« Le Chevalier de Maison-Rouge/40 » : différence entre les versions

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{{ChapitreNav|[[Le Chevalier de Maison-Rouge]]|[[Auteur:Alexandre Dumas|Alexandre Dumas]] et [[Auteur:Auguste Maquet|Auguste Maquet]]||[[Le Chevalier de Maison-Rouge/39|XXXIX]]||[[Le Chevalier de Maison-Rouge/41|LXI]]}}</noinclude>
 
==__MATCH__:[[Page:Dumas - Le Chevalier de Maison-Rouge, 1853.djvu/190]]==
 
{{t3|Le cabaret du Puits-de-Noé|CHAPITRE XL}}</divbr>
 
 
<div align="center">XL
 
 
Le cabaret du Puits-de-Noé</div>
 
 
 
Cet homme vêtu d’une carmagnole, que nous avons vu arpenter en long et en large la salle des Pas-Perdus, et que nous avons entendu, pendant l’expédition de l’architecte Giraud, du général Hanriot et du père Richard, échanger quelques paroles avec le guichetier resté de garde à la porte du souterrain ; ce patriote enragé avec son bonnet d’ours et ses moustaches épaisses, qui s’était donné à Simon comme ayant porté la tête de la princesse de Lamballe, se trouvait le lendemain de cette soirée, si variée en émotions, vers sept heures du soir, au cabaret du Puits-de-Noé, situé, comme nous l’avons dit, au coin de la rue de la Vieille-Draperie.
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— Ce bon Mardoche ! dit le guichetier en dégustant le verre de Bourgogne que venait de lui verser la cabaretière en le regardant tendrement.
 
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