« Nobiliaire du diocèse et de la généralité de Limoges. Tome I » : différence entre les versions

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=='''ALBANI-ALESME, p. 26'''==
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Pierre Dalesme, chevalier, S{{exp|r}} de Rigoulène ({{refl|5}}), lieutenant-général d’épée
 
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=='''AUBOUX-AUBUSSON, p. 44'''==
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Jean-Claude d’Auboust, S{{exp|gr}} des Vergnes de Saint-Maurice et de Bagueville ({{refl|1}}) demeurant dans la paroisse du dit lieu de Saint-Maurice, près Crocq, diocèse de Limoges, province de la Marche, fut maintenu dans la qualité d’écuyer par ordonnance de l’intendant de Moulins du 9 novembre,1700. Il fut marié, le 18 avril 1692, avec Françoise du Pouyet, dont il eut Claude-René Auboust des Vergnes, né le 22 avril 1697, reçu page du roi dans sa grande écurie le 30 janvier 1712 ({{refl|2}}).
 
'''AUBUSSON'''. – [Les vicomtes d’Aubusson tirent leur nom de la ville d’Aubusson dans la Marche, dont ils étaient anciennement vicomtes. Cette maison, de laquelle sont sortis un grand-maître de Rhodes et cardinal, un archevêque d’Embrun et évêque de Metz, un évêque de Limoges, deux de Tulle, un de Conserans, un abbé de Saint-Martial. de Limoges, deux Maréchaux ducs et pairs de France, un commandeur et un chevalier du Saint-Esprit, est l’une de celles dont on prouve le mieux l’ancienneté, puisque par des titres elle parait déja illustre dès la fin du ixe<small>IX</small><sup>e</sup> siècle, où Ranulphe, frère aîné de Turpin ou Turpion, évêque de Limoges en 898, fut établi vicomte de cette partie du Limousin qu’on appelle la Marche par le roi Eudes, en 888 ({{refl|3}}). (Tabl. hist., 4{{exp|e}} part., p. 300 301.)
 
La Feuillade ({{refl|4}}) est une seigneurie de l’ancien domaine des vicomtes d’Aubusson, qui fut donnée en partage, dans le xiiie<small>XIII</small><sup>e</sup> siècle, avec celles de La Borne et de Monteil-au-Vicomte, à Ranulfe, deuxième fils de Reynaud VI. (Ibid., p. 301,)]
 
D’Aubusson porte : ''d’or à la croix de gueules ancrée ou nillée''.
 
Tout ce qui rend une maison très illustre se trouve avec avantage dans celle d’Aubusson. L’antiquité et l’origine en est inconnue et incertaine comme celle des plus grandes maisons du monde. Ce qu’il y a d’assuré, c’est que, au temps de Charlemagne, les Aubusson étaient déja célèbres dans la France ; car, les rois de la deuxième race ayant établi des comtes pour gouverner chaque province, et ces comtes choisissant toujours les plus grands seigneurs de leurs provinces pour leurs lieutenants, Geoffroi,
 
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=='''AUBUSSON, p. 45-84'''==
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La piété et la libéralité qui en ces temps-là distinguaient fort les grands seigneurs des gens d’une condition commune étaient dans cette maison comme des vertus héréditaires ; car, sans parler du saint évêque Turpin, si magnifique en tout ce qui regardait le culte des autels, selon le témoignage d’Adémar, et si zélé pour la gloire de Dieu qu’il rétablit plusieurs monastères ruinés, et rebâtit entiêrement celui de Saint-Augustin de Limoges, où il fit refleurir la discipline monastique sous la règle de saint Benoît, les vicomtes d’Aubusson furent des seigneurs très religieux, et firent presque tous, à plusieurs églises, des donations considérables. Les abbayes de Saint-Martin de Tulle, de Saint-Pierre d’Uzerche, de Saint-
 
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:{{refa|1}} Dans l’Art de vérifier les dates, les bénédictins font Geofroi premier comte, non de la Marche mais de. Charroux, en… C’eat Boson I{{exp|er}} qui fut premier comte de la Marche vers le milieu du xe<small>X</small><sup>e</sup> siècle.
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II. – Ranulfe, premier du nom, mentionné dans une charte de l’abbaye de Beaulicu ({{refl|2}}) [établi vicomte d’Aubusson ou de la Marche par le roi Eudes en 887], épousa Godolinde, dont il eut : 1° Robert ; 2° Rainald, qui suit ; 3° Boson, abbé laïque de Moutier-Rouzeille ({{refl|3}}) et d’Evaux ({{refl|4}}) en 945 [Mansion, abbé de Mansac en Auvergne].
 
