« Odor di femina » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
mAucun résumé des modifications
m ' -> ’ A -> À ... -> …
Ligne 1 :
{{Titre|Odor di femina|[[Auteur:Édouard Demarchin|Édouard Demarchin]]<br>(E.D.)|1900|Odor di femina}}
 
==COLETTE, L'AIMABLEL’AIMABLE FERMIERE==
 
EcœuréÉcœuré par les senteurs affadissantes qu'exhalentqu’exhalent les femmes musquées et fardées de tous les mondes, véritables poupées de cire, qui se livrent à vos caresses, sans la moindre ombre de pudeur, je fus pris de la fantaisie d'essayerd’essayer du piquant des amours naturalistes.
 
Je quittai Paris, les derniers jours de mai, et vins m'installerm’installer pour six mois dans mes terres, en un coin du Midi où les femmes ne sont pas en carton-pâte, mais en belle chair fraîche, saine et colorée. Elles ont un libre langage, et sont en général faciles, sans être pour cela dévergondées.
 
Elles entendent, froidement, les plaisanteries les plus raides, les mots les plus crus, répondant sur le même ton, sans cependant consentir trop vite à la bagatelle ; mais peu d'entred’entre elles, filles ou femmes, résistent à l'appâtl’appât d'und’un louis d'ord’or, qui leur permet d'ajouterd’ajouter des colifichets à leur parure.
 
Je me suis donc vautré, honni soit qui mal y pense, dans la nature jusqu'aujusqu’au cou ; fermières, faneuses, moissonneuses, vendangeuses, femmes et filles m'ontm’ont fourni des terrains d'expérienced’expérience, et fait apprécier les chaudes senteurs de leur sexe, la véritable odor di femina.
 
Si la première impression est un peu défavorable, on s'ys’y fait vite, car on trouve dans ces bras robus­tes des étreintes vigoureuses, sur ces corps plantu­reux à la chair ferme un coussin élastique, tandis qu'onqu’on est voluptueusement logé dans les charnières satinées de lèvres fraîches et vermeilles. Les belles y vont de cœur à croupe que veux-tu, vous faisant sauter sur leur ventre, prenant une large part à votre plaisir, surtout quand ce sont des femmes mariées, qui n'ayantn’ayant pas à redouter les suites, font le meilleur accueil à votre offrande.
 
Avec les filles, je suis plus prudent, excepté quand je voyage dans la voie opposée, où l'onl’on peut s'épanchers’épancher sans danger. Je ne trouve guère de récalcitrantes dans ces belles encroupées, qui me prêtent volontiers leur superbe reposoir. Je dis belles encroupées, car elles en ont toutes une fa­meuse paire et des plus rebondies, qu'ellesqu’elles tirent de l'habitudel’habitude des travaux qui les inclinent vers la terre.
 
La première dont j'obtinsj’obtins les faveurs, un peu par force, ce fut Colette, la femme d'und’un de mes fermiers. Elle ignorait mon arrivée ; je la surpris juchée sur une branche de cerisier, cueillant des cerises dans son tablier. Je l'avaisl’avais aperçue d'assezd’assez loin, et comme elle me tournait le dos, je m'approm’appro­chai à pas de loup jusqu'àjusqu’à son arbre.
 
Ce n'estn’est pas la coutume, chez les femmes de la campagne, de porter des pantalons, aussi en levant le nez, j'eusj’eus sous les yeux des perspectives fort alléchantes, dans l'ombrel’ombre des jupes, mais j'enj’en voyais assez de la chair nue des jambes et des cuis­ses pour me rendre compte que la jeune femme était bien faite. AÀ ce moment elle fit un mouvement et me vit le nez en l'airl’air. Sa surprise faillit lui être fatale : elle glissa, je tendis les bras pour l'attral’attra­per au vol, mais après avoir lâché son tablier, laissant les cerises dégringoler, elle resta à cali­fourchon sur la grosse branche, les jupes retrous­sées très haut, découvrant jusqu'auxjusqu’aux fesses.
 
Colette n'osaitn’osait faire un mouvement, et restait là dans une indécence qui me comblait d'aised’aise. Enfin, sur mon conseil, elle recula le long de la branche en s'aidants’aidant de ses mains, et m'offrantm’offrant les plus aimables horizons, elle se laissa aller à terre, où je la reçus dans mes bras. La belle était toute interdite, et moi tout allumé par les excitantes nudités dont elle venait de régaler mes yeux. Je me demandais comment j'allaisj’allais lui faire payer son larcin.
 
Au lieu de m'amuserm’amuser à la gronder, je la serrai contre moi, pressant sous mes mains une belle gorge sans corset, dont je sentais palpiter les gros seins à travers la légère toile, comme s'ilss’ils étaient nus, et l'embrassail’embrassai fortement sur ses grosses lèvres rouges, la complimentant des charmes ravissants qu'ellequ’elle venait de m'étalerm’étaler si indécemment. Une rougeur pudique envahit ses joues. Je m'avisaim’avisai de passer ma main sous ses jupes : elle ne fit pas la moindre résistance, mais serra énergiquement les cuisses, pour m'empêcherm’empêcher de gagner les hauteurs.
 
Devant cet obstacle, je m'avisaim’avisai d'und’un stratagème qui réussit généralement ; je tournai par derrière, coulant ma main sous les fesses par la large sente qui offre un facile passage, et malgré l'énergiquel’énergique défense des cuisses, j'arrivaij’arrivai facilement au but. Comme si elle n'attendaitn’attendait que ça pour se déclarer vaincue, Colette écarta ses jambes, et je pus enfin la caresser tout à mon aise. Son con brûlant consentait lui aussi, car il s'ouvraits’ouvrait sous mes doigts comme pour les engager à entrer. Ses genoux ployaient, elle s'affaissaits’affaissait peu à peu, si bien qu'ellequ’elle «'assits’assit enfin, et s'étendits’étendit sur le gazon.
 
Je portai mes doigts à mon nez, ils fleuraient assez la crevette, mais l'odeurl’odeur en était très suppor­table, et la pensée de m'enm’en tenir là, n'eutn’eut pas la durée d'und’un éclair. Je me dis que ce que j'allaisj’allais mettre en ce conin odorant, aurait joliment tort de faire le dégoûté ; peut-être aurais-je hésité à y fourrer la langue, mais sire Jacques en avait vu bien d'autresd’autres, et n'avaitn’avait pas toujours occupé des logis aussi avenants. Vive la nature, d'ailleursd’ailleurs ! Elle était trop engageante, l'offrel’offre que me faisait cette ouverture béante, pour que j'yj’y restasse insen­sible, et je vins m'étendrem’étendre sur le corps qui attendait le mien, bien que cette posture ne fut pas sans danger pour Colette.
 
J'entraiJ’entrai dans une véritable fournaise, mais non sans difficulté, malgré la bonne volonté qu'yqu’y mettait la jeune femme, car j'aij’ai un bracquemart assez coquet. Je ne sais de qui Colette avait pris des leçons, mais elle jouait du croupion comme la plus habile praticienne que j'aiej’aie tenue sous moi. Elle me secouait sur son corps, et y allait de si bon cœur, qu'ellequ’elle s'épanchas’épancha deux fois, en me tirant des larmes.
 
Je lui glissai une pièce d'ord’or dans la main, qu'ellequ’elle eut l'airl’air de refuser, mais engloutit fort bien dans la poche de son tablier. Comme à ce moment elle était à genoux, penchée en avant, pour ramasser ses cerises, cette posture engageante m'invitam’invita à la prendre en levrette.
 
Je vins par derrière et troussai ses jupes sur ses reins, découvrant le beau reposoir arrondi. Elle comprit ce que je lui voulais, connaissant sans doute la posture, car elle posa ses mains à terre, s'accrochants’accrochant à l'herbel’herbe, pour recevoir le choc sans broncher. Elle avait une superbe paire de fesses ; je poussai sous cette belle arche de chair jusqu'aujusqu’au con encore humide de la récente escarmouche, et pénétrai plus facilement que la première fois, entre ses parois lubrifiées. Elle me devança, malgré le plaisir indicible que j'éprouvaisj’éprouvais à heurter ces belles fesses. Je l'inondail’inondai jusqu'aujusqu’au cœur.
 
Nous nous en allâmes chacun de notre côté. Cet opulent fessier si ferme, si élastique, me han­tait la cervelle depuis que je l'avaisl’avais pressé sous mon ventre, pendant la fouille en levrette. Chaque fois que je rencontrais Colette seule chez elle, je profitais de l'occasionl’occasion pour découvrir son cul charmant et le caresser, et je la baisais ainsi pour sentir ses grosses fesses blanches contre ma peau ; mais je n'avaisn’avais pas eu encore le loisir de me loger dans l'arrièrel’arrière-train, opération délicate, à laquelle je la préparai de longue main. Et enfin un beau jour que nous avions tout notre temps, elle consen­tit à m'ym’y recevoir.
 
Elle se lavait maintenant, à grande eau ; je le lui avais demandé pour une surprise que je lui ména­geais, et dont je ne me serais pas avisé à l'époquel’époque où elle ignorait les soins d'hygièned’hygiène. Ce jour-là, je commençai par la surprise dont je lui avais parlé.
 
Jamais femme étonnée comme celle-ci, quand elle me vit inaugurer le divertissement inconnu. Elle m'écartaitm’écartait de ses mains, reculait son derrière, comme honteuse de me voir agenouillé devant ce qui s'ouvres’ouvre pour pisser, mais j'insistaij’insistai si bien, que, trouvant la chose exquise, elle se laissa faire. M'avançantM’avançant son con satiné, elle le frotta fortement sur mes lèvres qui la gamahuchaient, et pressant ma nuque de ses deux mains, trois fois de suite elle goûta une volupté ineffable.
 
Je l'installail’installai ensuite sur le bord du lit et par-dessous ses jupes retroussées, j'attaquaij’attaquai la place forte, après avoir contemplé et caressé le beau derrière bien propre et bien blanc. Elle ne fut pas moins surprise des caresses inédites que prodi­guaient à ce coin délaissé du mari, mes lèvres et ma langue pour la préparer à y recevoir ma queue. Sur mon conseil, elle m'aidam’aida à percer l'huisl’huis, malgré la souffrance que lui causait l'élargissementl’élargissement de l'entréel’entrée par la grosse machine qui s'enfournas’enfourna péniblement dans les parois dilatées, jusqu'auxjusqu’aux profondeurs de l'anusl’anus. De mes doigts glissés sous sa toison noire, je la fis jouir en même temps que je lui en mettais plein dans ses entrailles.
 
Je lui montrai aussi à emboucher la trompette. Elle s'ys’y révéla très vite experte, avalant toute la décharge jusqu'àjusqu’à la dernière goutte, sans éprouver le moindre haut-le-cœur. Cette obstination à téter mon sucre d'orged’orge, n'étaitn’était pas pour me déplaire.
 
C'étaitC’était en échange de la rosée que je lampais dans sa fontaine d'amourd’amour, me dit-elle en s'essuyants’essuyant les lèvres.
 
 
Ligne 51 :
Comme je ne pouvais avoir tous les jours ma jolie fermière sous la main, je reluquais les jolies faneuses occupées alors aux foins.
 
C'étaientC’étaient toutes des jeunes filles et des jeunes femmes. Le bataillon en était fort gai. Il y avait surtout, dans le nombre, une belle brune piquante, très délurée, d'und’un entrain du diable, par ce soleil de plomb qui cuisait les faneuses, malgré le large chapeau de grosse paille abritant leur figure.
 
Elle poussait ses compagnes, les culbutant sur le foin épandu, où elles roulaient tête sur cul, mon­trant d'adorablesd’adorables coins de chairs nues. Quand l'unel’une tombait malencontreusement, les jupes renversées, comme on ne porte pas de pantalon aux champs, elle montrait tout : les jambes, les cuisses, les fes­ses, que leurs compagnes s'amusaients’amusaient à venir pincer au vif, à la grande hilarité des hommes qui fau­chaient plus loin, et qui se haussaient pour mieux voir ; tout cela en ma présence, car j'encourageaisj’encourageais du regard ces jeux qui ne manquaient pas de piquant avec l'imprévul’imprévu des découvertes. Les culbu­tées se relevaient, rouges de confusion, lançant des regards furibonds à la vigoureuse fille qui se tenait sur ses gardes pour éviter la réciproque.
 
Une après-midi, je leur fis signe de se mettre à plusieurs, pour rendre fèves pour pois à la robuste Madelon. Tout à coup, pendant qu'ellequ’elle surveillait du coin de l'œill’œil ses voisines, quatre faneuses, par derrière, se précipitent sur elle, et dans une poussée véhémente, l'envoientl’envoient rouler à mes pieds, les jupes sens dessus dessous, montrant son gros derrière, brun comme sa figure. Les faneuses tombèrent en arrêt sur l'objetl’objet en montre ; les unes maintenaient la fille renversée, les autres se vengeaient sur ses grosses fesses et ses cuisses, qu'ellesqu’elles claquaient et pinçaient au sang, en chantant :
 
Tiens donc bon, belle Madeleine,
 
Tiens donc bon, belle Madelon.
 
Une autre même, plus enragée que ses compa­gnes, s'attaquants’attaquant à la perruque, lui en arracha quelques poils.
 
Aussitôt debout, la Madelon, voyant une grosse fille rousse qui enroulait ces poils autour de son doigt, bondit sur elle, l'empoignal’empoigna à bras le corps* la renversa sur son bras gauche, lui passa brutale­ment la main sous les jupes qui remontèrent jus­qu'àqu’à mi-cuisses, et tandis que la fille se débattait, elle lui secoua vivement la toison, en arrachant une touffe de poils roux, qu'ellequ’elle brandit en s'écriants’écriant :
 
— Je les voulais pour remplacer ceux qu'ellequ’elle m'am’a volés, mais ça n'iraitn’irait pas avec mes poils noirs, cette queue de vache qu'ellequ’elle a sur le ventre.
 
Toute la galerie de rire, et moi aussi, après quoi j'intervinsj’intervins pour ramener le calme.
 
Je me demandai cependant comment je pourrais tenir dans un coin cette belle faneuse si délurée, qui certainement avait vu le loup. C'étaitC’était une fille d'und’un village voisin, en service chez un de mes fermiers, pour se faire une petite dot.
 
Elle était la promise d'und’un valet de ferme, qui venait la faire danser le dimanche. Ils attendaient d'avoird’avoir amassé chacun de leur côté le petit pécule nécessaire pour s'établirs’établir. En attendant ils prenaient des acomptes sur l'avenirl’avenir, disait-on. C'étaitC’était assez commun dans le pays.
 
La vue des belles fesses de Madelon m'avaitm’avait donné envie d'elled’elle, et quand, à la tombée de la nuit, les ouvrières rentrèrent de leur travail, je 3'abordai3’abordai, lui parlant de son futur mariage. Comme elle réglait son pas sur le mien, et que ses compa­gnes avaient pris de l'avancel’avance, j'enj’en profitai pour lui déclarer, à brûle-pourpoint, mes intentions.
 
— Sais-tu, belle Madelon, que tu as là une fière beauté, lui dis-je, en palpant son gros cul par-des­sus le jupon.
 
— Parguienne, comme toutes les filles, répondit-elle, sans s'émouvoirs’émouvoir du compliment non plus que du contact.
 
— Et cependant, ma fille, je paierais cher pour la revoir sans témoins, cette merveille, et la cares­ser, comme l'onl’on fait tantôt tes compagnes. Je don­nerais bien un beau louis pour voir et tâter ton gros derrière.
 
— Dam ! not'not’ maître, s'ils’il ne faut que ça pour vous faire plaisir, je puis ben vous le montrer en payant, puisque vous l'avezl’avez déjà vu gratis. Mais à c t'heuret’heure, je ne vois pas où je pourrais contenter vot'vot’ fantaisie...fantaisie…
 
Elle disait cela du ton le plus naturel du monde, sans le plus léger trouble apparent. Je pris les devants, en lui indiquant la grange au foin, où j'allaij’allai l'attendrel’attendre. Elle m'ym’y rejoignit quelques ins­tants après.
 
La belle se prêta de la meilleure grâce à mon inspection, se laissant trousser par derrière, me per­mettant d'examinerd’examiner, de palper, de manier ses belles fesses potelées, d'uned’une envergure remarquable dans la posture penchée qu'ellequ’elle avait prise sur mon désir, dures au toucher, et recouvertes d'uned’une peau épaisse, résistante. J'avaisJ’avais gagné, dans cette exci­tante inspection, une violente érection, surtout à manipuler le bijou, que je trouvai bâillant et suant, du pénible labeur de la journée.
 
Après toutes ces caresses consenties, reçues de bon gré sur tous ses charmes nus, je pensais qu'ellequ’elle ne résisterait pas davantage pour la consomma­tion de l'œuvrel’œuvre de chair, et je la culbutais sur le foin, me disposant à empaumer ce bijou, dont je venais de constater l'étatl’état de rut- Mais elle s'étaits’était relevée soudain, bondissant, mue comme par un ressort, me repoussant énergiquement, se refusant absolument à la chose, et je compris bien que je n'enn’en serais pas le maître, même en usant de vio­lence.
 
— Ce n'estn’est pas dans nos conventions, cela, not'not’ maître, me dit-elle, je vous ai laissé faire tout ce que vous m'aviezm’aviez demandé, vous avez vu, caressé tout à votre aise, mon cul et autre chose, qui n'étaitn’était pas dans nos entendus, mais pour cet'cet’ affaire, elle est ben trop dangereuse, et pourrait gâter la mienne auprès de mon galant.
 
— Mais, belle Madelon, je sais ce qui convient aux filles, et jusqu'oùjusqu’où l'onl’on peut aller. Tu n'asn’as pas attendu d'ailleursd’ailleurs jusqu'icijusqu’ici pour te laisser mettre, ça se voit bien à l'ouverturel’ouverture qui est faite.
 
— Oui, dà, not'not’ maître, mais c'estc’est mon futur époux, et il est aussi sage que prudent...prudent…
 
Je vis bien que malgré mon insistance je n'auraisn’aurais pas le dernier mot ; je lui glissai néanmoins le louis promis, car elle avait tenu sa parole à la lettre, la futée commère. Elle le prit en me remerciant, puis se sauva en courant, craignant d'êtred’être tancée pour son retard.
 
En me retournant, je maugréais contre ma naï­veté de m'êtrem’être ainsi laissé monter en bateau par une délurée de cette trempe, qui avait accepté si délibérément de me laisser tripoter ses fesses pour de l'argentl’argent.
 
Bon ! pensé-je à cette réflexion, il n'yn’y a qu'àqu’à y mettre le prix : nous l'yl’y mettrons...mettrons…
 
 
Ligne 105 :
==EN Y METTANT LE PRIX==
 
Le lendemain je trouvai l'occasionl’occasion de parler à la Madelon. Je lui renouvelai ma proposition, en lui montrant deux jaunets, cette fois. Après quelques secondes d'hésitationd’hésitation, ses yeux, allumés par la convoitise, consentirent. Il fut convenu qu'ellequ’elle quitterait sa besogne, une heure avant les autres, sous un prétexte quelconque, et viendrait me rejoindre dans le grenier à foin.
 
