« Odor di femina » : différence entre les versions
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{{Titre|Odor di femina|[[Auteur:Édouard Demarchin|Édouard Demarchin]]<br>(E.D.)|1900|Odor di femina}}
==COLETTE,
Je quittai Paris, les derniers jours de mai, et vins
Elles entendent, froidement, les plaisanteries les plus raides, les mots les plus crus, répondant sur le même ton, sans cependant consentir trop vite à la bagatelle ; mais peu
Je me suis donc vautré, honni soit qui mal y pense, dans la nature
Si la première impression est un peu défavorable, on
Avec les filles, je suis plus prudent, excepté quand je voyage dans la voie opposée, où
La première dont
Ce
Colette
Au lieu de
Devant cet obstacle, je
Je portai mes doigts à mon nez, ils fleuraient assez la crevette, mais
Je lui glissai une pièce
Je vins par derrière et troussai ses jupes sur ses reins, découvrant le beau reposoir arrondi. Elle comprit ce que je lui voulais, connaissant sans doute la posture, car elle posa ses mains à terre,
Nous nous en allâmes chacun de notre côté. Cet opulent fessier si ferme, si élastique, me hantait la cervelle depuis que je
Elle se lavait maintenant, à grande eau ; je le lui avais demandé pour une surprise que je lui ménageais, et dont je ne me serais pas avisé à
Jamais femme étonnée comme celle-ci, quand elle me vit inaugurer le divertissement inconnu. Elle
Je
Je lui montrai aussi à emboucher la trompette. Elle
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Comme je ne pouvais avoir tous les jours ma jolie fermière sous la main, je reluquais les jolies faneuses occupées alors aux foins.
Elle poussait ses compagnes, les culbutant sur le foin épandu, où elles roulaient tête sur cul, montrant
Une après-midi, je leur fis signe de se mettre à plusieurs, pour rendre fèves pour pois à la robuste Madelon. Tout à coup, pendant
Tiens donc bon, belle Madeleine,
Tiens donc
Une autre même, plus enragée que ses compagnes,
Aussitôt debout, la Madelon, voyant une grosse fille rousse qui enroulait ces poils autour de son doigt, bondit sur elle,
— Je les voulais pour remplacer ceux
Toute la galerie de rire, et moi aussi, après quoi
Je me demandai cependant comment je pourrais tenir dans un coin cette belle faneuse si délurée, qui certainement avait vu le loup.
Elle était la promise
La vue des belles fesses de Madelon
— Sais-tu, belle Madelon, que tu as là une fière beauté, lui dis-je, en palpant son gros cul par-dessus le jupon.
— Parguienne, comme toutes les filles, répondit-elle, sans
— Et cependant, ma fille, je paierais cher pour la revoir sans témoins, cette merveille, et la caresser, comme
— Dam !
Elle disait cela du ton le plus naturel du monde, sans le plus léger trouble apparent. Je pris les devants, en lui indiquant la grange au foin, où
La belle se prêta de la meilleure grâce à mon inspection, se laissant trousser par derrière, me permettant
Après toutes ces caresses consenties, reçues de bon gré sur tous ses charmes nus, je pensais
— Ce
— Mais, belle Madelon, je sais ce qui convient aux filles, et
— Oui, dà,
Je vis bien que malgré mon insistance je
En me retournant, je maugréais contre ma naïveté de
Bon ! pensé-je à cette réflexion, il
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==EN Y METTANT LE PRIX==
Le lendemain je trouvai
Après avoir assisté aux ébats des faneuses, pour me mettre en train,
— Me
— Sois sans inquiétude, ma fille, je connais la limite
— Oh ! je veillerai ben aussi au grain.
Elle était déjà sur le foin, troussée
Elle se planta elle-même le gros outil à faire la joie qui battait entre ses cuisses,
Elle prit mes lèvres entre les siennes, me mordant
Madelon
Après
Je voulais terminer
— Aide-moi à entrer là-dedans, lui dis-je.