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Eborus, vicomte d’Aubusson, revenant de Jérusalem, tomba malade au Mont-Cassin. Gérald-Hector, évêque de Cahors, son parent, alla le voir. – Voyez la lettre qu’il écrivit de sa prison vers 1153, Spicilegium, T. II, p. 403.
 
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:{{refa|2}} Voir la note précédente.
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[Gui fit de grands biens à l’abbaye de Bonlieu en 1194. C’est de lui, selon quelques-uns, que sont sorties les branches des comtes de La Feuillade,
 
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XII. – Gui, deuxième du nom, qualifié vicomte d’Aubusson, vivait en 1260 ; il était chevalier en 1225 ; il épousa Ahci ou Ahaci, dont il eut 1° Raynaud, septième du nom, qu’on dit avoir vendu la vicomté d’Aubusson ; 2° Alengarde d’Aubusson, dame de Massignat, mariée : 1°, l’an 1262, à Erric de Beaujeu, S{{exp|gr}} d’Hermant, qualifié par quelques auteurs de maréchal de France, mais sans preuve, et mort en 1270 ; mariée 2° à Guillaume, S{{exp|gr}} de La Roche d’Agout ({{refl|2}}), avec lequel elle vivait l’an 1290. Gui et Ahci
 
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:{{refa|2}} « Du consentement duquel, et se qualifiant dame de Felletin, elle donna au prieuré de Blessac la moitié de la leyde du blé que l’on vendoit dans sa ville de Felletin. L’acte est du 27 mars 1273. Elle y parle de Raynaud, son aïeul », dit le P. Anselme (Histoire des grands officiers de la couronne, T. V. : Généalogie des d’Aubusson). – Cette Alengarde, connue dans la Marche sous le nom d’Orengarde, et faussement estimée femme d’Audebert III, comte de la Marche, avait un château à Felletin. La tradition locale rapporte que cette pieuse darne remplaça l’odieux impôt qu’on prélevait sur chaque femme de la ville, après ses couches, par une offrande d’huile, qui, servant a l’entretien de la lampe de l’autel, ne fut plus qu’une action de grâces envers Dieu à l’occasion des nouveau-nés.
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XIII bis. – Guillaume d’Aubusson, chevalier, S{{exp|gr}} de La Borne, vendit à
 
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De Jean d’Aubusson et de Guyonnette de Monteruc sont nés : 1° Jean,
 
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:{{refa|2}} Feuillade, canton de Montbron, arrondissement d’Angoulême (Charente).
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Il eut de cette femme : 1° Jacques, qui suit ; 2° Pierre, prieur de Boubiac en 1487 ; 3° Gui dit Guinot, prieur de Blessac et de La Villedieu, 1509 ; 4° Marguerite, alliée, le 6 juillet 1464, à André Foucault, S{{exp|gr}} de Saint-Germain-Beaupré ; 5° Dauphine, mariée avec François de Chamborent, écuyer d’écurie du roi, qui vivait en 1478 ; 6° Isabelle, mariée : 1° à Guil-
 
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Il épousa, en 1437, Gabrielle du Pui de Vatan, fille de Louis, S{{exp|gr}} de Barmont ({{refl|3}}) et de Jeanne Vaulce, vivante en 1485, dont 1° Antoine, S{{exp|gr}} de Banson, écuyer d’écurie des rois Louis XI et Charles VIII, mort sans postérité, 1520 ; 2° Louis, qui suit ; 3° Catherine, mariée à Antoine de Vinai, S{{exp|gr}} d’Anches, diocèse de Chartres ; elle vivait en 1482 ; 4° Marguerite
 
