« Odor di femina » : différence entre les versions

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Je jouissais tellement, de compagnie avec la donzelle, qui d'ailleurs n'avait pas cessé de jouir depuis l'entrée en danse, que je ne pensai pas tout d'abord aux suites désastreuses que notre impru­dence pouvait avoir. Elle me garda longtemps plongé dans son sein, se tordant sous ma pique tandis que je restais immobile.
 
Ces lèvres qui me pinçaient, ce fourreau qui m'étranglait, m'entretenaient dans une violente ardeur, et j'essayai de jouter dans l'étroit asile. L'élasticité des parois desserrées me permit cette fois de fouiller de fond en comble cet aimable logis, tandis que la chaude fille, revenue à elle, me suçait les lèvres. Quand je sentis monter la nou­vellenouvelle éjaculation, je voulus me retirer, mais les pinces du vagin me saisirent plus fort, les parois se resserrèrent, et je foudroyai derechef la panse de la fille enclouée.
 
pinces du vagin me saisirent plus fort, les parois se resserrèrent, et je foudroyai derechef la panse de la fille enclouée.
 
Lorsque nous nous dégageâmes, je me retirai assez facilement jusqu'aux bords ; mais le gland se trouva pris dans les petites lèvres ; je dus tirer, et en sortant il fit floc...
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— Non, non, je n'ai rien à craindre...
 
Cette assurance ne me suffisait pas, et je courus chercher un injecteur dont je lui enseignai à se servir. Je versai de l'eau fraîche dans une bassine, et je lui montrai à manœuvrer la poire. Elle pous­sait des petits cris d'effroi pendant l'opération.
 
et je lui montrai à manœuvrer la poire. Elle pous­sait des petits cris d'effroi pendant l'opération.
 
Lorsque je fus un peu rassuré, je visitai l'ins­tallation postérieure. La Roussotte avait un beau derrière, à la peau très blanche et d'une extrême finesse, constellée de taches de rousseur. Je ne pouvais me lasser de contempler la chair potelée de ces belles fesses de paysanne, et je leur prodi­guai des caresses qui lui furent si sensibles, que son gentil conin se mit à bâiller d'aise. La petite ablution que je venais de lui infuser fit naître en moi la fantaisie qui m'avait mordu tout à l'heure devant l'odorante vulve, et qui s'était bornée à un simple baiser déposé au bas de l'épaisse toison dorée.
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Je la culbutai de nouveau sur le bord du lit, et je m'agenouillai devant l'ouverture taillée dans la chair vive, exhibant sous le bouquet de poils roux, le joli bouton rose, qui, malgré le récent arrosage, exhalait encore une forte odeur. Cette senteur, loin de m'arrêter, me grisa ; je me collai à ces deux fines lèvres, prenant entre mes dents le petit bouton, le mordillant...
 
La chaude fille se trémoussa comme une possé­dée, ses cuisses bondissaient, enserraient ma tête, le bouton raidi frétillait vivement, lâchant sa mousse. Je la léchai ainsi pendant dix minutes, et l'on aurait pu dénombrer ses tendres soupirs, car elle n'arrêtait pas de jouir sous mes lèvres.
 
le bouton raidi frétillait vivement, lâchant sa mousse. Je la léchai ainsi pendant dix minutes, et l'on aurait pu dénombrer ses tendres soupirs, car elle n'arrêtait pas de jouir sous mes lèvres.
 
Quand je quittai ces bords nettoyés par ma langue, ils étaient toujours brûlants ; ces filles rousses ont de véritables volcans sous leurs toi­sons enflammées. Janine m'exprima sa surprise de cette façon délicieuse, mais un peu osée, de tra­vailler au bonheur du con.
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Bientôt, je vis deux ombres de femmes enlacées paraître dans le sentier. Je n'eus pas de doute : c'était Janine et son amie qui venaient de s'aimer à la façon des tourterelles de Lesbie. Je croyais que ce vice charmant ne sévissait que dans les villes, où mondaines et demi-mondaines s'accou­plent dans un collage étroit, quand cette passion leur cuit sous le chat.
 