— Mais jamais vous ne pourrez forcer la
— On y entre au contraire fort bien, ma belle Madelon ; un louis de plus si tu
Cette offre ne pouvait manquer de la convaincre. Je lui montrai comment elle devait
—
Comme elle partait, après
— Je veux ben,
Je tirai mon membre tout ratatiné de ma braguette et, le lui montrant, je lui dis
Elle
Sur sa réponse affirmative, je baissai mon pantalon, et me retournant, je lui présentai mon cul en lui demandant de le lécher de son mieux. Je sentis aussitôt ses lèvres et sa langue courir sur mes fesses, passant et repassant dans la raie,
— Avale bien tout, car si tu en laisses une goutte, adieu la
Elle me pompa délicieusement, aspirant la liqueur qui
Quand je la rencontrais dans un coin, et que je
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==JANINE LA ROUSSOTTE==
La fille à laquelle Madelon avait arraché une touffe de poils roux avait gardé la qualification de Queue-de-vache ; mais comme elle avait le caractère bien fait, elle ne
Elle paraissait soupçonner mes relations avec la Madelon, ayant dû nous surveiller et surprendre nos secrets. Et il lui vint sans doute
Son obstination à me lancer des œillades, sa jolie figure blonde, avenante malgré ses rousseurs, son corps dodu, pourvu de rondeurs engageantes, me décidèrent à tenter
Elles étaient toutes deux occupées dans la buanderie, au milieu de la chaleur étouffante que le foyer entretenait dans cette pièce, en plein mois de juin. Elles
Quand la jeune fille
Une touffe épaisse de poils roux brillait sous
La femme de ménage
Je plaquai ma bouche sur la sienne, dardant ma langue, écrasant sa gorge dans une main, palpant le beau postérieur de
Je bandais terriblement ; mais la femme de ménage pouvait revenir
Je la laissai toute rouge, en entendant les sabots de la femme de charge qui nous retrouva causant le plus naturellement du monde.
Dès que la vieille fut partie, je
Je la renversai, la découvrant
Je mis le nez sur sa motte, pour la flairer ;
Je me relevai vivement. La Roussotte avait les yeux fermés, sa gorge battait, je lâchai les cordons de sa chemise et,
Je jouissais tellement, de compagnie avec la donzelle, qui
Ces lèvres qui me pinçaient, ce fourreau qui
Lorsque nous nous dégageâmes, je me retirai assez facilement
La Roussotte se releva souriante, et aussi calme que si elle
— Oh ! je ne crains rien, me dit-elle, il y a longtemps que
— Mais il suffit
— Non, non, je
Cette assurance ne me suffisait pas, et je courus chercher un injecteur dont je lui enseignai à se servir. Je versai de
Lorsque je fus un peu rassuré, je visitai
Je la culbutai de nouveau sur le bord du lit, et je
La chaude fille se trémoussa comme une possédée, ses cuisses bondissaient, enserraient ma tête, le bouton raidi frétillait vivement, lâchant sa mousse. Je la léchai ainsi pendant dix minutes, et
Quand je quittai ces bords nettoyés par ma langue, ils étaient toujours brûlants ; ces filles rousses ont de véritables volcans sous leurs toisons enflammées. Janine
Quand je fus bien en train, comme la bouche bâillait toujours, je plantai la tête de mon membre dans les petites lèvres, qui se refermèrent aussitôt sur lui. Elles jouaient toutes seules, se serrant et se desserrant, le suçant comme les deux lèvres
La femme de charge prolongeant son absence, je songeai à faire
Le lendemain, je lui plantai mon dard dans les fesses, après lui avoir léché le bouton pendant un bon moment, follement grisé par ce fumet
Je
Les trois aimables commères servaient ainsi tour à tour à mon plaisir, au gré de
Depuis quelques jours, la Roussotte
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==MARIANNE ENTRE EN SCENE==
Sur ces entrefaites, la moisson arriva. Mon trio
Parmi les moissonneuses il y avait une jeune femme dont le mari touchait les bœufs dans une de mes fermes. Elle était au mieux avec Janine dont elle était devenue la voisine en se mariant.
Marianne les montrait à tout bout de champ, surtout quand je lui en vantais
La moisson touchait à sa fin ; on devait fêter le lendemain, comme
Peu après
Je fis quelques recherches à
Bon, me dis-je, voilà deux amoureux qui échangent de doux propos,
Je restai là,
Bientôt, je vis deux ombres de femmes enlacées paraître dans le sentier. Je
Eh ! parbleu, voilà la raison de
Je me promettais, maintenant que
— Halte-là ! lui dis-je, on ne passe pas sans acquitter le
— Oh ! laissez-moi, monsieur, on pourrait nous surprendre, et mon
— Mais votre mari
— Oh ! non par exemple, voulez-vous me compromettre !
