« Le Chevalier de Maison-Rouge/55 » : différence entre les versions

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{{ChapitreNav|[[Le Chevalier de Maison-Rouge]]|[[Auteur:Alexandre Dumas|Alexandre Dumas]] et [[Auteur:Auguste Maquet|Auguste Maquet]]||[[Le Chevalier de Maison-Rouge/54|LIV]]||[[Le Chevalier de Maison-Rouge/56|LVI]]}}</noinclude>
 
 
==__MATCH__:[[Page:Dumas - Le Chevalier de Maison-Rouge, 1853.djvu/249]]==
{{t3|Pourquoi Lorin était sorti|CHAPITRE LV}}<br />
==[[Page:Dumas - Le Chevalier de Maison-Rouge, 1853.djvu/250]]==
LV}}<br />
 
Tout à coup un grand bruit se fit entendre, les gendarmes débouchèrent de la porte basse ; derrière eux venaient Sanson et ses aides, qui portaient des paquets de cordes.
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— Non, dit-il, elle souffrirait trop. Et il rendit le couteau à Lorin.
 
— Tu as raison, dit celui-ci ; vive la machine de
==[[Page:Dumas - Le Chevalier de Maison-Rouge, 1853.djvu/251]]==
M. Guillotin ! Qu’est-ce que la machine de M. Guillotin ? Une chiquenaude sur le cou comme l’a dit Danton. Qu’est-ce qu’une chiquenaude ?
 
Et il jeta le couteau au milieu du groupe des condamnés. L’un d’eux le prit, se l’enfonça dans la poitrine, et tomba mort sur le coup.