Après avoir assisté aux ébats des faneuses, pour me mettre en train, j'allaij’allai m'installerm’installer dans le gre­nier, où Madelon vint bientôt me rejoindre. Elle arriva haletante, toute en sueur.
 
— Me v'iàv’ià, dit-elle souriante, toute à vot'vot’ ser­vice, not'not’ maître...maître… Mais vous savez...savez…
 
— Sois sans inquiétude, ma fille, je connais la limite qu'onqu’on ne doit pas franchir, et je saurai m'arrêterm’arrêter à temps.
 
— Oh ! je veillerai ben aussi au grain.
 
Elle était déjà sur le foin, troussée jusqu'aujusqu’au nom­bril, s'offrants’offrant dans un rut de bête en chaleur, les poils de son épaisse toison noire mouillés, les cuis­ses bondissantes, humides, le gros bouton rutilant à l'entréel’entrée de la chair ouverte, assoiffée d'amourd’amour.
 
Elle se planta elle-même le gros outil à faire la joie qui battait entre ses cuisses, s'enferrants’enferrant toute seule d'und’un vigoureux coup de reins jusqu'auxjusqu’aux poils, et je m'étendism’étendis sur la gorge nue, qu'ellequ’elle avait mise à ma disposition, écartant tous les voiles. Je pati­nai ces seins palpitants, tout moites ; je les mordil­lai, grimpant, par un baiser ascendant jusqu'auxjusqu’aux aisselles, fourrant mon nez sous les poils trempés, qui sentaient le fauve. Je me grisai de cette odeur, lui laissant le soin de la besogne, car elle se déme­nait comme un démon sous mon corps.
 
Elle prit mes lèvres entre les siennes, me mordant jusqu'aujusqu’au sang, tandis que sa croupe bondissait, que son con se tordait sur ma quille. Mais, soudain, devinant que l'oragel’orage allait crever, elle se dégagea d'und’un brusque coup de cul et reçut ma décharge entre ses cuisses serrées sur ma colonne, qu'ellesqu’elles frottaient vigoureusement.
 
Madelon s'ys’y était prise à temps pour éviter un accident ; j'étaisj’étais tellement enserré dans l'étaul’étau de son con, que je n'auraisn’aurais pas pu me dégager sans son aide.
 
Après s'êtres’être essuyée superficiellement d'uned’une poi­gnée de foin, elle me permit, au constat du brillant état où j'étaisj’étais encore, de la reprendre à mon gré. Je l'installail’installai dans une posture qu'ellequ’elle ne connaissait pas, n'enn’en ayant jamais pris d'autred’autre avec son ce pro­mis », que celle dans laquelle je venais d'apprécierd’apprécier son habilité remarquable. Je la fis mettre à genoux, penchée en avant, pour avoir son beau derrière sous mon ventre. Ses fesses étaient en moiteur et le vallon satiné qui les coupe en s'élargissants’élargissant lui­sait des perles de sueur accumulées au bas de la raie, à l'entréel’entrée de la sente qui fuit entre les cuisses. Ici encore j'avaisj’avais une superbe croupe à heurter ; elle émergeait des deux côtés de mes flancs, pendant que je fouillais la belle vulve avec délices, tout en mordillant la nuque fraîche.
 
Je voulais terminer l'affairel’affaire seulement entre les cuisses, dans la sente du cul, mais je bandais tel­lement, quand je me retirai de l'huisl’huis voisin, que je m'avisaim’avisai de pointer mon dard dans l'œill’œil percé au bas du vallon, essayant de l'yl’y introduire, mais sans succès. Madelon semblait se demander où je voulais aller.
 
— Aide-moi à entrer là-dedans, lui dis-je.
 
— Mais jamais vous ne pourrez forcer la porte...porte…
 
— On y entre au contraire fort bien, ma belle Madelon ; un louis de plus si tu m'aidesm’aides.
 
Cette offre ne pouvait manquer de la convaincre. Je lui montrai comment elle devait s'ys’y prendre. Elle tira bravement sur les stries du petit trou, et sentant la pointe pénétrer, malgré la cuisson de ce dépucelage, elle tira plus fortement encore et le gland passa, puis l'enginl’engin tout entier, dilatant les parois, s'enfonçants’enfonçant dans l'abîmel’abîme ; mais à peine fut-il plongé dans le nid moelleux des entrailles, qu'ilqu’il se dégorgea, étranglé dans le sphincter, entre les fes­ses qui se tordaient, car Madelon achevait d'und’un doigt alerte glissé dans son conin le plaisir resté en route.
 
AÀ ce compte, not'not’ maître, tout mon corps est à vot'vot’ service, dit-elle, en empochant le prix de ses faveurs.
 
Comme elle partait, après m'avoirm’avoir tiré sa plus gracieuse révérence, une fantaisie nouvelle me vint : je voulus savoir jusqu'oùjusqu’où cette fille pousserait l'amourl’amour du lucre- Je la rappelai et lui demandai si elle voulait gagner cent sous de plus.
 
— Je veux ben, not'not’ maître, mais comment ?
 
Je tirai mon membre tout ratatiné de ma bra­guette et, le lui montrant, je lui dis qu'ilqu’il fallait le prendre dans la bouche et le sucer jusqu'àjusqu’à ce qu'ilqu’il crachât sa crème, et que si elle n'avalaitn’avalait pas tout, jusqu'àjusqu’à la dernière goutte, elle n'auraitn’aurait pas un sou.
 
Elle s'agenouillas’agenouilla et sans sourciller se mit à me sucer comme je le lui avais demandé. Voyant que ma queue restait rebelle à ces délicieuses caresses, et comme je connais un moyen d'érectiond’érection très sûr, je demandais à Madelon si elle voulait que j'ajoutej’ajoute encore cent sous à ceux que j'avaisj’avais promis.
 
Sur sa réponse affirmative, je baissai mon pan­talon, et me retournant, je lui présentai mon cul en lui demandant de le lécher de son mieux. Je sentis aussitôt ses lèvres et sa langue courir sur mes fes­ses, passant et repassant dans la raie, s'arrêtants’arrêtant au trou, qu'ellequ’elle pointa pendant cinq minutes, occu­pant ses mains, sur mon désir, à peloter mon mem­bre et les témoins suspendus au-dessous.
 
L'enginL’engin en état, je me retournai de nouveau, lui présentai ma grosse pine, qu'ellequ’elle happa entre ses lèvres, l'enfournantl’enfournant dans sa bouche qui me suça de cent façons, tandis que ses mains pressuraient mes réservoirs, jusqu'àjusqu’à ce que je sente les écluses se rompre. Je lui criai alors :
 
— Avale bien tout, car si tu en laisses une goutte, adieu la finance...finance…
 
Elle me pompa délicieusement, aspirant la li­queur qui s'élançaits’élançait dans son gosier. Madelon avait tellement peur de perdre son argent, qu'ellequ’elle me suçait encore que je n'enn’en avais plus une larme dans les couilles. Elle aurait fini par me retirer du sang, si je n'avaisn’avais pas sorti mon robinet de ses lèvres.
 
Quand je la rencontrais dans un coin, et que je n'avaisn’avais pas le temps ou la commodité de le lui met­tre, ce qu'ellequ’elle me permettait maintenant au rabais, Madelon me tirait pour cent sous de foutre, qu'ellequ’elle avalait avec un plaisir extrême.
 
 
Ligne 159 :
==JANINE LA ROUSSOTTE==
 
La fille à laquelle Madelon avait arraché une touffe de poils roux avait gardé la qualification de Queue-de-vache ; mais comme elle avait le carac­tère bien fait, elle ne s'ens’en fâchait pas. Quelques taches de rousseur sur sa figure blonde et son épaisse chevelure rousse l'avaientl’avaient fait baptiser, dans sa jeunesse, la Roussotte, et on la désignait sous ces deux appellations.
 
Elle paraissait soupçonner mes relations avec la Madelon, ayant dû nous surveiller et surprendre nos secrets. Et il lui vint sans doute l'idéel’idée de la supplanter auprès de moi. Elle se mit à me lorgner d'und’un œil tendre, et je ne pus me méprendre à la signification de ce regard.
 
Son obstination à me lancer des œillades, sa jolie figure blonde, avenante malgré ses rousseurs, son corps dodu, pourvu de rondeurs engageantes, me décidèrent à tenter l'aventurel’aventure ; puis ces peaux de rousse, en général si fines, sont une tentation de plus.
 
L'occasionL’occasion se présenta plus tôt que je ne l'espél’espé­rais. Une après-midi, suspendant les travaux de la fenaison, la Roussotte était venue aider ma femme de ménage à faire la lessive.
 
Elles étaient toutes deux occupées dans la buan­derie, au milieu de la chaleur étouffante que le foyer entretenait dans cette pièce, en plein mois de juin. Elles s'étaients’étaient mises à l'aisel’aise : une simple cotte d'indienned’indienne, descendant à mi-jambes, laissait voir jusqu'aujusqu’au genou, quand elles se penchaient pour tisonner le feu, le derrière fièrement bombé, le buste enfermé dans une simple chemise de toile grossière, sans manches, qui découvrait jusqu'àjusqu’à la naissance de la rose vermeille les seins rebondis. Je parle de ceux de la Roussotte, car ma femme de ménage était d'und’un âge à ne plus me tenter.
 
Quand la jeune fille s'inclinaits’inclinait vers moi, je voyais le val profond creusé dans la chair, entre les deux beaux tétons qui glissaient hors de la chemise. Elle était obligée de les rentrer en se relevant et ne paraissait pas se douter de sa nudité.
 
Une touffe épaisse de poils roux brillait sous l'aissellel’aisselle. Les épaules larges et râblées, découvertes très bas par la chemise évasée, étaient d'uned’une fine peau plus blanche que neige, sur laquelle perlaient des gouttes de sueur. Sa lourde chevelure rousse, tordue en deux épais bandeaux, se nouait au sommet de la tête.
 
La femme de ménage s'absentas’absenta un instant ; je m'approchaim’approchai de la Roussotte, qui me regardait sans bouger. Je lui levai le menton, et plongeai dans l'entrebâillementl’entrebâillement de la chemise mon œil gourmand de cette belle gorge blanche, piquée au milieu d'uned’une rose rouge. Je glissai ma main entre ses seins qui palpitèrent sous mes doigts, mais la belle, émue, ne bougeait pas. La gorge était en moiteur, avec des perles sur les contours des globes. Les boutons se raidirent sous mon pelotage. J'yJ’y portai mes lèvres, les prenant entre les dents, les suçant, pour les raidir de plus belle. Je lui fis lever le bras, me collant aux aisselles, mordillant les poils mouillés ; chez cette grosse fille rousse, l'odeurl’odeur était plus forte que chez la brune, et je l'aspirail’aspirai à plein nez. Décidément cette odeur de fauve me grisait.
 
Je plaquai ma bouche sur la sienne, dardant ma langue, écrasant sa gorge dans une main, pal­pant le beau postérieur de l'autrel’autre, par-dessus le jupon. Celui-ci étant fendu, ma main s'insinuas’insinua par l'ouverturel’ouverture, et le contact fut plus intime sur la chemise mouillée, collée aux fesses moites, que je sentis frémir sous mes doigts caressants.
 
Je bandais terriblement ; mais la femme de ménage pouvait revenir d'und’un moment à l'autrel’autre, et nous surprendre. Je me contentai, tout en tenant la Roussotte contre ma poitrine et la baisant sur la bouche, de relever peu à peu la chemise par der­rière et de glisser ma main sous les fesses, allant accoster le bijou voisin que je branlai tant bien que mal dans cette posture difficile. La sueur et la rosée que distillait le bouton ému dégouttaient sur mes doigts, tandis que la mâtine palpitait dans mes bras, en flageolant sur ses jambes.
 
Je la laissai toute rouge, en entendant les sabots de la femme de charge qui nous retrouva causant le plus naturellement du monde. J'étaisJ’étais dans un état facile à deviner, et je cherchais un prétexte pour éloigner ce témoin gênant, quand elle me le fournit en allant donner des ordres aux laveuses.
 
J'avaisJ’avais porté mes doigts à mon nez, et le fumet sui generis qu'ilsqu’ils exhalaient me confirma qu'iciqu’ici encore j'étaisj’étais tombé sur une amie de la nature. Je commençais à m'ym’y faire, et il n'estn’est pas dit qu'unqu’un jour, je ne prenne assez goût à la chose, pour tenir une conversation intime avec un petit bec salé.
 
Dès que la vieille fut partie, je n'eusn’eus rien de plus pressé que d'inspecterd’inspecter les lieux que je venais de caresser dans l'ombrel’ombre. Janine, qui s'attendaits’attendait bien à d'autresd’autres caresses, se laissa emporter sur un lit de repos installé dans la buanderie.
 
Je la renversai, la découvrant jusqu'aujusqu’au nombril. Un superbe bouquet de poils roux, bien dénommés queue de vache, couvrait la moitié du ventre. Je m'agenouillaim’agenouillai pour admirer les abords du sanc­tuaire : ils étaient frais et vermeils, à peine entrou­verts, et je me demandais s'ilss’ils étaient ou non taillés, car mes doigts étaient restés à l'entréel’entrée.
 
Je mis le nez sur sa motte, pour la flairer ; c'étaitc’était bien le fumet qu'avaientqu’avaient rapporté mes doigts de leur exploration, mais plus fort, plus accentué ; je ne pus me retenir cependant d'yd’y mettre un baiser, mais ce fut tout, je n'osain’osai pas aller plus loin, fouiller avec la langue l'intérieurl’intérieur de la cavité, malgré que les lèvres se fussent écartées brusque­ment sous cette caresse inédite pour elles, et que le bouton, qui se montrait tout raidi à l'entréel’entrée, frétillât d'uned’une façon bien engageante.
 
Je me relevai vivement. La Roussotte avait les yeux fermés, sa gorge battait, je lâchai les cordons de sa chemise et, m'avançantm’avançant entre ses cuisses, je vins lui donner l'accoladel’accolade, étendu sur ses gros seins palpitants. La verge entra sans trop de diffi­culté, car l'avenuel’avenue avait été bien pratiquée, mais dès que je fus dedans, plongé jusqu'aujusqu’au fond, la gaine se rétrécit et la fouille devint si difficile, que ma verge enclose dans ce fourreau, lança tout son paquet dans le dangereux détroit qui ne rend pas toujours ce qu'onqu’on lui donne.
 
Je jouissais tellement, de compagnie avec la donzelle, qui d'ailleursd’ailleurs n'avaitn’avait pas cessé de jouir depuis l'entréel’entrée en danse, que je ne pensai pas tout d'abordd’abord aux suites désastreuses que notre impru­dence pouvait avoir. Elle me garda longtemps plongé dans son sein, se tordant sous ma pique tandis que je restais immobile.
 
Ces lèvres qui me pinçaient, ce fourreau qui m'étranglaitm’étranglait, m'entretenaientm’entretenaient dans une violente ardeur, et j'essayaij’essayai de jouter dans l'étroitl’étroit asile. L'élasticitéL’élasticité des parois desserrées me permit cette fois de fouiller de fond en comble cet aimable logis, tandis que la chaude fille, revenue à elle, me suçait les lèvres. Quand je sentis monter la nouvelle éjaculation, je voulus me retirer, mais les pinces du vagin me saisirent plus fort, les parois se resserrèrent, et je foudroyai derechef la panse de la fille enclouée.
 
Lorsque nous nous dégageâmes, je me retirai assez facilement jusqu'auxjusqu’aux bords ; mais le gland se trouva pris dans les petites lèvres ; je dus tirer, et en sortant il fit floc...floc…
 
La Roussotte se releva souriante, et aussi calme que si elle n'avaitn’avait rien gardé dans son con, s'essuyants’essuyant simplement avec un vieux linge ; je lui fis part de mon inquiétude.
 
— Oh ! je ne crains rien, me dit-elle, il y a longtemps que j'enj’en ai fait l'expériencel’expérience ; quand on est dedans et que je jouis, une petite affaire d'end’en­fant n'enn’en sortirait pas... ,pas…
 
— Mais il suffit d'uned’une fois pour être prise, tu le sais bien, Janine...Janine…
 
— Non, non, je n'ain’ai rien à craindre...craindre…
 
Cette assurance ne me suffisait pas, et je courus chercher un injecteur dont je lui enseignai à se servir. Je versai de l'eaul’eau fraîche dans une bassine, et je lui montrai à manœuvrer la poire. Elle pous­sait des petits cris d'effroid’effroi pendant l'opérationl’opération.
 
Lorsque je fus un peu rassuré, je visitai l'insl’ins­tallation postérieure. La Roussotte avait un beau derrière, à la peau très blanche et d'uned’une extrême finesse, constellée de taches de rousseur. Je ne pouvais me lasser de contempler la chair potelée de ces belles fesses de paysanne, et je leur prodi­guai des caresses qui lui furent si sensibles, que son gentil conin se mit à bâiller d'aised’aise. La petite ablution que je venais de lui infuser fit naître en moi la fantaisie qui m'avaitm’avait mordu tout à l'heurel’heure devant l'odorantel’odorante vulve, et qui s'étaits’était bornée à un simple baiser déposé au bas de l'épaissel’épaisse toison dorée.
 
Je la culbutai de nouveau sur le bord du lit, et je m'agenouillaim’agenouillai devant l'ouverturel’ouverture taillée dans la chair vive, exhibant sous le bouquet de poils roux, le joli bouton rose, qui, malgré le récent arrosage, exhalait encore une forte odeur. Cette senteur, loin de m'arrêterm’arrêter, me grisa ; je me collai à ces deux fines lèvres, prenant entre mes dents le petit bouton, le mordillant...mordillant…
 
La chaude fille se trémoussa comme une possé­dée, ses cuisses bondissaient, enserraient ma tête, le bouton raidi frétillait vivement, lâchant sa mousse. Je la léchai ainsi pendant dix minutes, et l'onl’on aurait pu dénombrer ses tendres soupirs, car elle n'arrêtaitn’arrêtait pas de jouir sous mes lèvres.
 
Quand je quittai ces bords nettoyés par ma langue, ils étaient toujours brûlants ; ces filles rousses ont de véritables volcans sous leurs toi­sons enflammées. Janine m'exprimam’exprima sa surprise de cette façon délicieuse, mais un peu osée, de tra­vailler au bonheur du con.
 
J'avaisJ’avais gagné à ce stimulant exercice une vigueur suffisante, pour l'essail’essai que je voulais faire du casse-noisette que m'avaitm’avait révélé l'entréel’entrée de son bijou. Comme la femme de ménage ne revenait pas, je fis mettre Janine debout, et pendant qu'ellequ’elle tenait ses dessous relevés, je vins, la verge en main, frotter son bouton du bout de mon gland, qu'ilqu’il lubrifia en un rien de temps.
 
Quand je fus bien en train, comme la bouche bâillait toujours, je plantai la tête de mon membre dans les petites lèvres, qui se refermèrent aussitôt sur lui. Elles jouaient toutes seules, se serrant et se desserrant, le suçant comme les deux lèvres d'end’en haut, lui tirant, jet par jet, toute sa liqueur, et me faisant goûter une volupté inouïe- Cette fois, la Roussotte prit la précaution que je venais de lui enseigner.
 