— Alors, vous préférez, ma toute belle, que je raconte aux danseurs que si vous avez quitté le bal avec votre amie Janine,
La petite vicieuse, atterrée par cette révélation brutale, se serrait contre moi en tremblant ; elle me suivit docilement dans la pièce à côté, qui donnait sur la cour éclairée. Je poussai le verrou par prudence.
Marianne, la tête sur mon épaule, me livra sa bouche qui
Je
Elle ne résista pas davantage, quand je la pénétrai de mon vit rutilant dans la même posture, à laquelle elle se prêta de bonne grâce. Je me logeai
Je la revis deux jours après. Elle rougit comme un coquelicot. Mon premier baiser sur ses lèvres la fit tressaillir de la tête aux pieds ; elle suçait les miennes et me dardait sa langue. Mon second baiser fut pour
Elle avait une jolie motte dorée, sous laquelle bâillait, dans un nid de poils
Elle se donna tout entière au plaisir dont je
— Janine le fait-elle aussi bien que moi, ma jolie Marianne ?
Rouge de plaisir et aussi de honte pudique, elle fit non de la tête. Jamais un homme ne
Je voulus la prendre comme le soir du bal, sur le bord de la chaise. Je
Voyant que sa monture était toujours bien en forme, Marianne resta en selle, et se remit à chevaucher de nouveau, mes lèvres collées aux siennes, et nous nous pâmâmes longuement.
Elle attendit
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==VUE SUR LA LINGERIE==
Janine ne savait pas que
Je
Au jour fixé, les deux femmes arrivèrent à huit heures ;
— Allons, au travail, maintenant, dit Marianne, ce
— Oh ! oh ! dit Janine,
— Oh ! non, pas ici,
— Attends, je vais te faire changer de gamme, nia
Janine se jeta sur son amie, comme une louve affamée, la prit dans ses bras et la fis basculer. Les jupes se retournèrent, la découvrant
Janine la remit debout et Marianne, la figure congestionnée, consentante cette fois, se laissa faire, mais ses jupes retombèrent, ensevelissant son amie. Je ne voyais émerger que les pieds de la partenaire, et
— Eh bien ! et
— Non, non, pas ici, ma chérie, demain chez moi.
— Demain ?
Janine, relevant ses jupes,
Elle se retira enfin, dégageant son amie, qui essuyait de son mouchoir ses lèvres couvertes
— Mais
—
— Bah ! nous
Je restai encore un moment à mon poste
Je regagnai mon observatoire un peu avant midi. Janine renouvelait à ce moment ses tentatives, implorant son amie qui restait inébranlable. Cependant,
— Tu me le paieras, lui dit Janine, en la menaçant du doigt.
==COMMENT MARIANNE VINT
La Roussotte, moins discrète que son amie, lui avoua que nous étions au mieux, lui contant même la façon bizarre dont je
— Que
Marianne ne lui répondit pas ; mais le premier jour
Pour mon second coup, après les préliminaires accoutumés, elle me présenta, comme toujours, à reculons, ses fesses mouvantes ; mais au lieu de
— Pourtant, Janine
— Ah ! elle
Je
Je la laissai ainsi, sans fouiller le réduit trop étroit, et je me mis à branler Marianne consciencieusement. Le bouton, très sensible à ma rude caresse, frétilla aussitôt ; les parois de
Chevillée comme elle
Une fois dégagée, la jolie fille me répéta les confidences de Janine, sur la manière dont je la prenais, et combien, depuis, la tourmentait le désir de goûter à ces mêmes jouissances. Elle
—
Il me fallut pourtant combattre la pudeur alarmée de Marianne. Elle ne pouvait se faire à
Je revins, après une bonne heure de repos, et me retrouvai en état. Marianne, à reculons,
Avant de nous quitter, le soir, nous reprîmes
La chère enfant regrettait de
==JOYEUX
Le lundi suivant, les deux amies arrivèrent ensemble, la Roussotte rayonnant de bonheur. Je les rejoignis bientôt ; Marianne rougit à mon approche, comme si elle se fût trouvée en ma présence pour la première fois. Avant de les sodomiser, je voulus les voir à
— Pas ainsi, ma
Je lui fis enjamber la tête de Marianne, jupes relevées, et agenouillée, accroupir son beau derrière,
Je vins par-dessus Marianne, lutiner et embrasser la belle croupe de la Roussotte, qui se dandinait et se frottait lascivement sur le museau enfoui au bas de ses fesses. Je ne voyais rien du jeu que pratiquait
Malgré
Elle vint se présenter à mon vit de la façon bizarre
La belle enculée resta immobile sur son clou, pendant que les lèvres, les dents et la langue de sa chérie concouraient de concert, sur le devant, au couronnement de
Mais
Janine la prit alors dans ses bras et la souleva de dessus la cheville, qui retomba toute molle entre mes cuisses. Considérant ce désastre
Elle le prit dans ses mains, le roula, le caressa, asticota les bourses ; et dès
Je
Je
Jupes troussées, à reculons, comme
Une fois embouchée, Janine resta immobile, pour ne point avoir trop vite raison de son coursier et rester plus longtemps en selle.