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VIl. – François d’Aubusson, S{{exp|gr}} de Banson, de La Malerie, de Cébazac et de Servières, produisit ses preuves de noblesse pour lui et ses frères Gilbert, François et Jean, en 1669, devant M. d’Aguesseau, intendant
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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:{{refa|1}} Paroisse du Compas, canton d’Auzances, arrondissement d’Aubusson (Creuse).
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XVII. – Renaud d’Aubusson, second fils de Jean, premier du nom, et de Guyonne de Monteruc, eut en partage les seigneuries du Monteil-au-Vicomte, de Pelletanges et de Pontarion ({{refl|1}}). Il mourut avant l’an 1433. Il avait épousé, le 14 septembre 1412, Marguerite de Comborn, fille de Guichard et de Louise d’Anduse ; elle était veuve en 1433. Il en eut : 1° Antoine, qui suit ; 2° Hugues ({{refl|2}}), évêque de Tulle en 1451, mort en septembre 1454 ; 3° Louis ({{refl|3}}), élu évêque de Tulle après son frère [confirmé en 1465. – V. mon Abrégé man. des Annales du Limousin, p. 423] ; il mourut en septembre 1471 ; 4° Guichard, conseiller au parlement du roi, et successivement évêque de Conserans, Cahors et Carcassonne, mort en 1497 ; 5° Pierre, grand-maître de Rhodes et cardinal, mort en 1503. Au siège de Rhodes, il se chargea de garder la plus hasardeuse brèche, secondé de ses deux neveux et de quatre autres soldats. Tous combattirent vaillamment : quoiqu’on eût tué, à diverses charges, les soldats qui venaient au secours les uns à la place des autres, et quoiqu’il eût été blessé en cinq endroits, son harnais de guerre étant faussé et rompu, néanmoins les Turcs ne purent rien gagner sur lui, et furent contraints de lever le siège. Frère Antoine, Fradin, cordelier, et quelques autres religieux du même ordre se jetèrent dans Rhodes pendant le siège, encouragèrent les soldats et les chevaliers, portèrent la hotte sur les remparts, se présentèrent souvent à la brèche, et la défendirent : pour reconnaître ces bons offices, le grand-
 
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XVII. – Guillaume d’Aubusson, troisième fils de Jean, premier du nom, S{{exp|gr }}de La Borne, et de Guyonne de Monteruc, eut en partage la seigneurie de La Feuillade et de Faux. Il vivait en 1473.
 
Il avait épousé, en 1420, Marguerite Hélie, fille de Gulfier, S{{exp|gr}} de Villac en Périgord, et de Jeanne de Roffignac, dont 1° Louis, qui suit ; 2° Jacques, abbé de Château–Landon, mort en 1519 ; 3° Gilles, religieux et receveur d’hôtes en l’abbaye d’Aurillac, l’an 1473 ; 4° Guichard, vivant l’an 1473, prieur de Breflons, ordre de St-Benoît ; 5° Jean, religieux d’Ahun ({{refl|2}}) en 1482 ; 6° Louise, mariée, le 25 janvier 1463, à Guillaume de La Roche-Aymon, S{{exp|gr}} de Saint-Maixent ({{refl|3}}).
 
XVIII. – Louis d’Aubusson, S{{exp|gr }}de La Foulhade, né en 1440, fut gouverneur de Guise, en 1483, pour Jean d’Armagnac, duc de Nemours, comte de Guise.
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Il épousa, en 1506, Jeanne, dame du Vouhet, du ressort de Montmorillon en Poitou. Elle était fille unique de Jean, S{{exp|gr}} du Vouhet, et de Jeanne de La Ville ; elle vivait en 1554. D’eux sont nés : 1° Gui, mort sans postérité, de Renée Gracay, fille de Jacques, S{{exp|gr}} de Champeroux, et de Madeleine Baraton : Renée se remaria, en 1537, avec Jean de La Roche-Aymon ; 2° Jean, qui suit ; 3° Madeleine, femme, en 1530, de Claude de Trémouille, S{{exp|gr}} de Fontmorand ; 4° Jeanne, mariée, le 20 mai 1544, à François, S{{exp|gr}} de Dienne, veuve en 1597 : 5° Anne, alliée, le 12 juillet 1545, à Pierre Estourneau, S{{exp|gr}} de
 
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Il épousa : 1°, le 21 mai 1595, Jacqueline de Lignières, morte en février 1610, fille d’Antoine, S{{exp|gr}} de Lignières en Combraille, et de Françoise de Courtenay, dame de La Grange-Bleneau. D’eux naquirent : 1° François, deuxième du nom, qui suit ; 2° Louis, prévôt de La Souterraine en 1613, qui résigna le prieuré de La Villedieu ({{refl|1}}), en 1649, à Georges d’Aubusson,
 