La femme de charge prolongeant son absence, je songeai à faire l'abordagel’abordage du postérieur, à prendre le pucelage que j'yj’y avais constaté, mais je résistai à la tentation, ne me sentant pas en assez brillant état pour être sûr de ne pas rester en panne. D'ailleursD’ailleurs, ce qui est différé n'estn’est pas perdu, et je m'enm’en allai, après avoir payé à Janine le prix de ses faveurs, qu'ellequ’elle ne refusa pas, elle non plus.
 
Le lendemain, je lui plantai mon dard dans les fesses, après lui avoir léché le bouton pendant un bon moment, follement grisé par ce fumet d'uned’une salure plus accentuée encore que la veille, ce qui ne l'empêchal’empêcha pas de jouir ensuite sous mon doigt tout le temps de l'occupationl’occupation de son posté­rieur.
 
Je m'étaism’étais trouvé si bien dans ces éblouissantes fesses blanches que je ne prenais plus la belle fille que par cette voie, dans laquelle on peut s'épanchers’épancher sans souci, car je soupçonnais très fort la rusée de garder trop volontiers en son sein de la graine de maître.
 
Les trois aimables commères servaient ainsi tour à tour à mon plaisir, au gré de l'occasionl’occasion ; la jolie fermière prenant tout dans son vagin, Madelon entre ses cuisses ou dans sa bouche devenue gour­mande, la Roussotte dans ses entrailles, et je ne sais lequel de ces aimables logis me ravissait le mieux.
 
Depuis quelques jours, la Roussotte m'offrem’offre son chat bien propre et parfumé à l'eaul’eau de Cologne, j'ignorej’ignore pour quelle raison, car je ne lui ai donné aucun conseil à ce sujet ; je ne l'enl’en traite pas moins bien pour cela, au contraire, mais il m'arrivem’arrive parfois de regretter le fumet disparu.
 
 
Ligne 233 :
==MARIANNE ENTRE EN SCENE==
 
Sur ces entrefaites, la moisson arriva. Mon trio d'aimablesd’aimables encroupées continuait à me fournir des plaisirs variés, interrompus par des repos for­cés, et je n'étaisn’étais d'ailleursd’ailleurs pas fâché d'avoird’avoir quelque répit ; avec des vampires de ce calibre, il aurait fallu l'inépuisablel’inépuisable ce massue » d'Herculed’Hercule. Cependant, pour un viveur blasé, je ne m'enm’en tirais pas trop mal.
 
Parmi les moissonneuses il y avait une jeune femme dont le mari touchait les bœufs dans une de mes fermes. Elle était au mieux avec Janine dont elle était devenue la voisine en se mariant. J'avaisJ’avais remarqué depuis longtemps son joli écrin de perles luisantes, fines et serrées, qui témoignait, par leur nacre éblouissante, des soins quotidiens qu'ellequ’elle prenait de sa bouche, à l'encontrel’encontre des paysannes, qui laissent ce soin à la nature.
 
Marianne les montrait à tout bout de champ, surtout quand je lui en vantais l'éclatl’éclat. Mais elle les cachait obstinément derrière ses lèvres qui ces­saient de sourire, dès que j'essayaisj’essayais de pousser une pointe dans le domaine de ses charmes intimes. Elle devenait sérieuse quand je tentais de la sé­duire, et avait jusqu'icijusqu’ici repoussé mes avances par un refus obstiné.
 
La moisson touchait à sa fin ; on devait fêter le lendemain, comme d'habituded’habitude, la fin des tra­vaux, par un repas de Gargantua. Marianne en était naturellement et son mari aussi. La table fut dressée dans la cour. Le repas terminé, les femmes aidèrent à desservir, entre autres, Janine et Marianne.
 
J'ouvrisJ’ouvris le bal à la nuit tombante. On dansait aux sons d'und’un crincrin sur la pelouse éclairée par des lanternes vénitiennes suspendues aux arbres. Des groupes d'hommesd’hommes et de femmes buvaient du sirop et du vin à la française, dont ils raffolent.
 
Peu après l'ouverturel’ouverture du bal, Janine et son amie avaient quitté la danse. Je me mis en quête des deux fugitives, supposant qu'ellesqu’elles s'étaients’étaient écartées pour satisfaire un besoin naturel.
 
Je fis quelques recherches à l'entréel’entrée du bois, m'avançantm’avançant à pas de loup, pour les surprendre en fonction, mais je ne découvris rien. Comme j'allaisj’allais retourner sur mes pas, j'entendisj’entendis des chu­chotements, des bruits de baisers, puis le silence coupé par des soupirs étouffés.
 
Bon, me dis-je, voilà deux amoureux qui échan­gent de doux propos, n'allonsn’allons pas les troubler dans leurs tendres épanchements.
 
Je restai là, n'osantn’osant plus bouger, masqué par un buisson, qui me dérobait aux regards.
 
Bientôt, je vis deux ombres de femmes enlacées paraître dans le sentier. Je n'eusn’eus pas de doute : c'étaitc’était Janine et son amie qui venaient de s'aimers’aimer à la façon des tourterelles de Lesbie. Je croyais que ce vice charmant ne sévissait que dans les villes, où mondaines et demi-mondaines s'accous’accou­plent dans un collage étroit, quand cette passion leur cuit sous le chat.
 
Eh ! parbleu, voilà la raison de l'eaul’eau de Colo­gne ! Janine, la chaude fille, agréablement surprise par les savoureuses caresses de mes lèvres là où elle ne mettait que le doigt, avait été tellement ravie de l'exquisitél’exquisité de ce baiser onctueux, qu'ellequ’elle n'avaitn’avait pu résister à faire part à sa chère amie de l'indiciblel’indicible enchantement que lui avait révélé ma langue raffinée. Le petit goût acide leur avait déplu, et elles y avaient remédié en rendant ce coin-là propre et odorant par des bains parfumés.
 
Je me promettais, maintenant que j'avaisj’avais surpris leur secret, d'approfondird’approfondir le mystère sous les jupes de Marianne, qui aurait bien mauvaise grâce à faire encore la récalcitrante.
 
L'occasionL’occasion ne tarda pas à s'offrirs’offrir. La jeune femme, qui avait quitté son amie un moment pour aller à la cuisine, me frôla dans le corridor où je la guettais.
 
— Halte-là ! lui dis-je, on ne passe pas sans acquitter le péage...péage…
 
— Oh ! laissez-moi, monsieur, on pourrait nous surprendre, et mon mari...mari…
 
— Mais votre mari s'inquiètes’inquiète peu, à cette heure, de ce que fait sa jolie Marianne. Suivez-moi dans cette pièce, nous pourrons causer librement à l'abril’abri des curieux...curieux…
 
— Oh ! non par exemple, voulez-vous me compromettre !...
 
— Alors, vous préférez, ma toute belle, que je raconte aux danseurs que si vous avez quitté le bal avec votre amie Janine, c'étaitc’était pour aller rou­couler à deux sous la lune ? Vous ne m'avezm’avez pas vu à deux pas de vous, trop bien occupées toutes deux à votre joli badinage.
 
La petite vicieuse, atterrée par cette révélation brutale, se serrait contre moi en tremblant ; elle me suivit docilement dans la pièce à côté, qui donnait sur la cour éclairée. Je poussai le verrou par prudence.
 
Marianne, la tête sur mon épaule, me livra sa bouche qui s'ouvrits’ouvrit, laissant voir ses jolies dents nacrées, et passer ma langue qui vint saluer la sienne. Je la sentais toute troublée, sa gorge palpi­tait, soulevant son corsage.
 
Je l'assisl’assis sur un fauteuil, le derrière sur le bord, lui écartai les jambes, et m'agenouillantm’agenouillant devant elle, le nez sous les jupes, dans le séjour encore humide de sa dernière émotion et d'oùd’où s'exhalaits’exhalait une fine odeur révélatrice, je lui renouvelai le divertissement dont l'avaitl’avait réjouie son amie. J en­tendis les mêmes soupirs qu'auqu’au bois, mais plus intenses.
 
Elle ne résista pas davantage, quand je la péné­trai de mon vit rutilant dans la même posture, à laquelle elle se prêta de bonne grâce. Je me logeai jusqu'aujusqu’au fond du brûlant asile. J'avaisJ’avais trouvé sous ma langue un mignon clitoris ; et ma verge le frottait à l'entréel’entrée dans son va-et-vient incessant. Elle roucoula en se sentant inondée jusqu'aujusqu’au cœur, car ici je n'avaisn’avais pas à me gêner : il y avait le pavillon endosseur.
 
J'auraisJ’aurais volontiers réitéré, mais craignant qu'onqu’on ne fût à sa recherche et sachant que je n'auraisn’aurais désormais qu'unqu’un signe à faire pour la voir accourir, je lui payai sa complaisance et, m'assurantm’assurant que personne n'étaitn’était sur son chemin, je donnai la volée à cet oiseau rare.
 
Je la revis deux jours après. Elle rougit comme un coquelicot. Mon premier baiser sur ses lèvres la fit tressaillir de la tête aux pieds ; elle suçait les miennes et me dardait sa langue. Mon second baiser fut pour l'autrel’autre bouche ; j'enj’en profitai pour explorer les charmants environs que je n'avaisn’avais pas bien pu voir l'avantl’avant-veille.
 
Elle avait une jolie motte dorée, sous laquelle bâillait, dans un nid de poils d'ord’or, le plus joli bec rose qu'onqu’on pût voir, aux fines lèvres carminées, d'uned’une fraîcheur surprenante ; bref, un con bien fait pour séduire une lesbienne huppée, qui aurait eu l'heurl’heur de mettre son nez dessus, et aussi un ama­teur de ma trempe. Dans ce nid taillé dans la chair vermeille, un coquet clitoris rose, luisant, raidi sur le bord, vraie praline à croquer, sollicitait la langue, appelait le baiser.
 
Elle se donna tout entière au plaisir dont je l'enivrail’enivrai. Il fut si vif, qu'ellequ’elle tressaillit au premier baiser, jouissant follement au deuxième, roucoulant et soupirant tout le temps. Je ne quittai ces bords enchantés qu'aprèsqu’après plusieurs reprises qui la lais­sèrent anéantie.
 
— Janine le fait-elle aussi bien que moi, ma jolie Marianne ?...
 
Rouge de plaisir et aussi de honte pudique, elle fit non de la tête. Jamais un homme ne l'avaitl’avait encore embrassée à cet endroit, pas même son mari. Janine lui avait montré ce baiser il y avait trois semaines et depuis elles avaient délaissé le doigt pour la langue.
 
Je voulus la prendre comme le soir du bal, sur le bord de la chaise. Je m'assism’assis la culotte rabattue, la queue au vent, et elle vint s'embrochers’embrocher elle-même, trottant sur mes cuisses comme une écuyère consommée à me surprendre, par son habileté. Son mari devait aimer cette posture qui est très commode pendant la journée. J'aimeJ’aime assez à me laisser conduire au paradis, et la mâtine, qui s'ys’y entendait joliment, y entra avec moi, car je le sentis bien quand nous nous épanchâmes de concert.
 
Voyant que sa monture était toujours bien en forme, Marianne resta en selle, et se remit à che­vaucher de nouveau, mes lèvres collées aux siennes, et nous nous pâmâmes longuement.
 
Elle attendit d'êtred’être seule pour procéder à sa toilette. Je revins plusieurs fois dans la journée : j'enj’en profitai pour la faire chevaucher à reculons. Bien que ce fût le premier voyage qu'ellequ’elle fît dans cette posture, elle s'ens’en tira à merveille, et moi j'étaisj’étais dans le ravissement, en pinçant dans mes doigts ces belles fesses mouvantes, qui se tordaient en roulements voluptueux sur mon ventre.
 
 
Ligne 299 :
==VUE SUR LA LINGERIE==
 
Janine ne savait pas que j'avaisj’avais surpris leur secret ; j'avaisj’avais recommandé à Marianne de ne lui en rien dire ; elle se tut d'autantd’autant plus volontiers, que ça la dispensait de lui révéler nos relations.
 
Je m'étaism’étais mis dans la tête de les réunir toutes les deux dans la lingerie : je jouirais du coup d'œild’œil au moyen d'und’un judas que je percerais dans la cloison.. Il fallut insister longtemps pour vaincre la résistance de la pudique Marianne, qui rougissait chaque fois que je lui parlais de son amie, et encore y mit-elle pour condition que Janine ne viendrait que le matin, et que je ne me montrerais pas.
 
Au jour fixé, les deux femmes arrivèrent à huit heures ; j'étaisj’étais à mon observatoire, Dès leur entrée, elles s'embrassèrents’embrassèrent comme deux tendres amies, qui ne s'étaients’étaient pas vues depuis longtemps.
 
— Allons, au travail, maintenant, dit Marianne, ce n'estn’est pas le moment de s'amuser...s’amuser…
 
— Oh ! oh ! dit Janine, l'airl’air contrarié, pas avant de t'avoirt’avoir embrassée à l'endroitl’endroit où tu sais que j'aimej’aime tant...tant…
 
— Oh ! non, pas ici, quelqu'unquelqu’un pourrait venir, et ce serait du joli !...
 
— Attends, je vais te faire changer de gamme, nia belle...belle…
 
Janine se jeta sur son amie, comme une louve affamée, la prit dans ses bras et la fis basculer. Les jupes se retournèrent, la découvrant jusqu'àjusqu’à la ceinture. Alors que la tête en bas, Marianne serrait énergiquement les jambes pour empêcher son amie de la violer, celle-ci les écarta brutale­ment et plongea entre les cuisses, plaquant sa bouche sur l'ouverturel’ouverture béante. Ce fut un succès en très peu de temps, car les jambes repliées gigotèrent de belle façon.
 
Janine la remit debout et Marianne, la figure congestionnée, consentante cette fois, se laissa faire, mais ses jupes retombèrent, ensevelissant son amie. Je ne voyais émerger que les pieds de la partenaire, et n'apercevaisn’apercevais rien de la voluptueuse pratique qu'ellequ’elle poursuivait dans l'ombrel’ombre, mais j'avaisj’avais sous les yeux la mimique expressive de la jouisseuse. Ses yeux exprimaient sa passion, ses lèvres tremblaient, sa gorge palpitait, enfin ses hanches ondulèrent, et j'entendisj’entendis ces mêmes soupirs qu'ellequ’elle exhalait chaque fois sous ma langue. Janine émergea de dessous les jupes, rouge, essoufflée, attendant son tour bien gagné. Voyant qu'onqu’on ne lui offrait rien, car Marianne avait repris son ouvrage et s'asseyaits’asseyait tranquillement, elle s'écrias’écria :
 
— Eh bien ! et moi...moi… je n'aurain’aurai rien ?..- vrai­ment. ..ment…
 
— Non, non, pas ici, ma chérie, demain chez moi.
 
— Demain ?... Mais je suis pressée, et j'enj’en veux aujourd'huiaujourd’hui, ici...ici… tout de suite : je saurai bien t'yt’y forcer...forcer…
 
Janine, relevant ses jupes, s'élances’élance sur son amie assise, lui pose son chat enflammé sur la bouche. Celle-ci détourne la tête, mais Janine l'aveuglel’aveugle de ses jupes, cambre ses reins et, de ses deux mains, par-dessus la robe, prend la tête rebelle et de force lui colle son conin sur les lèvres. Y étant parvenue, elle resta un moment immobile, en extase, puis sa croupe se mit à onduler dans un roulement voluptueux, qui se termina par une modulation de longs soupirs.
 
Elle se retira enfin, dégageant son amie, qui essuyait de son mouchoir ses lèvres couvertes d'écumed’écume. Marianne était rouge de confusion.
 
— Mais qu'asqu’as-tu donc aujourd'huiaujourd’hui ?... Tu es toute chose...chose… Tu as l'airl’air honteuse, comme si on nous voyait...voyait… Tu n'esn’es pas ainsi chez toi...toi…
 
C'estC’est qu'onqu’on aurait pu nous surprendre...surprendre…
 
— Bah ! nous surprendre...surprendre… Comme tu deviens poltronne, Mariannette !... Tu n'asn’as jamais redouté qu'onqu’on nous surprît chez toi...toi…
 
Je restai encore un moment à mon poste d'obserd’obser­vation, mais Marianne se refusant à tout nouvel assaut, je m'enm’en allai, regrettant de n'avoirn’avoir pas, sous la main, de quoi éteindre l'incendiel’incendie qu'avaitqu’avait allumé, dans ma braguette, cette scène piquante.
 
Je regagnai mon observatoire un peu avant midi. Janine renouvelait à ce moment ses tentatives, im­plorant son amie qui restait inébranlable. Cependant, lorsqu'elleslorsqu’elles furent prêtes pour sortir, Marianne, vaincue, se laissa faire, et son amie se glissa sous ses jupes. Soudain, mue par un bon mouvement, la jeune femme se troussa très haut, me montrant ses belles fesses nues, car elle me tournait le dos, et ce fut un régal pour mes yeux, que le nouveau spectacle qu'ellesqu’elles me donnèrent. Je voyais distinctement Janine, agenouillée, tra­vailler avec ardeur entre les cuisses, les jolies fesses blanches se tortiller, se secouer, se dandiner et enfin se tordre voluptueusement. Marianne resta ainsi nue jusqu'àjusqu’à ce que Janine se fut relevée, implorant sa revanche. Mais elle ne voulut à aucun prix la lui accorder.
 
— Tu me le paieras, lui dit Janine, en la menaçant du doigt.
 
L'aprèsL’après-midi se passa entre Marianne et moi en aimables familiarités, mais chaque fois que je faisais allusion à leurs jeux du matin, elle rougis­sait.
 
 
 
==COMMENT MARIANNE VINT S'ASSEOIR S’ASSEOIR SUR UN CLOU==
 
La Roussotte, moins discrète que son amie, lui avoua que nous étions au mieux, lui contant même la façon bizarre dont je l'accostaisl’accostais, par mesure de prudence, tout en la chatouillant du doigt. Certes, j'yj’y ai du plaisir, disait-elle, mais combien la langue me serait plus douce et décuplerait ma volupté !
 
— Que n'esn’es-tu dans les bonnes grâces du maître ! ajouta-t-elle.
 
Marianne ne lui répondit pas ; mais le premier jour qu'ellequ’elle vint travailler à la maison, je vis bien qu'ellequ’elle avait quelque chose à me dire. Je la traitai comme d'habituded’habitude, commençant par la réjouissance de son minet parfumé, puis je la chevauchai à l'enversl’envers ; ses fesses ravissantes m'enm’en faisaient un régal, car je pouvais ainsi les manier à mon aise. Je lui enfonçai, par surcroît, l'indexl’index dans le der­rière pour la combler d'aised’aise.
 
Pour mon second coup, après les préliminaires accoutumés, elle me présenta, comme toujours, à reculons, ses fesses mouvantes ; mais au lieu de s'embrochers’embrocher, cette fois, elle posa le petit trou plissé sur la pointe de ma verge quillée, essayant de s'ys’y enclouer. Je fus surpris de ce caprice inat­tendu. Mais ce fut en vain ; quoique je lui tinsse l'objetl’objet droit entre les fesses, il fléchissait sous le poids du corps. Devant cet insuccès, Marianne tourna la tête, et ses lèvres à mon oreille, fermant les yeux, elle murmura :
 
— Pourtant, Janine m'am’a assuré que ça rentrait fort bien par là...là…
 
— Ah ! elle t'at’a dit ça la coquine !... Eh ! oui, ça rentre mais avec des précautions, pour la pre­mière fois. Quand tu y seras faite, tu pourras à volonté t'enclouert’enclouer en cette posture charmante. Mais puisque tu en veux là-dedans, nous allons en mettre quelques pouces. Prenons cependant une posture plus commode.
 