Marianne, accroupie devant le buisson de flammes, besognait consciencieusement le chat de son amie, léchant, suçant
Doucement, la croupe redescendit sur la quille,
Je bandais toujours dans ce sacré fourreau, et
Pour terminer la fête, le soir, après des sérénades renouvelées, je baisai Marianne debout, pendant que
Janine en aurait bien voulu ta ter à son tour, mais avec les jeunes filles, cette pose
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==SUZANNE AU BAIN==
Deux fois par semaine,
La Roussotte
Je la connaissais de vue, mais je
Janine me proposa de me la montrer toute nue, sans que la mignonne
Après un instant de repos, elles se déshabillèrent,
Je jetai ensuite un coup
Suzanne se retourna comme pour me montrer ses jolis nénés et tous les agréments qui foisonnaient sur son joli devant. Le gazon noir attira mes yeux :
— Il sera, dit-elle, joliment favorisé, mignonne, celui qui te prendra pour femme et celle
Elle
Les trois jolis corps
Dans les yeux concupiscents de Marianne, luisait
Janine,
Janine ne parut pas
— Eh ! bien, ne vous gênez pas, cria la Roussotte. Si vous croyez que je vais moisir ainsi, sans un coup de branlette, vous vous trompez, mes petites
Ce fut sa sœur qui vint lui rendre ce service. Pendant que Suzanne la branlait, Janine, ses bras sur la nuque, cambrait son torse, les seins épanouis, la gorge haute, les pointes vers le ciel. Marianne, ne voulant pas rester oisive,
Elles sortirent de la rivière, se secouant les perles qui ruisselaient le long de leurs corps et pénétrèrent dans le fourré voisin de ma cachette.
Elles
Alors Janine,
Cette coquine de Roussotte qui me savait là devait bien se douter des tentations qui
Mais ce ne fut pas le sacrifice sanglant que je commençai. Je
La pucelle ne manifesta pas la moindre surprise. Elle ne pouvait pourtant pas se méprendre aux pointes de mes moustaches qui la chatouillait. Sa sœur
Je ne voulais pas rester en confusion devant ce ravissant pucelage ; je me retournai,
— Montre que tu as du cœur, ma mignonne, et puisque tu dois y passer, ouvre toi-même ta porte au
La pucelle qui avait dû recevoir des leçons hausse le cul, tire de ses doigts sur les bords, et
En deux solides coups de cul, je romps
La dépucelée supporta héroïquement la fouille énergique de mon gros membre qui dilatait le fourreau à le faire éclater. Elle
Elle soupira encore deux ou trois fois, pendant que je la rabotais de mon vit qui gardait tout son volume et qui voyagea au grand enchantement de Suzanne, malgré la cuisson de la déchirure,
Sur les bords suintait, quand
Marianne en était abasourdie. On eût dit que
==DEUX SŒURS QUI
Il me parut piquant de réunir les deux sœurs dans des ébats intimes, pour voir
La Roussotte me promit
Elles arrivèrent vers une heure et montèrent aussitôt dans la lingerie où
Comme il faisait très chaud, quand
Je fis courir mes doigts sur leur peau si douce, si fine, si blanche, trois qualités rarement réunies à la campagne. Entre les fesses, je promenai ma main dans le nid fourré, les doigts allongés dans la large sente des cuisses, que je tapotai et caressai. Puis elles me déshabillèrent.