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:{{refa|1}} La Villedieu, annexe de Faux-la-Montagne, canton de Gentioux, arrondissement d’Aubusson (Creuse).
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François d’Aubusson épousa, le 24 septembre 1611, Isabeau Brachet, fille unique de Gui, S{{exp|gr}} de Pérusse et de Montagut, et de Diane de Maillé de La Tour-Landri. Elle se remaria, en 1637, à René Gaspard de La Croix, marquis de Castries en Languedoc, et elle mourut en novembre 1638, n’ayant pas eu d’enfant de ce second mariage. De François d’Aubusson et d’Isabeau Brachet naquirent : 1° Léon, comte de La Feuillade, lieutenant-général des armées du roi, et lieutenant au gouvernement d’Auvergne du temps de la minorité de Louis XIV. En 1643 on n’avait qu’à lui demander pour obtenir ce que l’on souhaitait, et c’est à cette occasion que M. de La Feuillade, frère du maréchal, disait qu’il n’y avait plus que quatre petits mots dans la langue française : La reine est si bonne ! Il fut tué à la bataille de Lens, en 1647, sans alliance, le 3 octobre. Le marquis de La Feuillade, colonel d’infanterie, fut tué à la bataille de Marfée, le 6 juillet 1641 ; 2° Georges d’Aubusson de La Feuillade, archevêque d’Embrun, puis évêque de Metz, créé commandeur de l’ordre du Saint-Esprit le 31 décembre 1661, et qui mourut le 12 mai 1697 ({{refl|1}}) ; 3° Gabriel, marquis de Montégut, premier chambellan de Monsieur, duc d’Orléans, mort célibataire à l’attaque du fort de Wal, pendant le siège de Saint-Omer, l’an 1638 ; 4° Paul, chevalier de Malte. On l’appelait encore M. de Verdille. Après la défaite de dix vaisseaux turcs à quelque distance de l’île de Rhodes, le 2 août 1644, il eut ordre de conduire un gallion de 1,200 tonneaux de port qu’on avait pris sur les Turcs, et qui ne pouvait suivre les galères. Candie s’étant trouvée sur leur route, ils y descendirent ou pour y prendre quelques rafraîchissements, ou pour s’y défaire de quelque chose. L’empereur Ibrahim, après en avoir fait de grandes plaintes a la république de Venise, comme si elle eût eu sa part du butin, ne chercha plus que l’occasion de se venger, ce qui occasiona le siège de Candie. Ce chevalier fut tué au siège
 
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:{{refa|1}} Il avait d’abord pris l’habit de jésuite, dit le père Anselme. En 1639, il se qualifiait abbé de La Souterraine. Il devint docteur de Sorbonne puis abbé de Solignac près Limoges. Député deux fois a l’assemblée du clergé, en 1645 il en fut élu promoteur ; en 1650 il en fut d’abord second président, puis, vers la fin de la même année, premier président à cause de la maladie de l’archevêque de Reims. Il eut l’honneur de porter quatre fois la parole au roi au nom du clergé de France, ce qu’il fit avec dignité. Il prononça aussi l’oraison funèbre de l’archevêque de Reims. En 1648, sur le refus de l’évêque de Gap, qu’il devait remplacer dans ce siège, il devint archevêque d’Embrun. Cette même année, il se qualifiait abbé de Saint-Jean-de-Laon et de Saint-Loup de Troyes, prévôt de La Fonteraie et prieur de la Ville-Dieu. Il fut ambassadeur à Venise, puis ambassadeur extraordinaire en Espagne. Nommé enfin évêque de Metz en 1668, il mourut dans cette ville a l’âge de quatre-vingt-cinq ans.
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Il servait au siège de Landrecies, en 1655, lorsque, le 4 ou le 14 juillet, voulant passer, pendant l’obscurité de la nuit, de Saint-Quentin à l’armée, il trouva un parti des ennemis par lequel il fut blessé àa la tête. Les chirurgiens qui lui mirent alors le premier appareil pour le trépaner lui dirent que le coup était dangereux, et qu’on voyait sa cervelle. « Ah !
 
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<font face="Times New Roman" size="3"><div class="centertext" style="text-align; width:40em;">
parbleu, dit-il, messieurs, prenez-en un peu, et l’envoyez dans un linge au cardinal Mazarin, qui me dit cent fois le jour que je n’en ai point. »
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Le maréchal de La Feuillade, pour seconder les intentions du roi, prit si bien toutes les apparences d’un homme qui allait s’établir en Sicile pour longtemps qu’il trompa les plus pénétrants. On crut même assez communément que son départ était une espèce de disgrâce, et qu’on n’envoyait
 
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XVI. – Louis, vicomte d’Aubusson, duc de Roannes [Rouannois, dit duc de La Feuillade], marquis de Boisy et de Cervières ({{refl|2}}), baron de La Borne,
 
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Au mois de décembre 1715, il fut nommé ambassadeur extraordinaire à Rome ; mais il n’accepta pas cet emploi. [Il assista, le 22 novembre 1715, au contrat de mariage passé à Paris, devant Dupuis, notaire, entre Jean-François de Chassepot, depuis S{{exp|gr}} de Framicourt-le-Petit, relevant du comté de Ponthieu, et Marie-Josèphe Pingré, fille de Henri Pingré, chevalier, S{{exp|gr}} de Vraignes, maréchal-de-camp, et de Marie Auxcousteaux. Il y est dit cousin des futurs époux par sa femme.]
 