Je l'installail’installai à genoux devant une chaise, lui faisant présenter le derrière bien proéminent, les fesses écartées. Agenouillé devant la virginité qu'ellequ’elle m'offraitm’offrait en holocauste, j'humectaij’humectai le petit trou rose. Sur mon conseil, elle tira sur les bords, je plantai mon dard dans l'hiatusl’hiatus et, sous la pous­sée, il entra, forçant le muscle. Je l'yl’y laissai un moment, puis je pénétrai au fond et me logeai jusqu'auxjusqu’aux poils.
 
Je la laissai ainsi, sans fouiller le réduit trop étroit, et je me mis à branler Marianne conscien­cieusement. Le bouton, très sensible à ma rude caresse, frétilla aussitôt ; les parois de l'anusl’anus se resserrèrent, le muscle se contracta sur la racine de ma queue, obstruant si bien le passage du foutre chassé des bourses, que son dégorgement plus lent nous en fit une plus longue volupté.
 
Chevillée comme elle l'étaitl’était à moi, nous restâmes ainsi liés étroitement. Puis le muscle se relâcha, les parois s'élargirents’élargirent, et je me mis alors à fouiller l'antrel’antre obscur, ressortant aux trois quarts, refou­lant jusqu'auxjusqu’aux poils. Quand je déposai ma seconde offrande là-haut, l'enclouéel’enclouée hennissait de plaisir.
 
Une fois dégagée, la jolie fille me répéta les confidences de Janine, sur la manière dont je la prenais, et combien, depuis, la tourmentait le désir de goûter à ces mêmes jouissances. Elle m'avouam’avoua aussi que son amie regrettait de ne pouvoir joindre à ces jeux exquis la langue de sa chérie.
 
Qu'àQu’à cela ne tienne, lui dis-je, rien ne nous empêche de l'associerl’associer à nos plaisirs...plaisirs… N'êtesN’êtes-vous pas liées par la plus tendre amitié, et ne vous connaissez-vous pas déjà des pieds à la tête ?...
 
Il me fallut pourtant combattre la pudeur alar­mée de Marianne. Elle ne pouvait se faire à l'idéel’idée d'associerd’associer un tiers à nos jeux, ce tiers fût-il sa meilleure amie, qui avait vu et manié cent fois ses trésors. Enfin, à force d'insisterd’insister et de lui répé­ter que la langue était incomparablement plus agréable, dans ce jeu, que le doigt le plus expert, il fut convenu que la Roussote l'accompagneraitl’accompagnerait le lundi suivant et qu'ellequ’elle la mettrait au courant de nos relations.
 
J'auraisJ’aurais voulu essayer de la baiser, une fois encore, comme elle s'étaits’était présentée tout à l'heurel’heure, en cette posture bien avantageuse pour offrir le chat à une amie agenouillée, mais je craignais d'êtred’être incapable, en ce moment, de mener l'expériencel’expérience à bout.
 
Je revins, après une bonne heure de repos, et me retrouvai en état. Marianne, à reculons, s'assits’assit sur le membre dressé, que je tenais dans ma main ; écartant bien les bords, la pointe s'ys’y incrusta, puis le gland entra. Elle abaissa sa croupe, engloutissant mon vit dans ses fesses, sous lesquelles je la tenais, voyagea un moment, se dressant sur la pointe des pieds, montant et descendant, pendant que je -lui chatouillais le bouton. Puis, à l'instantl’instant de l'extasel’extase, se laissant choir sur mes cuisses, elle cria de jouis­sance en tortillant ses fesses sur ma queue englou­tie, qui se dégorgeait, pressurée par les parois rétrécies.
 
Avant de nous quitter, le soir, nous reprîmes l'expériencel’expérience, mais cette fois dans l'immobilitél’immobilité complète de la pose. Marianne enferrée jusqu'àjusqu’à la garde, moi la branlant avec vigueur. Elle se tré­moussa bientôt, aspirant ma liqueur par la seule pression du sphincter sur mon membre qui l'écartelaitl’écartelait.
 
La chère enfant regrettait de n'avoirn’avoir pas, à la place du doigt qui l'avaitl’avait astiquée, la moelleuse langue de sa chaude amie. C'étaitC’était d'und’un bon augure pour l'avenirl’avenir.
 
 
 
==JOYEUX TRIO==
 
Le lundi suivant, les deux amies arrivèrent ensemble, la Roussotte rayonnant de bonheur. Je les rejoignis bientôt ; Marianne rougit à mon approche, comme si elle se fût trouvée en ma présence pour la première fois. Avant de les sodo­miser, je voulus les voir à l'œuvrel’œuvre dans le tête-bêche qu'ellesqu’elles paraissaient ignorer. C'estC’est cependant un aimable jeu, aussi excitant pour les deux tourte­relles qui s'ys’y livrent, qu'alléchantqu’alléchant pour qui en est le témoin.
 
J'étendisJ’étendis un matelas sur le parquet et j'yj’y ins­tallai Marianne, ventre en l'airl’air. Il ne fallait pas songer à lui réserver le dessus, posture où l'onl’on étale son derrière dans toute son indécence, et pour cette première représentation, j'auraisj’aurais bien perdu mon temps à insister. Je retournai ses jupes, découvrant tout ce qu'ilqu’il faut pour pratiquer la douce manœuvre. Janine se disposait à prendre place entre les cuisses écartées, devant le chat doré de sa chère amie, selon sa manière accoutumée.
 
— Pas ainsi, ma belle...belle… viens, que je te montre comment deux amies doivent s'entr'aimers’entr’aimer.
 
Je lui fis enjamber la tête de Marianne, jupes relevées, et agenouillée, accroupir son beau der­rière, jusqu'àjusqu’à ce que son chat fût sur les lèvres ouvertes qui l'attendaientl’attendaient ; puis, toujours guidée par moi, elle s'allongeas’allongea, posa sa bouche sous la toison de son amie, sa langue dans le gentil conin. Marianne, voyant ce qu'onqu’on lui présente, darde sa fine langue pointue dans l'ouverturel’ouverture béante, enve­loppe le clitoris, l'enfermel’enferme dans sa bouche, tandis qu'àqu’à l'autrel’autre bout, Janine, la figure enfouie dans les cuisses, barbotte dans la grotte parfumée et travaille au bonheur de ces bords enchantés.
 
Je vins par-dessus Marianne, lutiner et embrasser la belle croupe de la Roussotte, qui se dandinait et se frottait lascivement sur le museau enfoui au bas de ses fesses. Je ne voyais rien du jeu que prati­quait l'amiel’amie, la bouche close sur l'ouvragel’ouvrage, mais on devinait, aux mouvements des joues, que la langue n'étaitn’était pas inactive. Bientôt les fesses s'agitèrents’agitèrent follement ; j'enfonçaij’enfonçai complètement mon gros doigt dans leur humide étui et je branlai savamment le muscle rétractile jusqu'àjusqu’à ce qu'ilqu’il en bavât d'extased’extase.
 
Malgré l'exemplel’exemple que venait de lui donner Janine, il fallut lutter contre la pudeur de sa partenaire, quand je voulus intervertir les rôles. Enfin, Marianne céda et se prêta ensuite de bonne grâce. AÀ leur tour ses deux globes se secouèrent bientôt voluptueusement, se tordant sous la jouis­sance, tandis que je leur portai le secours de ma langue, qui postillonnait de jolie façon le petit trou rose frémissant sous la chatouille.
 
Elle vint se présenter à mon vit de la façon bizarre qu'ellequ’elle avait imaginée, au grand étonnement de son amie, que je n'avaisn’avais songé à baiser en cette posture. Janine, en admiration, regardait la jolie croupe descendre et s'empalers’empaler sur mon outil, qui s'engloutissaits’engloutissait jusqu'àjusqu’à la racine, dans un écartèlement des stries du mignon petit trou. Elle courut à son poste et s'agenouillas’agenouilla devant le sanctuaire pour porter le secours de sa langue au clitoris raidi qui s'impatientaits’impatientait.
 
La belle enculée resta immobile sur son clou, pendant que les lèvres, les dents et la langue de sa chérie concouraient de concert, sur le devant, au couronnement de l'œuvrel’œuvre de volupté. De temps en temps, délaissant le bouton, pour lécher la fente coraline dans toute sa longueur, la pointe rose atteignait le bijou voisin, occupé par ma solide cheville, s'égaraits’égarait jusqu'auxjusqu’aux prunes qui ballottaient sous mes coups de reins et revenait à son poste. Je sentis la croupe palpiter, l'étuil’étui se serrer, et Marianne, en une suite de soupirs, me devança dans l'extasel’extase.
 
Mais l'intelligentel’intelligente polissonne, comprenant que ce n'étaitn’était pas fini ainsi, loin de me lâcher, entreprit une seconde pose. Cette fois je fus de la fête ; mon membre, étroitement serré dans toute sa lon­gueur, prit l'avancel’avance et se vida en jets brisés dans les entrailles. Dès que Marianne sentit la chaude invasion, sa croupe se reprit à onduler, les parois de l'anusl’anus étranglèrent ma verge et, en petits cris arrachés par la violence de la volupté, elle se pâma sous la double action de la langue et de mon vit écumant. Quasi inerte, elle resta enclouée ainsi une longue minute.
 
Janine la prit alors dans ses bras et la souleva de dessus la cheville, qui retomba toute molle entre mes cuisses. Considérant ce désastre d'und’un œil navré, la Roussotte se demandait comment elle allait rendre à mon membre la gaillardise dont il lui avait si souvent donné la preuve répétée. Elle était pressée, et le cul lui démangeait. Ah ! ce ne fut pas long.
 
Elle le prit dans ses mains, le roula, le caressa, asticota les bourses ; et dès qu'ilqu’il fut bandochant, sa bouche le happa. Il n'yn’y fut pas plus tôt que, réchauffé dans ce four brûlant, il se dilata, grossit et s'allongeas’allongea tellement qu'ellequ’elle n'enn’en put plus tenir que le gland entre ses lèvres. Mais elle s'ys’y acharna avec tant de rage qu'ilqu’il lui cracha tout son sirop dans le fond de la gorge.
 
Je m'attendaism’attendais à un réflexe de dégoût. Ah ! ouiche !... Elle suça ma quille éjaculatrice jus­qu'àqu’à la dernière goutte. Cette fois, il lui fallut bien attendre que je fusse de nouveau en état. Cela ne tarda guère.
 
Je m'étaism’étais absenté un moment. Dès qu'ellequ’elle me vit revenir, Janine se précipita sur ma braguette, impatiente de s'assurers’assurer de l'étatl’état du vit qui devait la pourfendre. Elle l'enl’en retira assez penaud encore ; il faisait le cou de cygne. Mais à peine l'eutl’eut-elle dans ses mains caressantes, qu'ilqu’il prit une allure triomphante, comme tantôt dans sa bouche. Un coup de langue autour de la calotte le fit se quiller roide et menaçant.
 
Jupes troussées, à reculons, comme l'avaitl’avait fait son amie, son cul ravissant vint s'abouchers’aboucher à la solide pique, que je tenais dressée, entre mes cuisses. Marianne vint nous aider à son tour, s'extasiants’extasiant devant la grosse machine qui disparaissait dans les profondeurs des fesses.
 
Une fois embouchée, Janine resta immobile, pour ne point avoir trop vite raison de son coursier et rester plus longtemps en selle. C'estC’est bien dans le dessein de faire durer sa pose qu'ellequ’elle m'avaitm’avait sucé jusqu'àjusqu’à la moelle.
 
Marianne, accroupie devant le buisson de flam­mes, besognait consciencieusement le chat de son amie, léchant, suçant l'aimablel’aimable prisonnier, qui s'épanchas’épancha bien vite, tandis que la jouisseuse, soulevée sur la pointe des pieds, pompait de son gros derrière blanc la cime glandulaire du bâton.
 
Doucement, la croupe redescendit sur la quille, l'enfournal’enfourna tout entière et se retrouva assise sur mes cuisses, enclouée jusqu'aujusqu’au fond. AÀ peine repo­sée, un tremblement l'agital’agita, et Janine renversée sur moi, cuisses bien écartées, s'abandonnas’abandonna à la lécheuse, qui continuait avec acharnement sa volup­tueuse pratique. Alors, sous les coups de langue, les fesses se mirent à une folle danse sur mon membre qui mitrailla le nid moelleux dans lequel il plongeait, et l'empaléel’empalée jouit comme une damnée pendant un bon moment.
 
Je bandais toujours dans ce sacré fourreau, et l'insatiablel’insatiable fille nous criait : «Encore ! Encore ! » Ce fut plus long à venir cette fois pour tous les deux. Quand Janine sentit l'issuel’issue prochaine, elle 6e souleva du clou, lentement. Je vis la grosse machine sortir toute luisante des plis élargis entre les fesses qui étranglaient le gland dans le muscle contracté- Elle jouissait comme une folle, tortillant son croupion dans un roulement voluptueux, qui aspirait la crème et tétait le gland dans des contrac­tions divines.
 
Pour terminer la fête, le soir, après des séré­nades renouvelées, je baisai Marianne debout, pendant que l'amiel’amie, à qui j'avaisj’avais montré à lécher le petit trou mignon, s'escrimaits’escrimait à la postillonner par derrière, et je la fis monter au septième ciel, sous la mitraille qui lui foudroyait le sein, en même temps que la langue de Janine lui pointait le bas des fesses.
 
Janine en aurait bien voulu ta ter à son tour, mais avec les jeunes filles, cette pose n'estn’est guère prudente. Aussi dut-elle se contenter d'und’un léger frottement opéré sur le bouton, par le bout du gland, qui lança des fusées blanches entre ses cuisses, atteignant en pleine figure la vaillante Marianne, qui travaillait à l'arrièrel’arrière-garde, et n'enn’en ralentit rien de son ardeur.
 
 
Ligne 425 :
==SUZANNE AU BAIN==
 
Deux fois par semaine, l'aimablel’aimable duo me four­nissait de joyeux divertissements. Et pour varier, je faisais gagner quelques louis à la charmante et intéressée Madelon, toujours d'uned’une extrême com­plaisance devant l'appâtl’appât de l'orl’or, mais je ne pouvais pas la voir aussi souvent que les deux autres amies. Je m'arrêtaism’arrêtais aussi quelquefois à la ferme, où j'étaisj’étais toujours sûr d'êtred’être bien accueilli par la jolie Colette, qui acceptait toutes mes faveurs. Chez la fille de ferme, je retrouvais, avec un certain plaisir, le fumet qui me grisait.
 
La Roussotte m'offritm’offrit un jour de me faire jouir d'und’un spectacle alléchant. Elle avait une sœur cadette fort gentille, qui allait avoir dix-huit ans ; rousse aussi, mais d'und’un roux d'ord’or, et, contraste séduisant, nantie d'uned’une motte toute frisée de noir. Ce détail seul me faisait venir l'eaul’eau à la bouche.
 
Je la connaissais de vue, mais je n'avaisn’avais jamais encore jeté un regard de convoitise sur ce joli tendron, qui promettait de devenir une superbe fille, car déjà elle paraissait adorablement moulée, cette petite Suzanne.
 
Janine me proposa de me la montrer toute nue, sans que la mignonne s'ens’en doutât, et à la condition que je n'abuseraisn’abuserais pas d'elled’elle qui était pucelle. Le prétexte était qu'ellesqu’elles devaient aller prendre un bain, Marianne, Janine et sa sœur dans un ruisseau qui traverse mes bois. Il y avait à l'endroitl’endroit choisi un fourré épais, dans lequel je pouvais me tenir caché et voir sans risquer d'êtred’être vu. J'accepJ’accep­tais cette aubaine avec empressement.
 
J'étaisJ’étais dans ma cachette depuis un quart d'heured’heure, quand l'aimablel’aimable trio arriva. On s'assits’assit à quelques pas de moi, sur le gazon vert d'uned’une petite pelouse entourée d'arbrisseauxd’arbrisseaux qui mettaient les baigneuses à l'abril’abri des curieux. Tout près coulait l'ondel’onde transparente du ruisseau où les baigneuses allaient se plonger.
 
Après un instant de repos, elles se déshabillèrent, jusqu'àjusqu’à leur chemise, qu'ellesqu’elles quittèrent, quand elles furent sur le point de se jeter à l'eaul’eau. Mon regard se porta d'abordd’abord sur Suzanne. Dieu ! le joli corps de pucelle blanche et rose, hanchée comme sa sœur, avec des cuisses rondes, un postérieur ravissant, sans taches de rousseur, suspendu comme une lune d'argentd’argent au bas des reins cambrés, sur lesquels se déroulaient les ondes éclatantes de ses cheveux dénoués.
 
Je jetai ensuite un coup d'œild’œil sur ses deux compagnes, toutes nues, et je fus émerveillé des charmes si frais, si ronds, si fermes, si blancs de ces corps de paysannes, que je n'avaisn’avais jamais fait mettre dans la tenue d'Eved’Eve. Chez toutes les trois, la blancheur de la chair tranchait avec le hâle qui bronzait le haut de la nuque, et le bas des jambes qu'ellesqu’elles avaient souvent nues.
 
Suzanne se retourna comme pour me montrer ses jolis nénés et tous les agréments qui foison­naient sur son joli devant. Le gazon noir attira mes yeux : c'étaitc’était une petite perruque, courte mais fournie, qui promettait pour plus tard une magni­fique toison. Les jolis tétons, bien arrondis, n'avaientn’avaient pas encore le beau développement de ceux de la sœur aînée, mais ils étaient d'und’un beau satin neigeux, où perçait un petit bouton de rose, qui ne demandait qu'àqu’à éclore. Marianne, qui contem­plait d'und’un œil gourmand ce corps ravissant, ne put s'empêchers’empêcher de trahir son admiration :
 
— Il sera, dit-elle, joliment favorisé, mignonne, celui qui te prendra pour femme et celle qui...qui…
 
Elle n'achevan’acheva pas, un peu honteuse et rougis­sante, tandis que la Roussotte souriait malicieuse­ment, et que la tendre ingénue paraissait n'avoirn’avoir rien entendu.
 
Les trois jolis corps s'avancèrents’avancèrent en se donnant la main. Elles battirent le courant d'und’un pied timide, tâtant si l'eaul’eau était bonne. La première impression passée, elles s'accroupirents’accroupirent d'und’un seul coup, agitant l'eaul’eau à grandes brassées. Puis les deux amies se levèrent et procédèrent à la toilette de Suzanne, qui émergea à demi. Elle se présentait de face, montrant sa petite motte noire, constellée de perles. Sa sœur, une main sous la toison, lavait et frictionnait l'entrecuissel’entrecuisse, portant ses doigts à son nez pour juger du fumet.
 
