« Odor di femina » : différence entre les versions
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{{Titre|Odor di femina|[[Auteur:Edouard DEMARCHIN|Edouard DEMARCHIN]]<br>(E.D.)|1900|Odor di femina}}
==COLETTE,
Ecœuré par les senteurs affadissantes
Je quittai Paris, les derniers jours de mai, et vins
Elles entendent, froidement, les plaisanteries les plus raides, les mots les plus crus, répondant sur le même ton, sans cependant consentir trop vite à la bagatelle ; mais peu
Je me suis donc vautré, honni soit qui mal y pense, dans la nature
Si la première impression est un peu défavorable, on
Avec les filles, je suis plus prudent, excepté quand je voyage dans la voie opposée, où
La première dont
Ce
Colette
Au lieu de
Devant cet obstacle, je
Je portai mes doigts à mon nez, ils fleuraient assez la crevette, mais
Je lui glissai une pièce
Je vins par derrière et troussai ses jupes sur ses reins, découvrant le beau reposoir arrondi. Elle comprit ce que je lui voulais, connaissant sans doute la posture, car elle posa ses mains à terre,
Nous nous en allâmes chacun de notre côté. Cet opulent fessier si ferme, si élastique, me hantait la cervelle depuis que je
Elle se lavait maintenant, à grande eau ; je le lui avais demandé pour une surprise que je lui ménageais, et dont je ne me serais pas avisé à
Jamais femme étonnée comme celle-ci, quand elle me vit inaugurer le divertissement inconnu. Elle
Je
Je lui montrai aussi à emboucher la trompette. Elle s'y révéla très vite experte, avalant toute la décharge jusqu'à la dernière goutte, sans éprouver le moindre haut-le-cœur. Cette obstination à téter mon sucre d'orge, n'était pas pour me déplaire.▼
C'était en échange de la rosée que je lampais dans sa fontaine d'amour, me dit-elle en s'essuyant les lèvres.▼
▲Je lui montrai aussi à emboucher la trompette. Elle
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==MADELON ME POSE UN LAPIN==
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