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Il épousa : 1°, du vivant de son père, le 5 mars 1466, Jeanne Paynel, dont il n’eut point d’enfants ; 2° Françoise de Beaupoil, dame de Castel-Nouvel, qui testa le 11 mars 1522. De cette seconde femme sont nés : 1° Jean, qui suit ; 2° François, qui a fait la branche de Beauregard ; 3° Frotard, marié Jeanne de Millac, qui se remaria, le 22 novembre 1534, avec Pierre d’Aulede, S{{exp|gr}} du dit lieu ; 4° Marguerite, mariée, le 29 août 1495, à Jean Ricard, S{{exp|gr}} de Gourdon, de Genouillac et de Vaillac ({{refl|1}}), fils
 
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Il épousa, le 2 février 1631, Diane de Royère, fille de Philibert, S{{exp|r}} de Lons, dont il eut : 1° Jean, qui suit ; 2° Philibert, baron de Fumel, capitaine au régiment des gardes ; 3° François, abbé de Châtres en Périgord,
 
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Ligne 945 ⟶ 950 :
Le 3 juin 1725, il avait été fait mestre de camp du régiment de Royal-Piémont cavalerie ; la même année 1725, il fut accordé, le 11 avril, à Marie-Victoire de Prie, née le 28 novembre 1717, et par conséquent âgée de sept ans. Elle était fille de Louis, marquis de Prie, chevalier des ordres du roi, lieutenant-général pour Sa Majesté au gouvernement de Languedoc, gou-
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Ligne 972 ⟶ 978 :
 
XVIII. – Antoine d’Aubusson, chevalier, S{{exp|gr}} de La Villeneuve, troisième fils de Jean Il, S{{exp|gr}} de La Borne, et de Marguerite Chauveron, épousa, par
 
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Ligne 992 ⟶ 999 :
 
XXI. – Pierre d’Aubusson, chevalier, S{{exp|gr}} de La Villeneuve [en Limousin ({{refl|2}})], mort en 1550, avait épousé Anne de La Gorce [ ou La Gorze ], sœur de Geoffroy, S{{exp|gr}} de Gourdon : elle se remaria, en 1552, à Antoine du Pouget, S{{exp|gr}} de Nadaillac en Quercy. De ce mariage naquirent : 1° Rose, mariée, par contrat du 9 mai 1568, à François-Jacques du Pouget, S{{exp|gr}} de Nadaillac [chevalier de l’ordre du roi et capitaine de cinquante hommes d’armes, auquel elle porta en dot la terre de Villeneuve. (V. Villeneuve.)]. M{{exp|lle}} ({{refl|3}}) de Négrebosse, de Nadaillac en Marche et en Quercy, sœur de M. de Villeneuve, près Felletin et Aubusson, malade d’une suite de couches, fut engagée par son médecin à s’en aller boire les eaux de Vic-le-Comte en Auvergne ; elle mourut presque subitement à Riom : le médecin Blanc en parle au long dans son ouvrage intitulé : ''Eaux médicinales de la France'', p. 104. – Pierre d’Aubusson eut : 2° Jeanne, mineure en 1562 [peut-être celle qui épousa, avant 1577, Jean du Pouget] ; 3° Gilberte, aussi mineure en 1562 ; 4° Françoise, mariée à Jean Martin, S{{exp|gr}} de La Goutte-Bernard ; elle vivait en 1598.
 
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Il épousa, le 15 juillet 1515, Jeanne d’Abzac de La Douze, fille de Hugues et de Marguerite d’Aix ; elle testa le 30 décembre 1535. D’eux sont nés : 1° Jean, qui suit ; 2° Gabriel, vivant en 1566 ; 3° Isabelle, mariée, le 27 janvier 1532, à Charles de Gaing, S{{exp|gr}} de Linars, sénéchal de Périgord.
 