Dans les yeux concupiscents de Marianne, luisait l'enviel’envie folle de prendre sa place. Janine la lui céda pour la remplacer aux fesses qu'ellequ’elle baigna à grande eau. Je voyais le visage de la jeune femme s'empourprers’empourprer pendant qu'ellequ’elle caressait cette chair fraîche de pucelle.
 
Janine, occupée derrière sa sœur, riait dans l'attentel’attente de ce qui allait arriver. Marianne baignait, tripotait, frottait avec un luxe de mines réjouies le petit conin de la gente pucelle. Mais un frotte­ment prolongé dans ces parages sensibles n'estn’est pas sans effet, et soudain la mignonne, sans que rien dans sa physionomie eût fait présager la crise, pencha la tête sur l'épaulel’épaule, ferma les yeux et se mit à trembler de tout son corps, comme si la fraîcheur de l'eaul’eau commençait à la saisir.
 
Janine ne parut pas s'émouvoirs’émouvoir de ce trouble subit. Car la coquine, fort vicieuse, lui avait appris depuis longtemps à se branler de compagnie. Marianne encore plus troublée livra, à son tour, son corps aux soins de la pucelle, pour que celle-ci lui fît sa toilette, tandis que Janine procédait à la sienne toute seule, s'exhibants’exhibant sous les faces les plus séduisantes, exposées le plus indécemment possible, tout en surveillant du coin de l'œill’œil ses deux voisines. La pucelle rendait ses bienfaits b la jeune femme, si dextrement, ma foi, que Marianne n'enn’en put étouffer les soupirs révélateurs de son plaisir :
 
— Eh ! bien, ne vous gênez pas, cria la Roussotte. Si vous croyez que je vais moisir ainsi, sans un coup de branlette, vous vous trompez, mes peti­tes chattes...chattes…
 
Ce fut sa sœur qui vint lui rendre ce service. Pendant que Suzanne la branlait, Janine, ses bras sur la nuque, cambrait son torse, les seins épa­nouis, la gorge haute, les pointes vers le ciel. Marianne, ne voulant pas rester oisive, s'ens’en vint par derrière lui tripoter les fesses, et Janine, la poitrine haletante, les lèvres ouvertes, épancha sa jouissance sur le doigt de la cadette, qui tendait le cou pour lui prendre la langue entre ses dents.
 
Elles sortirent de la rivière, se secouant les per­les qui ruisselaient le long de leurs corps et péné­trèrent dans le fourré voisin de ma cachette.
 
Elles s'essuyèrents’essuyèrent l'unel’une l'autrel’autre, avec tout plein de chatteries et de caresses lascives.
 
Alors Janine, s'emparants’emparant de sa sœur, la mit dans une posture bien alléchante pour moi, agenouillée, jambes écartées, me tournant le dos, et découvrant entre les fesses et les cuisses élargies, les deux bijoux superposés, la jolie fente vermeille aux lèvres fermées, sans un poil en bordure, au-dessous du petit trou rose, qu'ellequ’elle essuyait avec une fine serviette. Je bandais comme un frère capucin.
 
Cette coquine de Roussotte qui me savait là devait bien se douter des tentations qui m'assiém’assié­geaient et j'enj’en vins à me persuader que la vicieuse fille ne mettait toute cette complaisance à m'étalerm’étaler ces trésors que pour me faire succomber à la tenta­tion. Elle insista tellement à laisser sous mes yeux ces excitantes nudités que la folie érotique l'eml’em­porta sur la raison, et je bondis comme un fou sur l'étincelantel’étincelante chair nue qui me fascinait. Marianne jeta un cri d'effroid’effroi, à cette brusque apparition, tandis que Janine qui s'attendaits’attendait cer­tainement à me voir apparaître me tint sa sœur dans cette engageante posture, pour me l'offrirl’offrir en holocauste.
 
Mais ce ne fut pas le sacrifice sanglant que je commençai. Je m'agenouillaim’agenouillai devant cette chair radieuse, je l'embrassail’embrassai en tous ses coins, courant sur les fesses satinées, dans le frais vallon, au bas de la sente, et sur la fente vermeille.
 
La pucelle ne manifesta pas la moindre surprise. Elle ne pouvait pourtant pas se méprendre aux pointes de mes moustaches qui la chatouillait. Sa sœur l'avaitl’avait donc prévenue de ce qui l'attendaitl’attendait, car elle subit mon attaque sans le moindre mouve­ment de défense, les cuisses élargies pour me faciliter l'ouvragel’ouvrage que je menai rapidement à bien. La petite bouche s'entrouvrits’entrouvrit pour laisser couler sur mes lèvres une légère mousse blanchâtre d'und’un petit goût acide qui me surprit agréablement.
 
J'étaisJ’étais dans un tel état de rut que je me décu­lottai vivement. La Roussotte me tenait toujours complaisamment sa jeune sœur. Je l'attaquail’attaquai par les fesses que Janine, appuyant sur les deux épaules, me présentait très cambrées pour que je pusse aborder plus facilement. M'aidantM’aidant de mes doigts le gland entra de deux lignes, mais aussitôt il éclata en pleurs de joie, lançant des jets sacca­dés sur le petit bouton qui fut tellement ému par cette chaude aspersion qu'ilqu’il mêla ses pleurs aux miens.
 
Je ne voulais pas rester en confusion devant ce ravissant pucelage ; je me retournai, j'aperçusj’aperçus Marianne qui avait remis sa chemise et nous regardait d'und’un air effaré. Je lui fis signe de venir m'aiderm’aider, mais cette besogne ne semblait pas lui sourire. Alors la Roussotte, s'adressants’adressant à sa sœur, lui dit :
 
— Montre que tu as du cœur, ma mignonne, et puisque tu dois y passer, ouvre toi-même ta porte au maître...maître…
 
La pucelle qui avait dû recevoir des leçons hausse le cul, tire de ses doigts sur les bords, et j'accostej’accoste le petit hiatus, dans lequel mon vit se loge à demi. Je pousse, je sens de la résistance.
 
En deux solides coups de cul, je romps l'obstaclel’obstacle sous la pointe envahissante, sans que la vaillante pucelle pousse un cri, et je m'enfoncem’enfonce dans l'étroitel’étroite gaine jusqu'auxjusqu’aux bourses qui viennent battre le bas des fesses.
 
La dépucelée supporta héroïquement la fouille énergique de mon gros membre qui dilatait le fourreau à le faire éclater. Elle n'eutn’eut qu'unqu’un cri, mais c'estc’est de plaisir, quand je lançai ma semence dans son étui, à tous risques et périls.
 
Elle soupira encore deux ou trois fois, pendant que je la rabotais de mon vit qui gardait tout son volume et qui voyagea au grand enchantement de Suzanne, malgré la cuisson de la déchirure, jusqu'àjusqu’à une seconde éjaculation sous laquelle elle se tordit.
 
Sur les bords suintait, quand j'enj’en sortis, un mélange de sperme et de sang. Sa sœur la conduisit au ruisseau pour lui tremper les fesses, la baigner et laver les parties endolories. Malgré la douleur lancinante, la dépucelée avait le sourire sur les lèvres.
 
Marianne en était abasourdie. On eût dit que c'étaitc’était elle qui venait de passer par là. Elle s'étonnaits’étonnait moins de la désinvolture avec laquelle Janine m'avaitm’avait offert la virginité de sa jeune sœur que du courage de celle-ci à se laisser perforer sans sourciller. Car Marianne avait gardé présent à sa mémoire le cuisant souvenir de la torture que lui avait infligée son mari pour la faire femme.
 
 
 
==DEUX SŒURS QUI S'AIMENTS’AIMENT TENDREMENT==
 
Il me parut piquant de réunir les deux sœurs dans des ébats intimes, pour voir jusqu'oùjusqu’où elles poussaient leur tendresse. Le jour du bain, les événements s'étaients’étaient précipités : je n'avaisn’avais pas eu le temps de savourer cette affection consanguine. D'ailleursD’ailleurs il y avait eu peu de rapports entre elles ; un simple doigté en dehors de l'événementl’événement prin­cipal qu'avaitqu’avait été la prise du pucelage de la cadette.
 
La Roussotte me promit d'amenerd’amener Suzanne le surlendemain.
 
Elles arrivèrent vers une heure et montèrent aussitôt dans la lingerie où j'avaisj’avais préparé tout le confort nécessaire.
 
Comme il faisait très chaud, quand j'entraij’entrai je les trouvai en chemise. Elles avaient dénoué leur opulente chevelure dorée qui leur descendait jusqu'aujusqu’au bas des reins. AÀ mon entrée, les chemises volèrent en l'airl’air, et les deux sœurs s'avancèrents’avancèrent toutes nues, se tenant par la main.
 
Je fis courir mes doigts sur leur peau si douce, si fine, si blanche, trois qualités rarement réunies à la campagne. Entre les fesses, je promenai ma main dans le nid fourré, les doigts allongés dans la large sente des cuisses, que je tapotai et caressai. Puis elles me déshabillèrent.
 
Apercevant le sacrificateur qui l'al’a perforée, Suzanne l'empoignel’empoigne dans la main, le pressant for­tement, le décalottant, le regardant curieusement, «'étonnant’étonnant qu'unqu’un aussi gros morceau ait pu péné­trer tout entier dans son étroite gaine. Elle, qui n'avaitn’avait vu encore que la petite affaire des enfants, ou le mol instrument des hommes lorsqu'ilslorsqu’ils pis­sent, s'étonnaits’étonnait de la grosseur et de la dureté du mien.
 
Elle ramenait le capuchon et le repoussait, s'amusants’amusant à voir paraître et disparaître le gland tandis que sa sœur aînée souriait malignement, se doutant bien que les jolis doigts de la mignonne allaient avoir une singulière surprise, elle qui n'avaitn’avait jamais tenu un bijou viril dans sa main.
 
Moi, qui trouvais son pelotage de mon goût, je fis signe à la Roussotte de ne pas interrompre le mouvement, et comme la jeune fille se penchait pour considérer de plus près ce phénomène d'uned’une verge d'hommed’homme, le nez sur le petit œil qui l'intril’intri­guait au milieu du gland, elle reçut soudain, en pleine figure, le jet brûlant qui s'ens’en élançait.
 
— Tu as fait là un joli coup, ma mignonne, vois dans quel état tu as mis le sire ! Le voilà tout mollasson. Que veux-tu que nous en fassions main­tenant ?...
 
Suzanne, se souvenant que le jour du dépucelage je l'avaisl’avais inondée trois fois de suite, se mit à caresser l'objetl’objet affligé, le prenant dans ses mains, le frottant, le branlant. Elle eut bientôt à se féliciter de ses soins, car le gaillard reprit toute sa vigueur. Mais avant de la mettre à l'épreuvel’épreuve, je n'étaisn’étais pas fâché de les voir toutes deux s'entraîs’entraî­ner.
 
— Ta sœur connaît-elle le joli jeu de bouche à bouche ?...
 
— Si elle le connaît, la chérie, ah ! je le crois bien. Je l'aimel’aime trop, ma sœurette, pour ne pas le lui avoir appris. Viens ici, ma jolie Suzon, viens ma sœurette aimée, que je te fasse mimi !
 
Suzanne, à cet appel, saute sur sa sœur, s'accros’accro­che à son cou, lui grimpe dessus comme une chatte, jusqu'àjusqu’à ce que sa petite toison soit à la hauteur du nez de Janine. Elle lui passe les cuisses sur les épaules, les pieds ballants dans le dos, cambre ses reins, pose son chat sur la bouche de sa sœur, qui se colle au bijou parfumé, la tête en arrière, et se livre avec joie à une douce besogne dans ce con choyé.
 
Je viens derrière la lécheuse, et pendant que je fais courir ma main caressante sur son dos et ses reins lustrés, j'admirej’admire dans le haut la jolie fri­mousse de la cadette, qui fait déjà des mines de plaisir, délicieusement remuée par les volup­tueuses titillations que lui prodigue sa sœur avec une ardeur remarquable.
 
Je reviens devant la croupe suspendue en l'airl’air, les fesses jouent, cachant et découvrant dans leur jeu plaisant le petit pinçon rose que je m'avisem’avise de darder à petits coups de langue, qui le réjouis­sent et le trémoussent rudement.
 
Suzanne, à son tour, vint fêter son aînée qui me parut jouir ineffablement. Je l'observail’observai attentive­ment ; elle avait dans les yeux une langueur que je ne lui avais jamais vue avec Marianne, ni dans mes bras, et lorsque la mignonne l'eutl’eut soigneusement gamahuchée, elle la serra sur son sein avec une tendresse infinie.
 
Puis elle voulut la tenir dans ses bras, pendant que je la prenais en épicier, sur un matelas dis­posé à cet effet- Janine se coucha sur le dos, Suzanne s'étendits’étendit par-dessus, les fesses sur le bas du ventre, entre les cuisses, les reins sur la poitrine de l'aînéel’aînée, qui s'accrochas’accrocha à ses jolis tétons.
 
La jeune fille m'ouvritm’ouvrit les bords endoloris, entre lesquels je me logeai non sans torturer la gaine fraîchement dépucelée. Je m'allongeaim’allongeai sur le cous­sin moelleux et élastique de ce beau corps, les lèvres sur les lèvres, tandis que Janine nous enser­rait dans ses bras nus, et que l'enfiléel’enfilée me patinait les fesses de ses deux mains. Je n'avaisn’avais pas fait dix allées et venues dans le fourreau brûlant que je la sentis palpiter sous moi, et quand je lui lâchai une fusée j'entendisj’entendis un concert de soupirs.
 
Une fois debout, Janine nous montra entre ses cuisses écartées le bijou entrouvert, le gros bouton frétillant dans le nid vermeil, et les poils de la bordure qui luisaient d'uned’une rosée blanchâtre. Elle avait joui sous la douce pression des fesses chéries de sa sœurette bien-aimée.
 
Après que la Roussotte eut donné, sous mes yeux, l'injectionl’injection préservatrice à la jeune fille, je voulus, me retrouvant en état, baiser Suzanne en levrette. Janine nous servit de coussin. Elle se mit sur le dos, les jambes repliées, les cuisses ouvertes et Suzanne s'ys’y agenouilla, haussant la croupe pour me faciliter l'intromissionl’intromission. J'entraiJ’entrai en quelques coups de cul ; et sitôt que je fus dedans jusqu'auxjusqu’aux couilles, elle s'allongeas’allongea, m'entraînantm’entraînant avec elle, son chat reposant sur celui de sa sœur, ventre contre ventre, tétons contre tétons, bouche contre bouche.
 
Je me trouvais entre deux paires de cuisses, le corps ployé sur les reins de Suzanne, les lèvres sur sa nuque que je mordillais. La sœur aînée nous enveloppant de ses jambes, ses pieds croisés au bas de ma croupe, me donnait le mouvement en serrant et en desserrant ses cuisses. Je fouillais vaillamment l'aimablel’aimable repaire, me reposant par moment sur les belles fesses potelées que je sen­tais palpiter sous mon ventre. L'étuiL’étui qui m'enserm’enser­rait se contracta soudain, la mignonne jouissait sans moi, mais non sans sa sœur, car si leurs lèvres unies étouffaient leurs soupirs, les jambes croisées se crispaient sur mes fesses.
 
Alors je naviguai avec plus de vigueur, claquant de mes coups de cul les fesses rebondies, et mordil­lant les frisons de la nuque. Je glissai mes mains entre les deux gorges écrasées, enveloppant les mignons tétons de la cadette, dont les deux pointes raidies me chatouillaient la paume. Cette aimable joute ne dura pas longtemps, le vagin que j'occupaisj’occupais se rétrécit, pompant la verge plantée dans le fond, tandis que Janine dirigeait le mou­vement avec ses cuisses. Elles jouirent encore une fois toutes les deux comme des folles.
 
Avant leur départ, comme j'étaisj’étais de nouveau en brillant état, la Roussotte, qui entendait tâter à son tour de mon vit, voulut que je la prenne par le cul, pendant que sa sœur le lui ferait par devant.
 
Suzanne, très surprise de la direction qu'ellequ’elle vit prendre à mon membre, s'assuras’assura de ses yeux, qu'unqu’un aussi gros morceau pouvait entrer dedans. Il y entra cependant fort bien, ne laissant que ses témoins. Quand elle ne put plus douter de 1 évidence, elle courut à son poste, et se comporta en gougnotte zélée, obligeant le clitoris de sa sœur chérie à pleurer trois fois. AÀ la troisième, quand nous jouîmes ensemble, moi lançant le foutre, elle léchant follement, ce fut pour l'enclouéel’enclouée une volupté délirante.
 
La mignonne, devant la démonstration éloquente du plaisir d'êtred’être enculée, eût voulu elle aussi en faire goûter à ses fesses. Mais n'eûtn’eût-ce pas été dommage de détériorer ce ravissant cul virginal de dix-huit ans ? Pour se consoler, il fallut la postil­lonner. Je m'enm’en chargeai, avec mon adresse habi­tuelle, tandis que sa sœur, avec une ardeur tou­jours nouvelle, la réjouissait à trois reprises, pour ne pas être en reste.
 
— Ah ! que c'estc’est bon tout de même ainsi, s'écrias’écria la cadette, surtout avec la langue si aimable de ma grande sœur.
 
Elle lui sauta au cou et l'embrassal’embrassa longuement.
 
 
Ligne 549 :
==VENDANGEUSES==
 
Je menai de front mes amours avec ces aimables filles, jusqu'aujusqu’au moment des vendanges. On ne peut se faire une idée des folies auxquelles se livrent les coupeuses dans nos champs ; la moindre est celle qui consiste à se barbouiller, entre elles, la figure avec des grappes de raisin ou à se glisser dans le dos des grains qu'onqu’on écrase en tapant à main plate.
 
Il y avait, dans leur groupe, une gentille Béarnaise, du nom gracieux d'Angéliqued’Angélique. Ce jour-là, ayant achevé son sillon avant les autres, elle se reposait un instant en suivant d'und’un regard amusé les jeux de ses compagnes. Une grande fille du pays, solide gaillarde, bien plantée, la guignait d'und’un air malicieux, couvant une niche à lui faire.
 
Elle était dans le sillon derrière Angélique. La grosse Rose tenant une belle grappe s'approchas’approcha à pas de loup et, soulevant les jupes de la Béarnaise, la lui lança avec force contre les fesses. La coupeuse, surprise par cette attaque inattendue, se retourna vivement, au milieu du rire général, pour savoir qui l'avaitl’avait outragée ainsi.
 
La grande fille riait de sa farce, tout en narguant la petite, comme un colosse regarde un pygmée. La Béarnaise, l'œill’œil étincelant, bondit sur elle, et avec une vigueur qu'onqu’on n'auraitn’aurait pas soupçonnée de ce petit corps, bouscula la Rose, comme elle eût fait d'uned’une gamine. La tenant vigoureusement entre le genou et le bras, elle lui releva les jupes, prit la poignée des raisins dans le panier, et malgré les efforts désespérés de l'autrel’autre pouf se dégager, lui en barbouilla ses grosses fesses. Les cuisses, les jambes, toute la chair ruissela du jus des raisins écrasés.
 