Apercevant le sacrificateur qui
Elle ramenait le capuchon et le repoussait,
Moi, qui trouvais son pelotage de mon goût, je fis signe à la Roussotte de ne pas interrompre le mouvement, et comme la jeune fille se penchait pour considérer de plus près ce phénomène
— Tu as fait là un joli coup, ma mignonne, vois dans quel état tu as mis le sire ! Le voilà tout mollasson. Que veux-tu que nous en fassions maintenant ?
Suzanne, se souvenant que le jour du dépucelage je
— Ta sœur connaît-elle le joli jeu de bouche à bouche ?
— Si elle le connaît, la chérie, ah ! je le crois bien. Je
Suzanne, à cet appel, saute sur sa sœur,
Je viens derrière la lécheuse, et pendant que je fais courir ma main caressante sur son dos et ses reins lustrés,
Je reviens devant la croupe suspendue en
Suzanne, à son tour, vint fêter son aînée qui me parut jouir ineffablement. Je
Puis elle voulut la tenir dans ses bras, pendant que je la prenais en épicier, sur un matelas disposé à cet effet- Janine se coucha sur le dos, Suzanne
La jeune fille
Une fois debout, Janine nous montra entre ses cuisses écartées le bijou entrouvert, le gros bouton frétillant dans le nid vermeil, et les poils de la bordure qui luisaient
Après que la Roussotte eut donné, sous mes yeux,
Je me trouvais entre deux paires de cuisses, le corps ployé sur les reins de Suzanne, les lèvres sur sa nuque que je mordillais. La sœur aînée nous enveloppant de ses jambes, ses pieds croisés au bas de ma croupe, me donnait le mouvement en serrant et en desserrant ses cuisses. Je fouillais vaillamment
Alors je naviguai avec plus de vigueur, claquant de mes coups de cul les fesses rebondies, et mordillant les frisons de la nuque. Je glissai mes mains entre les deux gorges écrasées, enveloppant les mignons tétons de la cadette, dont les deux pointes raidies me chatouillaient la paume. Cette aimable joute ne dura pas longtemps, le vagin que
Avant leur départ, comme
Suzanne, très surprise de la direction
La mignonne, devant la démonstration éloquente du plaisir
— Ah ! que
Elle lui sauta au cou et
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==VENDANGEUSES==
Je menai de front mes amours avec ces aimables filles,
Il y avait, dans leur groupe, une gentille Béarnaise, du nom gracieux
Elle était dans le sillon derrière Angélique. La grosse Rose tenant une belle grappe
La grande fille riait de sa farce, tout en narguant la petite, comme un colosse regarde un pygmée. La Béarnaise,
Les rieuses avaient changé de camp, abandonnant la grande Rose, admirant comment un bout de fille menait, tambour battant, la gaillarde
— Voilà comment les petites Béarnaises arrangent les grandes salopes de ton espèce, ma fille !
Les vendangeuses applaudirent à ce hardi langage. Rose, honteuse
— Rose, ma fille, tu
Elle hésitait, foudroyant des yeux la petite Béarnaise.
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— Je veux bien, dit celle-ci.
Et elle tendit la main à la grande Rose, qui se contenta de la serrer du bout des doigts. Angélique, aussi bonne que vigoureuse, se haussa sur la pointe des pieds et
Quand elle eut vidé son panier dans la hotte au porteur,
Le reste
— Quel âge as-tu, ma belle ?
— Dix-neuf ans, à votre service, monsieur, me dit-elle, en une gracieuse révérence.
—
— Oh ! monsieur, je
— Cependant, en y mettant le prix ?
— Réfléchis, ma belle Angélique, je te répète que
Elle gagna son sentier sans mot dire et se remit à sa besogne. Je la suivis des yeux, mais elle ne se retourna pas une seule fois.
Elle répondit « non »
— Tant pis pour toi, ma chère, tu manques ta fortune, car tu me plais, comme jamais fille ne
Baissant la tête, tentée évidemment par mes offres séduisantes, elle ne dit mot et
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==ANGELIQUE LA BIEN NOMMÉE==
Je portai mon doigt indiscret à son conin.