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XII bis. – Hector d’Aubusson, S{{exp|gr}} de Castel-Nouvel, puis de Beauregard, Saint-Quentin, Saint-Paul et Montant. Sa mère, Anne de La Douze, seconde femme de Foucaud d’Aubusson, lui fit, le 21 février 1632, une
 
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:{{refa|1}} Il acheta cette terre d’Hélène de Clermont, dame de Mucidan, dit le père Anselme, et il en rendit hommage au roi de Navarre le 2 janvier 1580.
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XXIV. – André-Joseph d’Aubusson, S{{exp|gr}} de Castel-Nouvel, marquis de Saint-Paul, connu sous le nom de ''marquis d’Aubusson'', fut reçu page du roi en sa grande écurie le 1{{exp|er}} janvier 1693. Il fut blessé à la bataille donnée prés de Munderkingen, à cinq lieues d’Ulm, en Allemagne, le 30 juillet 1703 ; il fut fait capitaine de cavalerie dans le régiment de La Feuillade, dont il fut mestre de camp au mois de février 1702. Le roi le créa brigadier le 30 janvier 1709, et maréchal de ses camps et armées le 1{{exp|er}} février 1719. Après avoir reçu la substitution de la maison de La Feuillade comme comte de La Feuillade et chef de la maison d`Aubusson, il eut, le 11 août 1738, l’honneur d’offrir au roi une médaille d`or où étaient gravés le buste de Louis XIV, et, au revers, le groupe de la statue érigée sur la place des Victoires. C’est un hommage que les aînés de cette maison ont l’honneur
 
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[lsabeau d’Aubusson, fille de Jean, écuyer, S{{exp|gr}} de La Maison-neuve, et de Jeanne de La Chapelle, épousa, par contrat du 20 janvier 1499, reçu par Jean du Treuil, notaire à La Roche-Guillebaut, Jean Le Borgne, troisième du nom, écuyer, S{{exp|gr}} de Vernet et de Robert.]
 
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=='''BAY-BAZIN, p. 136'''==
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III. – Noble Antoine Bazin, écuyer, S{{exp|r}} de Puyfaulcon et d’Esperonne, épousa, par contrat du 21 novernbre 1576, Jeanne de Montaignac, dont 1° Jean, qui suit.
 
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=='''BAZIN, p. 137'''==
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Jean Bazin, écuyer, S{{exp|r}} de La Mothe, épousa Marie Younet, dont il eut : Charles, né à Uzerche, le 25 juin 1721 ; Antoinette, morte en bas-âge, et Pétronille Bazin, mariée a ..... Besse de Laborde, et qui mourut, à Uzerche, âgée de trente-cinq ans, le 14 janvier 1747.
 
 
 
Pierre Bazin, écuyer, S{{exp|r}} de La Mothe, de la ville d’Uzerche, du village de La Maison-Neuve et de Voulpiliac ; paroisse de Salon, y mourut, âgé de quarante-huit ans, le 29 novembre 1762. Il avait épousé Marguerite de La Jaumont, qui mourut, âgée de cinquante ans, le 21 novembre 1762. D’eux naquirent : 1° Jean, né le 7 février 1740 ; 2° Joseph, né le 15 mars 1748 ; 3° Marie-Louis, né le 27 février 1749 ; 4° Marie-Anne, née le 14 décembre 1751, mariée à Salon, le 20 février 1764, à Joseph de La Pomélie ; 5° Jean, né le 10 janvier 1753, mort âgé de vingt-deux ans.
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l. – Mathieu Bazin. Baptiste, juif, est reçu échevin par la mort du dit Mathieu, le 11 mai 1581. Il avait épousé Catherine Baloufreau ou Racoutreau,
 
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=='''BAZIN-BEAUCHAMP, p. 138'''==
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IV. – François de Beauchamps épousa 1° Marie de Ponthieu, dont il eut Louis, qui suit ; – il épousa 2° Catherine de Corgnol ; – iI épousa 3°, par contrat du 12 décembre 15ô3 sans filiation, mais faisant mention des deux premiers mariages, Tholomée de Chergé, dont il eut : 1° Olivier, qui se maria en 1587 ; 2° Jacques, qui,se maria en 1595. – Il épousa : 4°, par contrat sans filiation du 29 janvier 1578, Françoise de Massoigne, dont Daniel, qui se maria.
 
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=='''BEAUPOIL, p. 160-164'''==
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Alain, légitimé au mois de mai 1599, mourut en 1636.]
 
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VIII. – Jean de Sainte–Aulaire, écuyer, S{{exp|r}} de Quinsac, de Gorre et du Barry ({{refl|5}}), épousa : 1° Marie Prieur-Poitevin ; 2° Antoinette de Pourten, dont il eut Jean, qui suit.
 