Les rieuses avaient changé de camp, abandon­nant la grande Rose, admirant comment un bout de fille menait, tambour battant, la gaillarde qu'ellesqu’elles redoutaient. Ce n'étaitn’était pas fini, elle la retourna comme un paquet, lui arrangea le devant, comme elle venait de lui arranger le derrière, et cela en un clin d'œild’œil. Puis la redressant et la virant, elle lui envoya son sabot dans le derrière, mais si bien appliqué que la fille en poussa un cri de rage.
 
— Voilà comment les petites Béarnaises arran­gent les grandes salopes de ton espèce, ma fille ! J'auraisJ’aurais pardonné à une gamine, mais à une grande carcasse comme toi, il fallait une leçon.
 
Les vendangeuses applaudirent à ce hardi lan­gage. Rose, honteuse d'avoird’avoir été battue par cette petite brune, s'élanças’élança alors sur la Béarnaise qui l'attendaitl’attendait de pied ferme, et une bataille allait s'engagers’engager quand je m'interposaim’interposai, plein d'intérêtd’intérêt pour cette crâne brunette.
 
— Rose, ma fille, tu n'asn’as que ce que tu mérites, tu as trouvé à qui parler...parler… Reconnais tes torts et donne-lui la main...main…
 
Elle hésitait, foudroyant des yeux la petite Béarnaise.
Ligne 569 :
— Je veux bien, dit celle-ci.
 
Et elle tendit la main à la grande Rose, qui se contenta de la serrer du bout des doigts. Angélique, aussi bonne que vigoureuse, se haussa sur la pointe des pieds et l'embrassal’embrassa. Rose lui rendit son baiser, mais je crus qu'ellequ’elle allait la mordre.
 
Quand elle eut vidé son panier dans la hotte au porteur, j'accostaij’accostai la petite, l'examinantl’examinant de la tête aux pieds. Elle était admirablement roulée, la mâtine, avec des bras gros et ronds qui sortaient de ses manches retroussées très haut, une belle gorge rebondie, libre de tout corset, où deux beaux seins tendaient sous le corsage de toile leurs pointes raidies.
 
Le reste n'étaitn’était pas moins charmant, les hanches en relief, les reins larges, les jambes finement tournées et, pour couronner le tout, une jolie figure ronde, éclairée par deux beaux yeux noirs, des joues fraîches et pleines, avec de la chair rose, des cheveux noirs abondants enfermés dans un petit foulard de soie, à la mode de son pays, des sourcils épais, de longs cils soyeux, un nez fin, une rangée de fines dents blanches, serrées, d'und’un émail éblouissant, entre deux lèvres rouges. Elle était ravissante.
 
— Quel âge as-tu, ma belle ?...
 
— Dix-neuf ans, à votre service, monsieur, me dit-elle, en une gracieuse révérence.
 
AÀ mon service, tu t'engagest’engages joliment, ma fille...fille…
 
— Oh ! monsieur, je m'entendsm’entends, c'estc’est révérence parler...parler…
 
— Cependant, en y mettant le prix ?...
 
J'aimeJ’aime assez à mener rondement mes caprices, et je voulais arriver à mes fins avec cette sémillante brune. Mais à la phrase un peu roide que je venais de lâcher, elle rougit jusqu'auxjusqu’aux oreilles, et me tirant une autre révérence, reprit son panier, pour rejoindre les coupeuses qui avaient recommencé un sillon.
 
— Réfléchis, ma belle Angélique, je te répète que j'attachej’attache un grand prix à tes faveurs, et tu n'aurasn’auras pas besoin, si tu as un amoureux qui t'attendt’attend au pays, de revenir aux vendanges pro­chaines pour compléter ta dot.
 
Elle gagna son sentier sans mot dire et se remit à sa besogne. Je la suivis des yeux, mais elle ne se retourna pas une seule fois.
 
J'allaiJ’allai au pressoir, d'oùd’où je revins une heure après. J'arrivaiJ’arrivai comme la jolie brune achevait son ouvrage- Je lui fis signe de venir me parler et lui demandai si elle avait réfléchi à mes propositions.
 
Elle répondit « non » d'und’un mouvement de tête.
 
— Tant pis pour toi, ma chère, tu manques ta fortune, car tu me plais, comme jamais fille ne m'am’a plu, par ta gentillesse, ta crânerie et aussi par tous tes charmes, et je paierais cher le droit de t'aimert’aimer un peu.
 
Baissant la tête, tentée évidemment par mes offres séduisantes, elle ne dit mot et s'ens’en alla ; puis se retournant, sa figure empourprée, sembla me dire « oui » d'und’un clignement d'yeuxd’yeux.
 
 
Ligne 603 :
==ANGELIQUE LA BIEN NOMMÉE==
 
J'étaisJ’étais décidé à coucher avec la jolie Béarnaise. J'avaisJ’avais réparti les vendangeuses dans plusieurs appartements. Angélique avait son lit dans un cabinet isolé.
 
J'allaiJ’allai la chercher, quand tout le monde fut couché- Elle fit un peu de résistance, redoutant que je ne la misse à mal. Je la rassurai de mon mieux. Alors elle me suivit. Dans la chambre, je com­mençai par me mettre à genoux devant elle pour m'enquérirm’enquérir de l'étatl’état des lieux les plus intéressants pour moi ; elle se reculait, me repoussait, mais il fallut bien qu'ellequ’elle cédât, et lui levant les jupes, je découvris une magnifique toison noire, aux poils longs et soyeux, dans lesquels je fis glisser mes doigts. Pas le moindre fumet qui rappelât les chats mal tenus de nos paysannes.
 
Je portai mon doigt indiscret à son conin. La fente était ouverte, mais si peu, qu'onqu’on devinait que le visiteur ordinaire devait être maigrement pourvu. Je ne pus me tenir de lui témoigner ma reconnaissance pour ce bijou si propret en l'eml’em­brassant dans sa mousse. Mais elle s'écrias’écria, surprise de cette façon aventurée de lui souhaiter la bien­venue :
 
— Oh ! monsieur, qu'estqu’est-ce que vous faites ?
 
— Ma fille, quand on l'al’a aussi mignon que le tien, on peut bien le choyer, l'embrasserl’embrasser, le manger, pour prouver le cas qu'onqu’on fait d'und’un si joli conin.
 
J'yJ’y posai mes lèvres, fouillant la grotte de ma langue, puis revenant sur le gros bouton, je le pris dans mes dents. AÀ peine ma langue le frôla-t-elle qu'ilqu’il se raidit et se mit à frétiller sous la cha­touille, s'humectants’humectant bien vite, tandis que la belle glissait sur le bord du fauteuil pour s'offrirs’offrir à ma bouche. Elle semblait obéir à l'influencel’influence d'uned’une caresse magnétique.
 
Son sein battait violemment, je le palpai, pres­sant par-dessus le corsage le petit bouton raidi qui s'enfonçaits’enfonçait sous mon doigt. Il me tardait de découvrir ce joli corps rondelet ; je la mis toute nue en un clin d'œild’œil.
 
La gorge tenait amplement ses promesses, les deux tétons rebondis, d'uned’une élasticité remarquable, étaient durs et fermes sous la peau, d'uned’une blan­cheur immaculée, et les bouts d'und’un rouge vif. La belle toison noire, aux longs poils fins et soyeux, couvrait les trois quarts d'und’un ventre lisse et blanc.
 
Je retournai la jeune fille pour inspecter le revers de la médaille ; la chute des reins attira mon attention par la saillie hardie de la croupe, en deux globes fièrement renflés, aux chairs plei­nes et fermes, d'uned’une douceur extrême au toucher. Les reins étaient souples et vigoureux, les épaules larges, les bras ronds, les cuisses fortes, le tout admirablement proportionné.
 
Elle dénoua ses superbes cheveux noirs, qui roulèrent sur ses reins, l'enveloppantl’enveloppant d'und’un long manteau de franges qui rendaient plus écarlate sa peau d'ivoired’ivoire. Je pris ce corps ravissant dans mes bras et le déposai sur mon lit.
 
Je livrai mon premier assaut dans la posture canonique. Ses beaux seins soutenaient ma poitrine sur leurs pointes dressées, tandis que je laissais ma verge entre ses cuisses, appuyant le bout du gland à l'entréel’entrée du sanctuaire, l'embrassantl’embrassant sur la bouche, goûtant dans l'immobilitél’immobilité, sur cette chair souple, un plaisir délicieux.
 
Je sentais l'huisl’huis s'entrouvrirs’entrouvrir sous l'insistancel’insistance du gland ; je l'yl’y glissai sans le secours des doigts. Les bords bâillants le happèrent, je poussai, mais le logis était si étroit que je mis assez longtemps pour gagner la sombre voûte, et je n'yn’y arrivai que pour y déposer ma décharge, tandis que la petite s'agitaits’agitait sous moi.
 
Elle voulut ensuite se dégager pour aller prendre la précaution nécessaire. Mais de même que ven­tre affamé n'an’a pas d'oreilled’oreille, vit qui bande n'entendn’entend pas raison, et comme le mien était en état de reprendre la lutte, il se garda bien de lâcher la place. Angélique me seconda admirablement, et ses jambes croisées sur mes reins, sa langue dans ma bouche, je la pénétrai de nouveau et la menai au ciel avec moi. Mais cette fois elle fut vite à terre, le cul sur la cuvette.
 
Je l'enfilail’enfilai ensuite en gamin, et ce fut merveille. La glace qui sert de ciel de lit, reproduisait l'alléchantl’alléchant tableau, car nous étions éclairés à giorno. Elle ne remuait que la croupe, mais quel jeu divin ! Je voyais là-haut ses belles fesses pote­lées, montant et descendant, semblables à deux vagues mouvantes, le jeu des petites lèvres qui s'ouvraients’ouvraient vermeilles pour cracher la colonne, et se fermaient quand elles l'avalaientl’avalaient. Elle me mordait les lèvres quand nous entrâmes au ciel.
 
Je la pris encore à la paresseuse avant de nous endormir. Ah ! quelle délicieuse union, que cet entrelacement ! Nos deux corps sont collés, comme l'ondel’onde au corps du baigneur, chair contre chair, cuisses enlacées, mes bras entourant son buste, un téton dans chaque main et contre ces belles fesses potelées, douces et dures à la fois, rebondies et élastiques, j'appuiej’appuie mon ventre délicieusement, jouant, me tortillant, me frottant lascivement, jouissant sans fatigue, dans une voluptueuse pa­resse, longuement, mes lèvres sur ses lèvres.
 
Nous nous endormîmes ainsi bien collés l'unl’un à l'autrel’autre, son gros postérieur contre mon ventre, ma verge logée dans le creux de ses fesses et la sente des cuisses, en ce nid bien chaud, mes deux mains pressant ses tétons.
 
Quand je me réveillai, toujours collé à son corps, mon membre allongeait son gland dans la toison.
 
Je n'eusn’eus pas le courage de réserver mes forces pour la prendre en levrette, comme je me l'étaisl’étais promis. Nous étions si bien ainsi dans cette tiède moiteur, que mon vit réoccupa tout seul le gîte qui bâillait grand ouvert. Lentement, limant le cher conin, dans un va-et-vient exquis, m'enfonçantm’enfonçant peu à peu, restant ainsi, me retirant ensuite jusqu'aujusqu’au gland, puis repoussant l'enginl’engin voluptueu­sement chevillé aux fesses palpitantes, les mains pressant toujours les seins, je menai paresseuse­ment l'affairel’affaire.
 
La fouille délicieuse dura une demi-heure. Je m'arrêtaism’arrêtais quand ça menaçait de partir, reprenant toujours avec une lenteur qui nous ravissait. Il fallut en finir pourtant, et ce fut une volupté ineffable, tout le temps que mirent nos réservoirs à se vider, lentement comme on avait pompé.
 
Je ne la pris en levrette que la veille de son départ, car tous les matins nous recommencions le jeu voluptueux, à la paresseuse. Quand je découvris cette belle lune blanche en plein jour, je crus la voir pour la première fois ; sous les jupes troussées, elle en paraissait plus volumi­neuse encore. Je ne me lassais pas de l'admirerl’admirer, de la manger de caresses et toute la journée, car j'avaisj’avais obligé la jolie fille à se déclarer souffrante, pour l'avoirl’avoir tout le temps sous la main.
 
Le jour de la séparation, nous nous fîmes nos adieux en une pose bizarre, qu'ellequ’elle ne connaissait pas. Je l'installail’installai sur moi à l'enversl’envers, son chat sous mon nez. Elle avait naturellement sa bouche au-dessus de ma quille, qu'ellequ’elle prit dans ses lèvres.
 
Pour une novice, Angélique s'ens’en tira fort bien, ma foi, au point que j'enj’en faillis lâcher l'ouvragel’ouvrage, tant elle me pompait avec ardeur.
 
Elle partit les larmes aux yeux, et chargée de présents pour lui permettre d'épouserd’épouser son galant.
 
Si je vous disais que je la regrette toujours, cette incomparable fille, malgré les jolis cons et les beaux culs qui m'entourentm’entourent, et qui s'emploients’emploient, sans y arriver, à me la faire oublier.
 
 
Ligne 655 :
==LA GRANDE ROSE==
 
Au début d'octobred’octobre, après une chaude journée, comme il en fait souvent dans ce pays à cette saison, je revenais de la chasse. Au milieu du sentier, dans le demi-jour crépusculaire, j'aperçusj’aperçus une femme assise sur les bras d'uned’une brouette chargée d'herbesd’herbes. Quand je fus à quelques pas d'elled’elle, je reconnus la silhouette de la grande Rose.
 
— Tiens, te voilà Rose. Comment va ton der­rière, depuis le coup de sabot que te lança dans les fesses la petite vendangeuse ? Voilà plus de quinze jours, le bleu doit avoir disparu ! Montre-moi donc ça, ma fille. Je sais que tu as un beau fessier. Je ne l'ail’ai vu qu'enqu’en passant, et le reverrais avec plaisir.
 
— Oui, dâ, not'not’ maître. Si vous croyez que je vas vous le montrer comme ça !...
 
— Dame, tu me l'asl’as bien montré déjà, un peu par force, il est vrai, tu peux bien me le montrer de bonne grâce ; puis la première fois la vue en a été gratuite, tandis qu'aujourd'huiqu’aujourd’hui, ce serait tout bénéfice pour toi.
 
— Vous vous moquez, not'not’ maître ; comment j'auraisj’aurais t'yt’y du bénéfice à vous exhiber mon der­rière ?... Si vous croyez que les filles montrent comme ça leur honte, c'estc’est bien assez quand ça leur arrive par accident...accident…
 
— Ce n'estn’est pas par accident que tu le montres au beau Nicolas ? On dit que tu n'asn’as rien de caché pour lui.
 
— Des méchantes langues qui clabaudent à tort et à travers. On disait ben que l'Angéliquel’Angélique vous le montrait à vous, et d'autresd’autres aussi, que ça se chuchote dans le village. Mais moi, je n'ain’ai rien vu, ni moi non plus personne ne m'am’a vue avec le Nicolas...Nicolas…
 
— Alors, n'enn’en parlons plus, je rengaine mon envie et mon louis d'ord’or. Tu veux bien que je t'accompagnet’accompagne ?...
 
— Pourquoi pas, vous êtes ben le maître !...
 
Elle reprit sa brouette, et nous cheminâmes de compagnie. Je marchais à deux pas en arrière, ayant sous les yeux l'énormel’énorme saillie de son fessier, dont sa cotte d'indienned’indienne collante soulignait le sillon des deux hémisphères, se bombant et s'affaissants’affaissant tour à tour dans le déhanchement de la marche.
 
Je me rapprochai et je posai ma main sur ces fesses plantureuses, appuyant fortement, pour sen­tir le mouvement alternatif produit à chaque pas. Ma main descendit, les doigts allongés, pressant la fente du cul sous la toile, la pinçant, la froissant sans que Rose soufflât mot. Elle s'arrêtas’arrêta enfin en face d'und’un tapis de gazon vert, disposé admirable­ment pour une halte amoureuse.
 
— Il ferait bon se reposer là, par cette tiède soirée, lui dis-je, sans lâcher prise.
 
Elle était restée debout. Son arrêt en face de ce lit improvisé me semblait trop significatif pour que je pusse douter de ses intentions, et voyant qu'ellequ’elle ne paraissait pas s'apercevoirs’apercevoir des indiscré­tions de mes doigts, je glissai brusquement ma main sous ses légers vêtements, jusqu'auxjusqu’aux hauteurs cythéréennes. Elle accueillit mes outrages sur sa chair nue comme elle les avait supportés sur sa jupe.
 
Je contournai la hanche, coulai ma main par devant, et tout en tripotant les touffes de l'épaissel’épaisse toison, je tâtai d'und’un doigt l'antrel’antre voisin, pour m'informerm’informer si l'ouverturel’ouverture en était pratiquée. Elle l'étaitl’était, Nicolas ou quelque autre gaillard était déjà passé par là...là…
 
Je l'entraînail’entraînai sans lâcher sa perruque, elle me suivit, docile et consentante, sur le gazon propice aux ébats amoureux. Je l'agenouillail’agenouillai, penchée en avant, de façon à mettre dans la montre la plus favorable son cul magnifique. L'odeurL’odeur sui generis qu'exhalaientqu’exhalaient mes doigts quêteurs, me révéla le peu de soin que la grande Rose, semblable en cela à ses compagnes, prenait de ces parages.
 
Je lui relevai les jupons sur les reins, et décou­vris la belle cible épanouie dans toute sa splendeur, avec son petit point noir entouré d'und’un léger duvet au bas des fesses, que j'empoignaij’empoignai à pleines mains.
 
Je baissai ma culotte, tout en pelotant les chairs épaisses et caressant la fente, que je trouvai disposée à me recevoir. Rose leva très haut sa croupe, dont la saillie rebondissante faisait obsta­cle à l'intromissionl’intromission. Je dus m'accroupirm’accroupir pour l'enconnerl’enconner.
 
Quand j'yj’y fus, je ramenai la croupe en avant, et me remettant à genoux, je fouillai à grands coups ce profond labyrinthe, où ma longue verge avait disparu tout entière. En quelques allées et venues de ma queue dont j'ébranlaisj’ébranlais cette montagne de chair, je jouis.
 
Bien qu'ellequ’elle ne me l'eûtl’eût pas demandé, j'allaisj’allais sortir avec ma prudence habituelle, mais elle me cria de rester, et comme c'estc’est meilleur que de déposer son offrande à la porte, je lui obéis fidè­lement. D'ailleursD’ailleurs elle me serrait si fort dans son fourreau contracté, pendant que je lui lâchais tout mon paquet, que je me serais difficilement décollé.
 
Alors qu'ellequ’elle s'essuyaits’essuyait avec une poignée d'herd’her­bes, je lui dis ma surprise qu'ellequ’elle ait voulu conserver la dangereuse semence. Elle me répondit le plus ingénument du monde, avec la crudité de langage des paysannes.
 
— Nicolas ne se gêne pas, il m'envoiem’envoie tout son foutre, puisque le mariage est au bout. Et puis, y a que je jouis pas quand on me décharge ça à la porte comme les meuniers ; alors, je prends tout, not'not’ maître, et je m'enm’en trouve ben.
 
Je venais de m'enm’en apercevoir et puisqu'ellepuisqu’elle acceptait si volontiers l'effusionl’effusion, j'auraisj’aurais eu bien mauvaise grâce à lui déplaire.
 