— Oh ! monsieur,
— Ma fille, quand on
Son sein battait violemment, je le palpai, pressant par-dessus le corsage le petit bouton raidi qui
La gorge tenait amplement ses promesses, les deux tétons rebondis,
Je retournai la jeune fille pour inspecter le revers de la médaille ; la chute des reins attira mon attention par la saillie hardie de la croupe, en deux globes fièrement renflés, aux chairs pleines et fermes,
Elle dénoua ses superbes cheveux noirs, qui roulèrent sur ses reins,
Je livrai mon premier assaut dans la posture canonique. Ses beaux seins soutenaient ma poitrine sur leurs pointes dressées, tandis que je laissais ma verge entre ses cuisses, appuyant le bout du gland à
Je sentais
Elle voulut ensuite se dégager pour aller prendre la précaution nécessaire. Mais de même que ventre affamé
Je
Je la pris encore à la paresseuse avant de nous endormir. Ah ! quelle délicieuse union, que cet entrelacement ! Nos deux corps sont collés, comme
Nous nous endormîmes ainsi bien collés
Quand je me réveillai, toujours collé à son corps, mon membre allongeait son gland dans la toison.
Je
La fouille délicieuse dura une demi-heure. Je
Je ne la pris en levrette que la veille de son départ, car tous les matins nous recommencions le jeu voluptueux, à la paresseuse. Quand je découvris cette belle lune blanche en plein jour, je crus la voir pour la première fois ; sous les jupes troussées, elle en paraissait plus volumineuse encore. Je ne me lassais pas de
Le jour de la séparation, nous nous fîmes nos adieux en une pose bizarre,
Pour une novice, Angélique
Elle partit les larmes aux yeux, et chargée de présents pour lui permettre
Si je vous disais que je la regrette toujours, cette incomparable fille, malgré les jolis cons et les beaux culs qui
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==LA GRANDE ROSE==
Au début
— Tiens, te voilà Rose. Comment va ton derrière, depuis le coup de sabot que te lança dans les fesses la petite vendangeuse ? Voilà plus de quinze jours, le bleu doit avoir disparu ! Montre-moi donc ça, ma fille. Je sais que tu as un beau fessier. Je ne
— Oui, dâ,
— Dame, tu me
— Vous vous moquez,
— Ce
— Des méchantes langues qui clabaudent à tort et à travers. On disait ben que
— Alors,
— Pourquoi pas, vous êtes ben le maître !
Elle reprit sa brouette, et nous cheminâmes de compagnie. Je marchais à deux pas en arrière, ayant sous les yeux
Je me rapprochai et je posai ma main sur ces fesses plantureuses, appuyant fortement, pour sentir le mouvement alternatif produit à chaque pas. Ma main descendit, les doigts allongés, pressant la fente du cul sous la toile, la pinçant, la froissant sans que Rose soufflât mot. Elle
— Il ferait bon se reposer là, par cette tiède soirée, lui dis-je, sans lâcher prise.
Elle était restée debout. Son arrêt en face de ce lit improvisé me semblait trop significatif pour que je pusse douter de ses intentions, et voyant
Je contournai la hanche, coulai ma main par devant, et tout en tripotant les touffes de
Je
Je lui relevai les jupons sur les reins, et découvris la belle cible épanouie dans toute sa splendeur, avec son petit point noir entouré
Je baissai ma culotte, tout en pelotant les chairs épaisses et caressant la fente, que je trouvai disposée à me recevoir. Rose leva très haut sa croupe, dont la saillie rebondissante faisait obstacle à
Quand
Bien
Alors
— Nicolas ne se gêne pas, il
Je venais de
Aussi lorsque nous fîmes une seconde halte, je voulus essayer de la paresseuse, comme avec la regrettée Angélique. Ici, il
Je lui mis, en la quittant, un louis dans chaque main ; ses yeux brillaient de contentement.
Je
Ligne 711 :
==CLAIR DE LUNE==
Trois jours après, cette occasion se présenta. Je
Voyant ses bonnes dispositions, je la plaçai pour la prendre en levrette, son gros cul bien proéminent, en lui disant de ne pas
—
— Je veux ben,
— Tu vas
— Oh ! que non, je
— Par ici, ce sera moins cuisant, lui dis-je.
