ⟶ 1 655 :
:––––––––––
:{{refa|1}} Probablement Le Buis, commune à côté de Saint-Symphorien, canton de Nantiat arrondissement de Bellac (Haute-Vienne).
</small></font></font>
 
 
<font face="Times New Roman">
=='''CHAPELLE-CHAPITEAU, p. 361'''==
{| border="0"
Ligne 1 625 ⟶ 1 664 :
| align="center" width="200" | DU LIMOUSIN
| align="right" width="200" | 361
|}<font size="3">
|}
<div class="centertext" style="text-align; width:40em;">
épousa, en 1770, Marie-Cécile Rouille, dans la paroisse de Saint-Eustache, à Paris. [Il vivait en 1777.]
Ligne 1 655 ⟶ 1 694 :
:––––––––––
:{{refa|1}} Mainzac, canton de Montbron, arrondissement d’Angoulême (Charente)
</small></font></font>
 
 
<font face="Times New Roman">
='''Supplément'''=
=='''CHAMBORAND-CHANAC, p. 674'''==
Ligne 1 664 ⟶ 1 704 :
| align="center" width="200" | NOBILIAIRE
| align="right" width="200" |
|}<font size="3">
|}
<div class="centertext" style="text-align; width:40em;">
qui suit ; ''Jacques'', pitancier de l’abbaye de Massay, diocèse de Bourges, le 8 octobre 1481.
Ligne 1 682 ⟶ 1 722 :
 
1283. – L’inventaire mentionne une donation à Pierre de Chanac par Aloïde de Chanac, sa sœur. Ce doit être la religieuse des Allois citée sans son prénom dans les ''Etudes hist. sur les monastères du Lim''., n° XIV.
</font></font>
 
 
<font face="Times New Roman">
=='''CHANAC-CHAPELLE, p. 675'''==
{| border="0"
Ligne 1 689 ⟶ 1 731 :
| align="center" width="200" | DU LIMOUSIN
| align="right" width="200" | 675
|}<font size="3">
|}
<div class="centertext" style="text-align; width:40em;">
1284. – Donation à Pierre de Chanac par noble dame Almodie, sa sœur, femme de noble Pierre ''Regnaldi'', damoiseau ; - sans doute le Pierre Arnaud du n° VII.
Ligne 1 711 ⟶ 1 753 :
:––––––––––
:{{refa|1}} Commune de Saint-Aignan-de-Versillat, canton de La Souterraine (Creuse).
</small></font></font>
 
 
<font face="Times New Roman">
=='''CHAPELLE-CHAPT, p. 676'''==
{| border="0"
Ligne 1 719 ⟶ 1 762 :
| align="center" width="200" | NOBILIAIRE
| align="right" width="200" |
|}<font size="3">
|}
<div class="centertext" style="text-align; width:40em;">
Urbain Dalesme, S{{exp|gr }}de Vouhet et du Breuil, âgé de vingt-huit ans, fils de feu messire Léonard Dalesme, écuyer, S{{exp|gr}} du Breuil, et de dame Marie-Anne Ribière, de la ville de La Souterraine. – (Regist. de Saint-Aignan-de-Versillat.)
Ligne 1 743 ⟶ 1 786 :
:––––––––––
:{{refa|1}} Commune du canton de Saint-Vaury, arrondissement de Guéret (Creuse).
</small></font></font>
 
 
<font face="Times New Roman">
='''Table des noms'''=
<font size="3">Afficher la [[Nobiliaire du diocèse et de la généralité de Limoges, Table Tome I|table du tome I]]
 
</font></font></font>
</div>