Aussi lorsque nous fîmes une seconde halte, je voulus essayer de la paresseuse, comme avec la regrettée Angélique. Ici, il n'yn’y avait pas la cha­leur excitante du lit, mais il y avait une petite compensation, je veux parler de la volumineuse paire de fesses et de cuisses qui écrasaient les miennes, pendant que Rose faisait tout l'ouvragel’ouvrage.
 
J'avaisJ’avais plongé mon membre tout entier dans le repaire, une cuisse entre les siennes, qui jouaient en se serrant comme un étau, communiquant le mouvement aux grosses fesses et au conin qui pompa mon membre enfourné et tout le sperme de mes bourses.
 
Je lui mis, en la quittant, un louis dans chaque main ; ses yeux brillaient de contentement.
 
Je m'enm’en allai avec le regret de n avoir pas percé son énorme derrière qui n'avaitn’avait jamais subi d'assautd’assaut. Mais j'espéraisj’espérais en trouver, un jour ou l'autrel’autre, l'occasionl’occasion.
 
 
Ligne 711 :
==CLAIR DE LUNE==
 
Trois jours après, cette occasion se présenta. Je m'étaism’étais un peu dépensé dans la matinée avec Colette, l'aimablel’aimable fermière, et le soir, j'avaisj’avais assez de réserves pour tenter une aventure, quand je rencontrai la grosse Rose dans le même sentier que la première fois. Je soupçonnai qu'ellequ’elle était là à m'attendrem’attendre. Elle se mit à rire naïvement, et nous marchâmes de compagnie jusqu'aujusqu’au gazon où je l'avaisl’avais baisée.
 
Voyant ses bonnes dispositions, je la plaçai pour la prendre en levrette, son gros cul bien proéminent, en lui disant de ne pas s'étonners’étonner du logis que j'allaisj’allais occuper.
 
C'estC’est là, dis-je, en tapant sur l'huisl’huis herméti­quement fermé, que je vais me loger.
 
— Je veux ben, not'not’ maître, mais ce sera point trop facile...facile…
 
— Tu vas m'aiderm’aider, et surtout ne t'arrêtet’arrête pas, si ça te cuit un peu...peu…
 
— Oh ! que non, je n'avonsn’avons point crié, quand Nicolas m'am’a saignée par devant, et que ça me cuisait comme un fer rouge !
 
— Par ici, ce sera moins cuisant, lui dis-je.
 
Elle écarta ses fesses, tira sur les bords, comme je le lui montrai, distendant le muscle, dont les plis élargis reçurent mon gland plus faci­lement que je ne le pensais. Mais quand il fut entré, les difficultés surgirent ; car le fourreau était étroit, comprimé dans cette masse de chairs compactes. Je m'ym’y enfonçai péniblement, dilatant l'étuil’étui satiné, et gagnai les entrailles, sans que la grosse fille lâchât les bords ou poussât une plainte.
 
J'essayaiJ’essayai de lui porter par devant le secours de mes doigts, mais l'envergurel’envergure de sa taille m'enm’en empêcha. Alors, elle se branla elle-même pendant que je voyageai péniblement dans le fourreau serré, m'appuyantm’appuyant sur ses larges fesses, les mains à plat, accrochées aux hanches allant et venant avec lenteur.
 
Quand je m'épanchaim’épanchai là-haut, elle hennit comme une cavale sous la morsure de l'étalonl’étalon.
 
Elle engloutit dans sa poche le louis gagné, et nous reprîmes le sentier éclairé par la lune.
 
— Eh bien ! qu'asqu’as-tu éprouvé, quand je t'ait’ai pris ce pucelage ?...
 
Elle me répondit seulement :
 
— Tenez, voyez...voyez… il y a du sang sur le bord...bord…
 
Arrivés à l'endroitl’endroit où nous avions fait notre seconde pause, Rose m'invitam’invita à la suivre sur le gazon. Mais je n'étaisn’étais plus en état de la servir. Mais sachant comment s'ys’y prendre pour ranimer une queue défaillante, elle la prit tout entière dans sa large bouche, y logeant jusqu'auxjusqu’aux témoins. Ah ! ce ne fut pas long, mon vit grossit, s'allongeas’allongea, et se trouva si bien là-dedans, que je m'avisaim’avisai d'yd’y rester comme en un con satiné, et quand je sentis les écluses se rompre, je plongeai le gland jusqu'aujusqu’au fond du gosier pour y vider tout mon foutre.
 
Je voulus retirer ma verge, elle ne la lâcha pas, la gardant dans ses lèvres, excitée par l'ardeurl’ardeur qui la brûlait, et se remit à sucer jusqu'àjusqu’à ce que le sire eût repris sa brillante tenue. Puis elle se coucha, levant ses jupes, s'offrants’offrant dans un rut bestial, où je vins l'assaillirl’assaillir comme un mâle affamé. Elle s'enferras’enferra elle-même jusqu'àjusqu’à la garde, m'enfermantm’enfermant dans ses puissantes cuisses qui enveloppaient mes fesses nues, tandis que mes mains passées sous son cul en pinçaient la chair jusqu'aujusqu’au sang.
 
Faisant ensuite sauter le bouton de son corsage je mis à nu ses tétons sur lesquels je me précipitai goulûment.
 
Plongé dans la fournaise de ses cuisses qui me poussaient par des mouvements précipités, je parcourais les gros nichons, mordillant les bou­tons raidis, les suçant comme si je voulais en tirer le lait. Je les sentis palpiter, en même temps que les cuisses m'étreignaientm’étreignaient vigoureusement, et que les fesses se tordaient. La grosse fille jouissait en cambrant ses reins et le cul soulevé.
 
Sa croupe retomba, j'étaisj’étais enfoncé dans le chaud repaire, bandant toujours, n'ayantn’ayant pas éjaculé, à cause de ma récente émission. Elle recommença à jouer des cuisses et du cul, à manier ses énormes fesses et à manger ses tétons, laissant toujours faire d'ouvraged’ouvrage à la cavale en rut, qui s'ens’en donnait
 
à cœur joie. D'ailleursD’ailleurs, je me serais remué diffici­lement sous l'énergiquel’énergique étreinte de sa chair.
 
Bientôt la croupe bondit sous mes doigts, les cuisses jouèrent un jeu endiablé, m'étreignantm’étreignant à m'étoufferm’étouffer. Rose reprit mes lèvres, me dardant sa langue, et pendant que nous jouissions comme des damnés, je lui pinçais la peau des fesses, dans la rage de ma volupté.
 
Ça valait bien un louis d'ord’or : elle l'empochal’empocha, en me disant :
 
— Vous m'avezm’avez fait mal aux fesses.
 
— Fais-moi voir !...
 
Elle se troussa. En effet, le bas des fesses était très rouge. Je me penchai dessus et les mordis presque au sang. Ce beau reposoir m'inspiram’inspira une fantaisie bizarre :
 
— Veux-tu gagner encore cent sous de plus ? demandai-je à Rose.
 
— Je veux ben, mais comment ?...
 
— Et te laissant fouetter...fouetter…
 
— Mais vous allez me faire mal !...
 
— Oh ! ça te cuira un peu...peu… en voilà une affaire !...
 
— Allez-y donc, si ça vous dit !...
 
Elle tenait ses jupes troussées très haut, mon­trant la croupe dans son plein, et je me mis à fesser la belle mappemonde à tour de bras. Rose supporta les claques sans se plaindre. En un clin d'œild’œil sa peau fut toute rouge. Ce jeu de la main plate m'échauffaitm’échauffait étrangement.
 
— Veux-tu gagner vingt francs au lieu de cinq ? dis-je, pris d'uned’une férocité devant ces chairs écarlates, et laisse-moi terminer la fessée avec une houssine coupée à ces osiers !...
 
— Mais vous allez m'écorcherm’écorcher !
 
— Non, non, juste pour te chatouiller un peu la peau du derrière. Si tu pouvais voir les belles couleurs qu'ilqu’il prend, tu rirais bien.
 
Je coupai à l'unl’un de ces osiers du chemin une longue badine assez forte, souple et flexible, et je m'avançaim’avançai vers la belle croupe, en recommandant à Rose de se pencher en avant. Elle me présenta son vaste postérieur, dans une posture fort engageante qui exhibait entre les cuisses écartées, le con vermeil bâillant dans un nid de poils roux.
 
Je levai la houssine qui retomba avec force sur les globes rebondis, lesquels trahirent, par un frémissement de l'épidermel’épiderme, leur douloureuse émotion. Une longue raie rouge souligna la peau nue. Sous l'impulsionl’impulsion du second coup, qui retomba avec un sifflement, la fille fit un pas en avant, tout en me présentant toujours son gros fessier tremblant, souligné de deux raies rouges. Je la cinglai à nouveau vivement, prenant un vrai plaisir à ce jeu piquant, dont on m'avaitm’avait vanté l'attraitl’attrait, et les fesses s'agitèrents’agitèrent en plaisants mou­vements à chaque sillon que traçait la verge d'osierd’osier.
 
L'appâtL’appât du gain soutint sans doute le courage de la fustigée, qui ne broncha pas malgré la rudesse que je déployai. Loin de chercher à se dérober, elle me tint courageusement ses jupes relevées, tandis que je la fustigeai à tour de bras.
 
Son bijou bâillait grand ouvert, comme dans la soif d'amourd’amour. Ses fesses étaient incandescentes. J'enJ’en étais excité au plus haut point. La grande fille, avait les larmes aux yeux, qui se jeta alors sur moi, glissant sa main dans ma braguette, où elle cons­tata avec plaisir que le sire était en tenue de combat. Et cette fois, c'estc’est elle qui m'entraînam’entraîna dans le fourré.
 
La chaleur de sa croupe fit naître en moi le désir de la prendre à la paresseuse. J'eusJ’eus lieu de m'enm’en louer. Le fourreau qui enfermait mon mem­bre me brûlait. Tous ces excitants décuplèrent notre plaisir, et Rose jouissait pour la troisième fois quand je sentis s'élancers’élancer le jet épais de mon foutre qui la foudroya.
 
Nous renouvelâmes bien d'autresd’autres fois nos plai­sirs. Mais nos jeux furent bientôt interrompus par une piquante aventure.
 
 
Ligne 797 :
==LA BLANCHE HERMINE==
 
Vers la mi-octobre, je dus tenir une promesse que j'avaisj’avais faite à la baronne Hermine de K...K… que j'avaisj’avais courtisée à Paris. Veuve à vingt-trois ans, elle avait si bien oublié son mari qu'ellequ’elle était décidée à convoler en secondes noces avec moi.
 
C'étaitC’était à ce propos que je lui devais une visite. Elle avait mis une bizarre condition à m'accepterm’accepter pour époux. Je devais passer un mois auprès d'elled’elle, dans une intimité absolue et l'isolementl’isolement le plus complet, sans essayer de l'induirel’induire en tentation, soit en paroles, soit en gestes.
 
AÀ travers mes bonnes fortunes, j'avaisj’avais un peu oublié cet engagement pris à la légère, mais Hermine eut soin de me le rappeler par une lettre qui vint me relancer au milieu de mon sérail. La lettre m'indiquaitm’indiquait qu'Herminequ’Hermine m'attendaitm’attendait vers le vingt courant dans son château situé sur les bords de la Loire.
 
Les attraits de la charmante baronne me revin­rent à la mémoire et je cédai au plaisir de les revoir. Je partis donc pour la Touraine, où j'arrij’arri­vai au jour fixé.
 
Je retrouvai auprès d'Hermined’Hermine les désirs char­nels que m'avaitm’avait insufflés son charme piquant de jolie brune, grande, élancée, d'uned’une élégance native, et très spirituelle. Deux grands yeux de velours noir, toujours un peu bistrés comme par la fatigue amoureuse, une coupe très fine de figure, où l'onl’on devinait la race, un teint mat, des dents de perles, une bouche mignonne, faisaient de la jolie veuve la personne la plus désirable du monde.
 
Elle me renouvela la bizarre condition qu'ellequ’elle comptait m'imposerm’imposer. Aussi, je vis bien, dès la première entrevue, qu'ilqu’il me serait difficile de prendre des acomptes avec elle. Mais l'enviel’envie de mordre au fruit défendu ne me laissait pas un instant de repos. Hermine se suspendait à mon bras, pendant les promenades que nous faisions dans son parc, en compagnie de Mirza, une grande levrette jaune, qui m'avaitm’avait montré ses crocs à mon arrivée, et qui, après huit jours, me manifestait toujours la plus vive antipathie.
 
Ce joli bras qui me serrait, cette taille souple, cette gorge de jeune fille, que je sentais battre contre moi, le parfum qui montait de ses jupes, et me renseignait sur le secret de sa toilette intime, me tenaient dans un état de surexcitation fatigante. Elle se frottait à moi comme pour m'électriserm’électriser, dans nos tête-à-tête de tous les instants, dans le parc, dans la salle à manger, au salon, jusque dans son boudoir, partout enfin, excepté là où j'auraisj’aurais voulu la tenir. Puis le soir, vers dix heures, on me tendait le bout des doigts, qu'onqu’on me permettait de baiser.
 
Je passai, comme on peut le penser, des nuits troublées, rêvant de croupes rebondies, de cons satinés et parfumés, qui fuyaient grands ouverts devant mon érection. Cette torture dura trois jours et trois nuits, sans le moindre soulagement pour moi.
 
Il y avait, dans le personnel féminin qui servait la baronne, une gentille femme de chambre, de vingt-cinq à vingt-six ans. C'étaitC’était la favorite de sa maîtresse, qui l'employaitl’employait à sa toilette intime. Elle couchait, isolée des autres filles de service, dans une chambre séparée par le boudoir de celle d Hermine, qui entendait l'avoirl’avoir à sa disposition à toute heure de jour et de nuit.
 
Gracieuse (c'étaitc’était son nom, et justifié, ma foi), était la plus gentille soubrette qu'onqu’on pût voir, avec son bonnet blanc, coquettement posé sur le som­met de la tête.
 
Elle était rondelette, garnie d'appasd’appas développés. Un rire bon enfant fendait sa petite bouche. Un joli minois futé, éclairé par de grands yeux bleus, pétillants de malice, des joues rondes et fraîches, des lèvres rouges et sensuelles, de beaux cheveux blonds cendrés, d'épaisd’épais sourcils noirs, et de longs cils qui ombrageaient ses joues, en faisaient un morceau bien appétissant pour un affamé. J'auraisJ’aurais volontiers supporté le jeûne imposé par sa maî­tresse, si la jolie soubrette avait consenti à m'indemniserm’indemniser par quelques douceurs.
 
Quand elle passait près de moi, dans l'ombrel’ombre d'und’un corridor, je lui prenais la taille, qui se tordait dans mes bras, lui pinçais les joues, mettant un baiser où je pouvais. Mes lèvres trouvaient toujours un coin : l'œill’œil, la joue, l'oreillel’oreille, quelque­fois la nuque dont les frisons voltigeaient, mais jamais la bouche qui avait le talent de se dérober. Gracieuse me glissait entre les doigts et s'enfuyaits’enfuyait comme une biche.
 
Cependant elle ne paraissait pas trop farouche, et hormis sa bouche, elle me laissait me rendre compte de la qualité des trésors qu'emprisonnaitqu’emprisonnait son corsage adorablement bombé.
 
Le quatrième soir, après avoir baisé le bout des doigts de la baronne, j'attendisj’attendis, blotti dans le couloir, que la soubrette passât devant moi, pour aller déshabiller sa maîtresse. Je l'attrapail’attrapai au vol, et cette fois, je l'embrassail’embrassai longuement sur la bouche. Etait-ce parce qu'ilqu’il faisait nuit, mais elle ne détourna pas la tête, et je sentis que ses lèvres s'appuyaients’appuyaient doucement sur les miennes. Avant de la lâcher, je lui dis :
 
— Je vais t'attendret’attendre chez toi...toi…
 
— Oh ! non, monsieur, madame n'auraitn’aurait qu'àqu’à nous entendre, et nous serions dans de jolis draps...draps…
 
Et elle s'échappas’échappa pour se rendre où son service l'appelaitl’appelait. Je me décidai à aller l'attendrel’attendre chez elle, où j'entraij’entrai sans bruit. Je refermai doucement la porte et me tins coi, écoutant un murmure de voix, dans le boudoir, situé, comme on le sait, à côté.
 
Un filet de lumière, qui filtrait par la porte de communication attira mon attention. Je vins y coller mon œil. J'aperçusJ’aperçus la baronne debout à qui la soubrette retirait son dernier jupon, la laissant en chemise, une fine chemise brodée dont la baptiste transparente se rosait des tons de la peau, sous la lumière de deux flambeaux posés sur une table en laque du Japon.
 
La baronne s'assits’assit alors dans un fauteuil, en face de mon observatoire. Gracieuse lui retira ses souliers, puis les jarretières, découvrant la chair blanche jusqu'àjusqu’à mi-cuisses. Elle ôta ensuite les bas de soie noire, et à ma grande surprise, avant de chausser les petits pieds nus de mignonnes mules, elle les embrassa, en me découvrant, dans ce mouvement, le joli con vermeil entre les cuisses.
 
Parbleu, la baronne, sans doute tribade raffinée, me préférait son aimable fille de chambre !
 
Je les vis alors entrer dans le cabinet de toilette, qui était à côté de la chambre que j'occupaisj’occupais. Un autre rayon de lumière me montra encore une serrure qui me servit d'observatoired’observatoire.
 
J'allaiJ’allai de nouveau m'ym’y poster. La femme de chambre garnit d'eaud’eau le bidet, y jetant quelques gouttes de parfum. Madame de K...K…, la chemise troussée très haut, enjamba la cuvette, et me tournant le dos, m'exhibam’exhiba un superbe postérieur d'uned’une blancheur de neige. Elle le plongea à demi dans l'eaul’eau et la soubrette se mit à lui laver ses char­mants appâts.
 
Quand le bain eut pris fin, la baronne se souleva de son siège et je vis une main courir sur sa fente, promener une fine éponge entre les bords vermeils de la vulve, et puis de la petite rosette jusqu'àjusqu’à l'extrémitél’extrémité de la fente, sous la toison.
 
— Tu me chatouilles, Graciosa, tu vas me faire partir avant l'heure...l’heure…
 
N'ayezN’ayez crainte, Madame, vous savez bien que je m'arrêtem’arrête toujours à temps...temps…
 
La soubrette prit un linge fin, essuya les parties mouillées, des fesses au bijou, comme si elle craignait d'abîmerd’abîmer ce satin délicat. La baronne se releva, s'écartas’écarta du bidet, laissant retomber sa chemise, qui recouvrait imparfaitement ses adora­bles nudités. Puis Gracieuse fit glisser le dernier voile au pied de la jeune femme, la laissant toute nue. Superbe d'impudeurd’impudeur, elle regagna le boudoir, suivie de la soubrette qui portait le flambeau et une chemise de satin noir, qu'ellequ’elle avait prise dans une commode. Je changeai d'observatoired’observatoire.
 