Elle écarta ses fesses, tira sur les bords, comme je le lui montrai, distendant le muscle, dont les plis élargis reçurent mon gland plus facilement que je ne le pensais. Mais quand il fut entré, les difficultés surgirent ; car le fourreau était étroit, comprimé dans cette masse de chairs compactes. Je
Quand je
Elle engloutit dans sa poche le louis gagné, et nous reprîmes le sentier éclairé par la lune.
— Eh bien !
Elle me répondit seulement :
— Tenez,
Arrivés à
Je voulus retirer ma verge, elle ne la lâcha pas, la gardant dans ses lèvres, excitée par
Faisant ensuite sauter le bouton de son corsage je mis à nu ses tétons sur lesquels je me précipitai goulûment.
Plongé dans la fournaise de ses cuisses qui me poussaient par des mouvements précipités, je parcourais les gros nichons, mordillant les boutons raidis, les suçant comme si je voulais en tirer le lait. Je les sentis palpiter, en même temps que les cuisses
Sa croupe retomba,
à cœur joie.
Bientôt la croupe bondit sous mes doigts, les cuisses jouèrent un jeu endiablé,
Ça valait bien un louis
— Vous
— Fais-moi voir !
Elle se troussa. En effet, le bas des fesses était très rouge. Je me penchai dessus et les mordis presque au sang. Ce beau reposoir
— Veux-tu gagner encore cent sous de plus ? demandai-je à Rose.
— Je veux ben, mais comment ?
— Et te laissant
— Mais vous allez me faire mal !
— Oh ! ça te cuira un
— Allez-y donc, si ça vous dit !
Elle tenait ses jupes troussées très haut, montrant la croupe dans son plein, et je me mis à fesser la belle mappemonde à tour de bras. Rose supporta les claques sans se plaindre. En un clin
— Veux-tu gagner vingt francs au lieu de cinq ? dis-je, pris
— Mais vous allez
— Non, non, juste pour te chatouiller un peu la peau du derrière. Si tu pouvais voir les belles couleurs
Je coupai à
Je levai la houssine qui retomba avec force sur les globes rebondis, lesquels trahirent, par un frémissement de
Son bijou bâillait grand ouvert, comme dans la soif
La chaleur de sa croupe fit naître en moi le désir de la prendre à la paresseuse.
Nous renouvelâmes bien
Ligne 797 :
==LA BLANCHE HERMINE==
Vers la mi-octobre, je dus tenir une promesse que
Les attraits de la charmante baronne me revinrent à la mémoire et je cédai au plaisir de les revoir. Je partis donc pour la Touraine, où
Je retrouvai auprès
Elle me renouvela la bizarre condition
Ce joli bras qui me serrait, cette taille souple, cette gorge de jeune fille, que je sentais battre contre moi, le parfum qui montait de ses jupes, et me renseignait sur le secret de sa toilette intime, me tenaient dans un état de surexcitation fatigante. Elle se frottait à moi comme pour
Je passai, comme on peut le penser, des nuits troublées, rêvant de croupes rebondies, de cons satinés et parfumés, qui fuyaient grands ouverts devant mon érection. Cette torture dura trois jours et trois nuits, sans le moindre soulagement pour
Il y avait, dans le personnel féminin qui servait la baronne, une gentille femme de chambre, de vingt-cinq à vingt-six ans.
Gracieuse (
Elle était rondelette, garnie
Quand elle passait près de moi, dans
Cependant elle ne paraissait pas trop farouche, et hormis sa bouche, elle me laissait me rendre compte de la qualité des trésors
Le quatrième soir, après avoir baisé le bout des doigts de la baronne,
— Je vais
— Oh ! non, monsieur, madame
Et elle
Un filet de lumière, qui filtrait par la porte de communication
La baronne
Parbleu, la baronne, sans doute tribade raffinée, me préférait son aimable fille de chambre !
Je les vis alors entrer dans le cabinet de toilette, qui était à côté de la chambre que
Quand le bain eut pris fin, la baronne se souleva de son siège et je vis une main courir sur sa fente, promener une fine éponge entre les bords vermeils de la vulve, et puis de la petite rosette
— Tu me chatouilles, Graciosa, tu vas me faire partir avant
—
La soubrette prit un linge fin, essuya les parties mouillées, des fesses au bijou, comme si elle craignait
Je ne vis
La chemise retroussée
Je
Mais déjà la soubrette, agenouillée devant le vermeil sanctuaire, officiait avec une ferveur qui se manifestait sur le visage ému de sa maîtresse et la gorge menue que
La jeune fille se releva, tandis que
Gracieuse avait disparu. Elle rentra presque aussitôt
Merci de la rivale ! Décidément, la tribade est complète. Parbleu, voilà pourquoi Mirza me montrait les crocs !