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Il avait épousé Française Guingand, dont il eut : 1° Marie-Reine-Denise, née le 7 janvier 1714 ; 2° Jacques-Gabriel-Marie, qui, ondoyé le 12 juin 1715, reçut les cérémonies du baptême le 12 mars 1729, mourut major du régiment royal à Vitré en Bretagne le 16 juin 1752, et fut inhumé à Saint-Martin, peu regretté des officiers ; 3° Thérèse-Gabrielle, née le 4 juin 1717, mariée, le 22 septembre 1744, à Jean de Marsanges, écuyer, S{{exp|r}} de Vaulris ({{refl|2}}) ; 4° Martial- [et non Mathias-] Louis, né le 1{{exp|er}} janvier 1719, abbé de Lezat au diocèse de Rieux en 1753, et sacré évêque de Poitiers le 24 mars [ou le 13 mai] 1759. [On dit qu’un jour, ayant eu la mauvaise inspiration de dire à sa mère qu’elle lui avait fermé la porte de l’église de Lyon, parce qu’elle n’était pas d’ancienne noblesse, celle-ci lui répondit : « Oui, mon fils, mais vous avez oublié sans doute que je vous ai fermé aussi celle de l’hôpital ». En effet, la famille de ce prélat était obérée, et, en y
 
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:{{refa|2}} Mort en son château de Vaulris, canton de Nantiat (Haute-Vienne), le 21 avril 1781, étant âgé de soixante-dix-huit ans. (Renistres paroissiaux.)
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p. 806 ; 1709, p. 474, 698 et 810 ; 1715, p. 100 ; 1719, p. 820 ; 1738, p. 949 ;
1743, p. 560 ; – Baluze, Historia Tutetensis, p. 233, 303, 304, 305 ; –
 
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=='''BOURB-BOURGEOIS, p. 228'''==
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II. – Jean Bourgeois, de la ville de Châlus, eut, par un partage du .....,
 
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=='''CHANTOIS-CHAPELLE, p. 357'''==
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II. – Antoine Chapelle eut des lettres d’anoblissement au mois de décemhre 1597, confirmées en 1609. Il fit son testament, signé Chicquet, le 10 mars 1603, et un codicille, le 5 avril 1610. Il est qualifié d’écuver, S{{exp|r}} de Jumilhac en Périgord, Corbefy, Saint-Priest, La Porte, Buchardie, La Valade, Texiéras, Lascoux et Puymoreau. Il fonda un anniversaire de 40 sous au chapitre de Saint-Yrieix sur sa métairie du Puy, prés la dite ville. Il épousa 1° Catherine Baillot, dont il eut : 1° François, qui suit ; 2° Madeleine, marié à N....., S{{exp|r}} de Masvaleys ; 3° Marie ; mariée 1° à N....., S{{exp|r}} du Peyrel ; 2° à N....., S{{exp|r}} de Puy-Bazet ; 4° autre Madeleine, mariée à Jacques Arlot, S{{exp|r}} de Frugie ; 5° Jeanne, mariée à N....., S{{exp|r}} de Beaulieu ; 6° Bonne, mariée à N....., S{{exp|r}} des Champs. Il épousa 2° Marguerite de Vars, de Saint-Jean-Ligoure, dont il eut : 1° Jacques, qui a fait une branche ; 2° Antoine Chapelle, écuyer, baron de Corbefy, S{{exp|r}} de Jumilhac, héritier de son père, et qui épousa, par actes passés à Beaulieu, paroisse de La Noailhe, près Saint-Yrieix, le 3 janvier 1610, Loyze d’Autetort, fille de François, baron d’Autefort, Thenon, Montignac-le-Comte, et de feue Loyse des Cars ; elle obtint arrêt au parlement de Bordeaux contre les héritiers de son mari pour la restitution de sa dot, dont elle donna quittance le 19 décembre 1637, et elle mourut en 1645, avant été remariée au S{{exp|r}} de Marsac ; – 3° Isabeau, mariée à N....., S{{exp|r}} du Frayssais ; 4° Madeleine,
 
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=='''CHAPELLE, p. 358-360'''==
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IV. – François Chapelle, marquis de Jumilhac, S{{exp|gr}} de Saint-Jean-Li-
 
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IV bis. – Antoine Chapelle, fils de François et d’Isabeau du Journet, du lieu de Brutine, paroisse du Châtenet ({{refl|1}}), fit son testàment. le 31 octobre 1652. Il avait épousé Marie de La Cosse, dont il eut : 1° Léonard, qui suit ; 2° Yrieix, écuyer, S{{exp|r}} de Couteyay en 1665 ; 3° Jean ; 4° Jacques ; 5° Henri ; 6° Léonard ; 7° Gabrielle, mariée, le 13 février 1656, à Léonard Sarrazin,
 