Je ne vis qu'unqu’un moment le corps svelte et gracieux qui se déhanchait de la façon la plus lascive. La fille de chambre lui passa la chemise noire, et Hermine alla s'asseoirs’asseoir dans le fauteuil en face de moi, en une pose savamment lubrique, et très favorable au divertissement qui se préparait.
 
La chemise retroussée jusqu'aujusqu’au nombril, elle avait mis ses deux cuisses sur les bras du fauteuil, les jambes pendantes des deux côtés, offrant le con dans un écartement des plus indécents, qui étalait dans le haut, à l'entréel’entrée, au-dessous d'uned’une fine toison noire, un vrai clitoris de tribade, gros, luisant, et d'und’un rouge vif, que je distinguais fort bien de ma cachette.
 
J'auraisJ’aurais volontiers pris la place de la langue qui allait caresser cette chair ouverte, des lèvres qui allaient se coller là, des dents qui croqueraient cette praline rose et parfumée. Une furieuse envie fouettait mon sang incendié par cette exhibition de chairs nues, offertes en une pose lubrique.
 
Je m'expliquaism’expliquais maintenant que cette jeune veuve, si voluptueuse, pût commander à ses sens, quand elle se frottait lascivement à moi comme une chatte amoureuse, en m'imposantm’imposant un carême prolongé. Elle cherchait tout simplement des exci­tants.
 
Mais déjà la soubrette, agenouillée devant le vermeil sanctuaire, officiait avec une ferveur qui se manifestait sur le visage ému de sa maîtresse et la gorge menue que ' la chemise très échancrée laissait toute entière à découvert. Les petits seins blancs et ronds soulevèrent leurs pointes vermeil­les. Les lèvres s'entrouvrirents’entrouvrirent, et Hermine soupira tendrement, la tête penchée sur l'épaulel’épaule, les yeux mi-clos.
 
La jeune fille se releva, tandis que l'autrel’autre étalait dans la même posture, sa vulve plus ouverte, où la mousse luisait sur son bouton rutilant et les poils noirs d'alentourd’alentour, dans l'attentel’attente d'uned’une seconde fête.
 
Gracieuse avait disparu. Elle rentra presque aussitôt avec...avec… Mirza, la levrette si choyée.
 
Merci de la rivale ! Décidément, la tribade est complète. Parbleu, voilà pourquoi Mirza me montrait les crocs !...
 
La levrette bien éduquée savait ce qu'onqu’on atten­dait d'elled’elle ; en deux bonds, avec un happement joyeux, elle sauta sur le con écarlate, plongea son museau entre les cuisses de sa maîtresse, et fit courir son épaisse langue, longue et large sur les chairs palpitantes. La jouissance dût être atroce. La baronne cria et se tordit sur son fauteuil, salive à la bouche, tandis que la soubrette lui frottait rudement le bout des seins.
 
La séance était finie, sans doute, car Gracieuse se disposait à ramener l'aimablel’aimable levrette dans sa niche, mais Mirza résistait. Elle ne devait pas avoir son compte, la pauvre bête, car sa maîtresse vint s'agenouillers’agenouiller sur le bord du fauteuil, le corps penché en avant, la chemise en l'airl’air, qui rendait plus éclatante encore, la blancheur du superbe cul arrondi, qu'ellequ’elle offrait à la langue de la levrette. Mirza se dressa sur ses pattes de derrière, mit celles de devant sur le siège, lécha deux ou trois fois la raie du cul de sa maîtresse, s'arrêtants’arrêtant un peu plus dans le bas, et satisfaite, abandonna la partie.
 
Gracieuse conduisit alors la baronne dans sa chambre à coucher. Elle en sortit aussitôt et se dirigea vers la sienne où je la devançai.
Ligne 875 :
==LES VINGT-HUIT JOURS DE GRACIEUSE==
 
J'avaisJ’avais la partie belle, après ce que j'avaisj’avais vu. Caché derrière les rideaux, j'attendisj’attendis pour me montrer, que la soubrette eût refermé la porte. Je craignais en effet qu'ellequ’elle ne poussât un cri d'effroid’effroi à ma vue, et ne donnât l'éveill’éveil. Mais elle n'eutn’eut qu'unqu’un mouvement de surprise.
 
— Imprudent ! me dit-elle, allez-vous-en ! Madame pourrait nous entendre, et c'enc’en serait fait de moi.
 
— De moi peut-être, aimable Gracieuse, mais pas de toi : tu as trop barre sur elle, ces deux serrures indiscrètes viennent de me le prouver.
 
— Vous étiez donc là ?...
 
— Depuis le commencement, parbleu !...
 
— Alors vous avez dû en voir de belles !..
 
— Oui, j'aij’ai vu de bien émoustillantes choses. J'aiJ’ai vu surtout une aimable soubrette bien dévouée à sa maîtresse. Ce qui m'am’a fait moins de plaisir, c'estc’est ce museau de chien, qui est venu remplacer ta jolie langue...langue… Je ne comprends pas ce goût...goût…
 
— Madame raffole de cette horreur plus que de tout au monde, même que de ma langue, dont elle ne peut pourtant se passer, mais je ne la caresse jamais après Mirza, du moins sans avoir lavé et parfumé le séjour mouillé par sa langue...langue… Mais allez-vous-en, monsieur, vous allez me compromettre !...
 
— Pas avant d'avoird’avoir réparé les torts de ton égoïste maîtresse ! Car tu dois avoir envie de goûter, à ton tour, de la douceur de la langue en ton conin, et n'eussén’eussé-je que cette satisfaction cette nuit, je l'aurail’aurai, quand je devrais te le faire de force, et au risque de réveiller ta maîtresse, que je saurai bien recevoir si tu l'appellesl’appelles. D'ailleursD’ailleurs, je tiens à avoir ton avis, aimable Graciosa, sur mon talent dans une pratique où tu me parais exceller.
 
— Vous ne me le ferez pas de force, puisque je consens volontiers à l'épreuvel’épreuve, mais vous vous en irez tout de suite après l'expériencel’expérience faite...faite…
 
— Oui, je te le promets !...
 
Mais nous n'eûmesn’eûmes pas fini de sitôt. Je la posai en travers du lit, les jambes pendantes, malgré la résistance qu'ellequ’elle m'opposaitm’opposait, car elle voulait aupa­ravant aller tremper sa petite affaire dans un bain parfumé. Mais j'étaisj’étais pressé, et je préférais la prendre toute chaude comme je l'avaisl’avais trouvée, sous ses jupes, plutôt que rafraîchie par un bain. D'ailleursD’ailleurs elle était fort propre, et son bijou embaumait le foin coupé.
 
J'yJ’y trouvai réunis tous les dons de la nature. Malgré l'indicel’indice trompeur de sa chevelure blond cendré, elle avait une motte noire, surmontant une joli conque d'und’un satin uni, sans une ride sur les lèvres bombées, un amour de con, aussi frais que celui d'uned’une vierge que jamais doigt ni langue n'an’a effleuré.
 
AÀ l'entréel’entrée, un petit bouton de rose, frais et vermeil, sollicitait les caresses, frétillant d'impad’impa­tience. Dès que je l'eusl’eus pris entre les dents, il se raidit, se trémoussa, et s'épanchas’épancha presque aussitôt, répandant une abondante rosée, que je léchai avec lenteur jusqu'àjusqu’à la dernière goutte, à laquelle succéda, sous la vivacité de ma langue, une nouvelle émission presque aussi abondante que la première.
 
Je me remis à lui embrasser et lécher les alen­tours de son petit bouton toujours guilleret. Elle jouit encore très vite, mais cette fois elle laissa échapper des soupirs que la maîtresse eût pu enten­dre si elle avait été plus près de nous.
 
Gracieuse ne voulut à aucun prix m'accepterm’accepter dans son lit. Je pris donc ce qu'ellequ’elle semblait m'offrirm’offrir de bonne grâce. Elle était restée sur le bord du lit, gardant la posture engageante dans laquelle je venais de la réjouir si gentiment ; je quittai ma culotte et plantai bravement mon dard dans l'ouverturel’ouverture béante.
 
Elle m'ym’y reçut volontiers, me laissant voyager tout à mon aise dans le chaud repaire, si doux à occuper. Je goûtai, à le fouiller, le plus grand charme, jusqu'aujusqu’au moment psychologique. Mais comme j'allaisj’allais jouir, elle se dégagea d'und’un solide coup de cul, se jeta à genoux, et prenant mon gland dans sa bouche, elle y reçut toute ma semence qu'ellequ’elle avala goulûment.
 
J'aimeJ’aime ça, dit-elle, en s'essuyants’essuyant les lèvres et par-là il n'yn’y a rien à craindre. Au lit c'estc’est trop dangereux, nous pourrions nous oublier, et il m'enm’en cuirait peut-être dans neuf mois. Vous pourrez, si le cœur vous en dit, maintenant que la connaissance est faite, revenir le soir, à la même heure. Vous assisterez aux scènes qui ne manque­ront pas de se dérouler à côté, puis nous repren­drons nos jolis jeux, excités, vous par la vue, moi par les attouchements secrets de ma maîtresse. Voulez-vous maintenant que je vous chevauche à mon tour ?...
 
— Je veux bien, gentille écuyère. Voyons comment tu te mets en selle...selle…
 
Je m'installaim’installai sur une chaise, la culotte rabattue, la verge en l'airl’air. Ayant retiré tous ses vêtements, hormis sa chemise et ses bas, elle m'enjambam’enjamba, s'embrochants’embrochant toute seule, descendant sur mes cuisses nues, à cheval comme un postillon. Je plongeais dans la chemise entrebâillée un regard scrutateur, et patinais ses beaux seins dodus, qui étaient dans tout leur développement, fermes, d'uned’une élasticité remarquable, et piqués dans le milieu d'uned’une belle fraise des bois.
 
La main gauche pelotait les fesses pendant que Gracieuse chevauchait. Elle trottinait depuis une minute à peine, quand ses tétons se mirent à danser, son vagin m'étreignitm’étreignit, et elle jouit en m'embrassantm’embrassant furieusement sur la bouche, pour ne pas s'exposers’exposer à crier. En vidant les arçons, au moment où le jet foudroyant allait s'élancers’élancer, elle happa mon gland et reçut l'offrandel’offrande dans la gorge.
 
Après un instant de repos, je pris l'aimablel’aimable soubrette à cul nu sur mes cuisses, pour manier ses charmes dans tous les coins. Ces caresses me redonnèrent de la vigueur. Sur mes instances, Gracieuse quitta sa chemise et se laissa contempler toute nue.
 
Je m'extasiaim’extasiai devant cette jolie toison noire et ces beaux seins qui se tenaient comme ceux d'uned’une vierge de seize ans. Son postérieur potelé, comme tout le reste de sa rondelette personne, n'étaitn’était ni trop gros, ni trop gras, et d'und’un satin neigeux, au grain serré qui sollicitait mes caresses. Je couvris de baisers amoureux toute la surface de cette belle chair savoureuse, veloutée, dont la neige se rosait sous mes suçons et sous mes morsures ; puis descendant par le frais vallon, je m'arrêtaim’arrêtai au petit poinçon noir, auréolé de rose, que je dardai de petits coups de langue.
 
— Vous pouvez y entrer, si bon vous semble, me dit l'aimablel’aimable fille, bien que je regrette l'élixirl’élixir de vie que vous allez perdre là-dedans.
 
— Mais, ma chère gourmande, tu t'ent’en donnerais une indigestion, si tu en absorbais jusqu'àjusqu’à plus soif !
 
Je n'eusn’eus garde de refuser une offre qui était si parfaitement de mon goût. Gracieuse me présenta donc sa croupe, un genou sur la chaise, l'autrel’autre pied par terre, m'ouvrantm’ouvrant fort adroitement la porte de Sodome. Ce n'étaitn’était sans doute pas la première fois qu'ellequ’elle offrait un gîte dans ces parages.
 
Quand je fus logé dans ses flancs, elle s'appuyas’appuya de ses deux mains sur le rebord du dossier. J'enJ’en­tourai sa croupe de mes deux bras, et mes mains vinrent, sur le devant, caresser le con délaissé, frisottant la perruque et branlottant le bouton. La gaine que j'occupaisj’occupais me faisait comme un gant, et j'yj’y goûtai, quand je la foudroyai, un plaisir délirant, Gracieuse, en ce moment, s'épanchaits’épanchait sur mes doigts, en remuant délicieusement ses fesses sous mon ventre.
 
Avant de la quitter vers minuit, je bandais encore, ce qui n'étaitn’était pas surprenant après un carême de plusieurs jours, et comme je savais qu'ellequ’elle était gourmande de crème, je lui offris d'end’en déguster une fois de plus, en même temps que je m'offraism’offrais un peu de la liqueur de sa coupe inépuisable.
 
Elle avait dû pratiquer la posture, car elle saisit l'affairel’affaire à merveille. Dès qu'ellequ’elle me vit étendu sur le tapis, elle sauta à califourchon sur ma figure, me descendant son chat sur les lèvres, posant et remontant sa croupe qu'ellequ’elle dandinait un moment au-dessus de mes yeux, pour m'exciterm’exciter par son balancement lubrique.
 
Enfin, elle s'allongeas’allongea sur mon corps, installa son joli con vermeil sur mes lèvres en deux coups de croupion, et prenant mon vit dans sa bouche, elle y fit courir ses lèvres de velours, tandis que je dardais ma langue dans la chaude cavité satinée.
 
Je m'arrêtaim’arrêtai un instant, pour plonger mon œil ravi dans cette chair ouverte et embaumée, où s'exhibaits’exhibait le frétillant et humide bouton, et sur ses ravissantes fesses, qui gigotaient au-dessus de mon nez, et que je mordis, avant de reprendre ma voluptueuse besogne. Je l'eusl’eus vite menée à son terme et je léchai la douce rosée que distillait la fontaine d'amourd’amour sous ma langue, tandis que de son côté, Gracieuse aspirait mon foutre sauvement pompé.
 
Je la portai enfin dans son lit et après mille baisers sur ses lèvres exquises, je regagnai ma chambre sans faire de bruit.
 
Tous les soirs, après avoir baisé le bout des doigts que me tendait la veuve, que je me promet­tais bien de lâcher au terme des trente jours d'épreuved’épreuve convenus, je me rendais dans la chambre de Gracieuse, qui était la plus intrépide buveuse de foutre, que j'aij’ai connue, et après les scènes excitantes qui se déroulaient dans le boudoir de la tribade, nous nous livrions, la chaude servante et moi, à des jeux variés, où nous goûtions des plaisirs ravissants.
 
L'épreuveL’épreuve touchait à sa fin, il y avait vingt-huit jours, comme un réserviste, que je promenais la jeune veuve, sans avoir jamais été tenté de la séduire. Il me suffisait de songer aux scènes qu'ellequ’elle jouait avec son chien. J'avaisJ’avais la plus enviable des compensations avec l'accueillantel’accueillante Gracieuse, tou­jours d'uned’une complaisance extrême, et qui voyait, la mort dans l'âmel’âme, arriver le terme de nos amours.
 
Le matin du vingt-neuvième jour, jour mémo­rable, je me promenais en pantoufles dans le corridor du premier étage, comptant moissonner quelques baisers sur les lèvres de la chère Gra­cieuse, quand je l'aperçusl’aperçus accoudée à la fenêtre, très intéressée par ce qui se passait dans la cour. Vêtue d'und’un simple cotillon, elle laissait voir le bas d'une d’une fine jambe, sous la jupe relevée par la cambrure des reins.
 
Je m'approchaim’approchai sans bruit jusqu'àjusqu’à cette croupe engageante, me réjouissant à l'avancel’avance du petit cri d'effroid’effroi que Gracieuse n'allaitn’allait pas manquer de pousser, quand elle sentirait ma tête se glisser sous ses jupes.
 
Je retins mon souffle, je me penchai, soulevant un peu les jupes, et je plongeai vivement, appli­quant un baiser bruyant au bas des fesses blanches, qui me repoussèrent, à coups de croupion dans l'ignorancel’ignorance du visiteur qui les saluait.
 
Un peu surpris déjà que la soubrette eût changé son parfum ordinaire j'émergeaij’émergeai de dessous les jupes, pour jouir de sa surprise et de sa confusion. Je vais pour l'embrasser...l’embrasser… Tableau ! Je rencontre l'œill’œil foudroyant de la baronne Hermine, que sa tenue matinale m'avaitm’avait fait prendre pour la femme de chambre ! Je m'essuyaim’essuyai les lèvres de dégoût, en songeant que la levrette lui avait peut-être léché le cul ce matin-là.
 
— Vous savez, monsieur, ce qui vous reste à faire après cette insolence inqualifiable.
 
— Vous auriez préféré, ô blanche Hermine que ce fût Mirza, la levrette bien-aimée, qui vous eût léché ce...ce… coin-là !...
 
A. cette cruelle révélation, la baronne eut recours à la ressource ordinaire des femmes dans l'embarl’embar­ras : elle piqua une attaque de nerfs.
 
Je la remis entre les mains de ses femmes et après avoir fait ma malle, sans prendre congé de mon hôtesse, je me fis conduire en voiture à la ville prochaine, non sans avoir indemnisé largement l'aimablel’aimable soubrette, grâce à qui j'avaisj’avais pu faire gras pendant ce long carême qui m'étaitm’était imposé.
 
Gracieuse toute en larmes, me supplia de la prendre chez moi. Dans l'impossibilitél’impossibilité de céder à son désir, je la quittai à regret en lui faisant mille promesses.
 
==DERNIERS MOTS==
 
Je passai quelques jours encore au pays, mais l'hiverl’hiver n'estn’est guère favorable aux amours champê­tres. Je revis, à la dérobée, quelques-unes de mes aimables baiseuses. La chaude Madelon, qui allait convoler, quelques jours après, en justes noces, me permit de le lui faire neuf fois, durant les trois jours qui précédèrent la cérémonie. Je risquai le paquet, et s'ils’il n'yn’y est pas resté, ce ne sera ni de ma faute, ni de la sienne, car je lui dégorgeai ma semence jusqu'àjusqu’à la dernière goutte, tandis que la chaude fille se tordait sous mon corps, jouissant comme une possédée. Je restais quelquefois une heure sur son corps électrisé, naviguant sans désemparer jusqu'àjusqu’à la troisième décharge.
 
Mais ces rencontres avec ces solides fouteuses étaient trop espacées et malaisées, pour que je puisse en faire mon ordinaire, et je regagnai Paris vers fin décembre, comptant, au retour de la belle saison, revenir bien vite à la campagne, reprendre sur mes sujets champêtres, mes études de plastique comparée.
 
Je retrouvai à Paris les poupées en cire que j'yj’y avais laissées, augmentées de quelques recrues. Mais elles n'étaientn’étaient pas pour me faire oublier les ardentes encroupées de mon séjour champêtre, là-bas, sous le soleil du Midi.
 
Nos robustes paysannes, elles, y vont de bon cœur, toujours disposées à jouer du croupion, vous donnant gentiment la réplique, vous secon­dant par des ripostes énergiques, vous offrant pour l'œill’œil, pour les lèvres, pour la main, et même pour la dent, de la belle chair fraîche, ferme et rose. Et tout ça assaisonné du fumet de la nature, de cette véritable odor di femina, qui vaut bien, je pense, le musc écœurant de toutes les peaux fanées de ces poupées en cire molle.
 
FIN