La levrette bien éduquée savait ce
La séance était finie, sans doute, car Gracieuse se disposait à ramener
Gracieuse conduisit alors la baronne dans sa chambre à coucher. Elle en sortit aussitôt et se dirigea vers la sienne où je la devançai.
Ligne 875 :
==LES VINGT-HUIT JOURS DE GRACIEUSE==
— Imprudent ! me dit-elle, allez-vous-en ! Madame pourrait nous entendre, et
— De moi peut-être, aimable Gracieuse, mais pas de toi : tu as trop barre sur elle, ces deux serrures indiscrètes viennent de me le prouver.
— Vous étiez donc là ?
— Depuis le commencement, parbleu !
— Alors vous avez dû en voir de belles !..
— Oui,
— Madame raffole de cette horreur plus que de tout au monde, même que de ma langue, dont elle ne peut pourtant se passer, mais je ne la caresse jamais après Mirza, du moins sans avoir lavé et parfumé le séjour mouillé par sa
— Pas avant
— Vous ne me le ferez pas de force, puisque je consens volontiers à
— Oui, je te le promets !
Mais nous
Je me remis à lui embrasser et lécher les alentours de son petit bouton toujours guilleret. Elle jouit encore très vite, mais cette fois elle laissa échapper des soupirs que la maîtresse eût pu entendre si elle avait été plus près de nous.
Gracieuse ne voulut à aucun prix
Elle
—
— Je veux bien, gentille écuyère. Voyons comment tu te mets en
Je
La main gauche pelotait les fesses pendant que Gracieuse chevauchait. Elle trottinait depuis une minute à peine, quand ses tétons se mirent à danser, son vagin
Après un instant de repos, je pris
Je
— Vous pouvez y entrer, si bon vous semble, me dit
— Mais, ma chère gourmande, tu
Je
Quand je fus logé dans ses flancs, elle
Avant de la quitter vers minuit, je bandais encore, ce qui
Elle avait dû pratiquer la posture, car elle saisit
Enfin, elle
Je
Je la portai enfin dans son lit et après mille baisers sur ses lèvres exquises, je regagnai ma chambre sans faire de bruit.
Tous les soirs, après avoir baisé le bout des doigts que me tendait la veuve, que je me promettais bien de lâcher au terme des trente jours
Le matin du vingt-neuvième jour, jour mémorable, je me promenais en pantoufles dans le corridor du premier étage, comptant moissonner quelques baisers sur les lèvres de la chère Gracieuse, quand je
Je
Je retins mon souffle, je me penchai, soulevant un peu les jupes, et je plongeai vivement, appliquant un baiser bruyant au bas des fesses blanches, qui me repoussèrent, à coups de croupion dans
Un peu surpris déjà que la soubrette eût changé son parfum ordinaire
— Vous savez, monsieur, ce qui vous reste à faire après cette insolence inqualifiable.
— Vous auriez préféré, ô blanche Hermine que ce fût Mirza, la levrette bien-aimée, qui vous eût léché
A. cette cruelle révélation, la baronne eut recours à la ressource ordinaire des femmes dans
Je la remis entre les mains de ses femmes et après avoir fait ma malle, sans prendre congé de mon hôtesse, je me fis conduire en voiture à la ville prochaine, non sans avoir indemnisé largement
Gracieuse toute en larmes, me supplia de la prendre chez moi. Dans
==DERNIERS MOTS==
Je passai quelques jours encore au pays, mais
Mais ces rencontres avec ces solides fouteuses étaient trop espacées et malaisées, pour que je puisse en faire mon ordinaire, et je regagnai Paris vers fin décembre, comptant, au retour de la belle saison, revenir bien vite à la campagne, reprendre sur mes sujets champêtres, mes études de plastique comparée.
Je retrouvai à Paris les poupées en cire que
Nos robustes paysannes, elles, y vont de bon cœur, toujours disposées à jouer du croupion, vous donnant gentiment la réplique, vous secondant par des ripostes énergiques, vous offrant pour
FIN
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