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:{{refa|1}} Le Châtenet, canton de Saint-Léonard, arrondissement de Limoges.
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Louis-Jean-Baptiste Chapelle de Jumilhac, comte de Saint-Jean-Ligoure,
 
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=='''CHAPELLE-CHAPITEAU, p. 361'''==
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Guy Chapiteau, écuyer, S{{exp|r}} de Resmondias, paroisse de Minzac, épousa, à Minzac, le 10 juin 1681, Charlotte Lurat, dont il eut : 1° Salomon, qui suit ; 2° Françoise, née le 24 septembre 1686 ; 3° Anne, née le 22 août 1688 ; 4° autre Françoise, née le 22 fëvrier 1693 ; 5° Charlotte, née le 1{{exp|er}} décembre 1694, mariée à Aimeric Hastelet, écuyer, S{{exp|r}} de Puygombert, Ville-de-Bost, Jomelières, Chaix, Beaulieu et Lombardières, habitant la paroisse de
 
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='''Supplément'''=
=='''CHAMBORAND-CHANAC, p. 674'''==
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1283. – L’inventaire mentionne une donation à Pierre de Chanac par Aloïde de Chanac, sa sœur. Ce doit être la religieuse des Allois citée sans son prénom dans les ''Etudes hist. sur les monastères du Lim''., n° XIV.
 
==CHANAC-CHAPELLE, p. 675==
 
=='''CHANAC-CHAPELLE, p. 675'''==
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1339. – Un acte de fondation de quatre chapelains â Alassac par ''Guillaume'' de Chanac, évêque de Paris, pour le repos de son âme et de celle de noble Pierre de Chanac, chevalier, son ''frère'', qui avait déjà fondé une chapellenie au même endroit par son testament, que le dit seigneur évêque ordonne et prétend être exécuté. 1340. – Ratification de cette fondation par noble Guy de Chanac, chevalier, et Hélie, son fils. – (J<small>OSEPH</small> B<small>RUNET</small>.)
 
On trouve dans ''l’Hermite de Soulier'' que, au commencement du <small>XVI</small>{{exp|e}} siècle, Valérie de Chanac, épousa Léonard, S{{exp|r}} de Genouilhac, dont elle eut Léonarde de Genouïllac, mariée, en 1540, à Pierre du Verdier, S{{exp|gr}} de La Congère. La filiation se poursuit dans la famille du Verdier de Genouillac, immédiatement pourvue ainsi de la seigneurie de Chanac, et dont les représentants sont aujourd’hui fixés en Anjou et en Bretagne. - (R<small>OY DE</small> P<small>IERREFITTE</small>.)
 
'''CHAPELLE DE JUMILHAC''' (p. 357.) – I. – Léonard de Jumilhac, écuyer, S{{exp|gr}} de Peuvinaud ({{refl|1}}), 1709, 1733, et de Contéri, 1717, avait épousé Jeanne de Colas, dont il eut : 1° Marie-Jeanne, baptisée le 26 juin 1711, marie au mois d’août 1733, avec Jacques Larte du Leyris, de la paroisse de Royère, en présence de Françoise de Jumilhac et de Louis de Colas, ses parents ; 2° Louise, baptisée le 20 août 1717, encore fille le 27 septembre 1749.
 
II. - François Chapelle de Jumilhac, écuyer, S{{exp|gr}} de Puivinaud, probablement fils de Léonard, fut marié à Anne Mondain de La Maison-Rouge dont : 1° Jeanne, baptisée le 22 octobre 1738 ; 2° Anne, mariée le 29 septembre 1766, â l’âge de vingt-cinq ans, avec messire Jacques-
 
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Ligne 1 685 ⟶ 1 714 :
 
 
=='''CHAPELLE-CHAPT, p. 676'''==
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'''CHAPT DE RASTIGNAC''' (p. 362). – Louis-Jacques, deuxième fils de François du n° XI, fut, le 29 décembre 1720, nommé évêque de Tulle par la démission de son prédécesseur, le 1{{exp|er}} janvier 1720. Ses armes étaient : ''d’azur à un lion d’argent armé, couronné et lampassé de gueule''. Cette famille a sa généalogie dans le ''Nobiliaire'' de Saint-Allais, ainsi que dans celui d’Auvergne. D’après ces derniers, le lion et ses armes est ''armé, lampassé et couronné d’or''.
 
 
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='''Table des noms'''=
Afficher la [[Nobiliaire du diocèse et de la généralité de Limoges, Table Tome I|table du tome I]]