Eh ! parbleu, voilà la raison de l'eau de Colo­gne ! Janine, la chaude fille, agréablement surprise par les savoureuses caresses de mes lèvres là où elle ne mettait que le doigt, avait été tellement ravie de l'exquisité de ce baiser onctueux, qu'elle n'avait pu résister à faire part à sa chère amie de l'indicible enchantement que lui avait révélé ma langue raffinée. Le petit goût acide leur avait déplu, et elles y avaient remédié en rendant ce coin-là propre et odorant par des bains parfumés.
 
de l'indicible enchantement que lui avait révélé ma langue raffinée. Le petit goût acide leur avait déplu, et elles y avaient remédié en rendant ce coin-là propre et odorant par des bains parfumés.
 
Je me promettais, maintenant que j'avais surpris leur secret, d'approfondir le mystère sous les jupes de Marianne, qui aurait bien mauvaise grâce à faire encore la récalcitrante.
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— Demain ?... Mais je suis pressée, et j'en veux aujourd'hui, ici... tout de suite : je saurai bien t'y forcer...
 
Janine, relevant ses jupes, s'élance sur son amie assise, lui pose son chat enflammé sur la bouche. Celle-ci détourne la tête, mais Janine l'aveugle de ses jupes, cambre ses reins et, de ses deux mains, par-dessus la robe, prend la tête rebelle et de force lui colle son conin sur les lèvres. Y étant parvenue, elle resta un moment immobile, en extase, puis sa croupe se mit à onduler dans un roulement voluptueux, qui se termina par une modulation de longs soupirs.
 
parvenue, elle resta un moment immobile, en extase, puis sa croupe se mit à onduler dans un roulement voluptueux, qui se termina par une modulation de longs soupirs.
 
Elle se retira enfin, dégageant son amie, qui essuyait de son mouchoir ses lèvres couvertes d'écume. Marianne était rouge de confusion.
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— C'est qu'on aurait pu nous surprendre...
 
— Bah ! nous surprendre... Comme tu deviens poltronne, Mariannette !... Tu n'as jamais redouté qu'on nous surprît chez toi...
 
Je restai encore un moment à mon poste d'obser­vation, mais Marianne se refusant à tout nouvel assaut, je m'en allai, regrettant de n'avoir pas, sous la main, de quoi éteindre l'incendie qu'avait allumé, dans ma braguette, cette scène piquante.
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— Ah ! elle t'a dit ça la coquine !... Eh ! oui, ça rentre mais avec des précautions, pour la pre­mière fois. Quand tu y seras faite, tu pourras à volonté t'enclouer en cette posture charmante. Mais puisque tu en veux là-dedans, nous allons en mettre quelques pouces. Prenons cependant une posture plus commode.
 
Je l'installai à genoux devant une chaise, lui faisant présenter le derrière bien proéminent, les fesses écartées. Agenouillé devant la virginité qu'elle m'offrait en holocauste, j'humectai le petit trou rose. Sur mon conseil, elle tira sur les bords, je plantai mon dard dans l'hiatus et, sous la pous­sée, il entra, forçant le muscle. Je l'y laissai un moment, puis je pénétrai au fond et me logeai jusqu'aux poils.
 
je plantai mon dard dans l'hiatus et, sous la pous­sée, il entra, forçant le muscle. Je l'y laissai un moment, puis je pénétrai au fond et me logeai jusqu'aux poils.
 
Je la laissai ainsi, sans fouiller le réduit trop étroit, et je me mis à branler Marianne conscien­cieusement. Le bouton, très sensible à ma rude caresse, frétilla aussitôt ; les parois de l'anus se resserrèrent, le muscle se contracta sur la racine de ma queue, obstruant si bien le passage du foutre chassé des bourses, que son dégorgement plus lent nous en fit une plus longue volupté.
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J'aurais voulu essayer de la baiser, une fois encore, comme elle s'était présentée tout à l'heure, en cette posture bien avantageuse pour offrir le chat à une amie agenouillée, mais je craignais d'être incapable, en ce moment, de mener l'expérience à bout.
 
Je revins, après une bonne heure de repos, et me retrouvai en état. Marianne, à reculons, s'assit sur le membre dressé, que je tenais dans ma main ; écartant bien les bords, la pointe s'y incrusta, puis le gland entra. Elle abaissa sa croupe, engloutissant mon vit dans ses fesses, sous lesquelles je la tenais, voyagea un moment, se dressant sur la pointe des pieds, montant et descendant, pendant que je -lui chatouillais le bouton. Puis, à l'instant de l'extase, se laissant choir sur mes cuisses, elle cria de jouis­sance en tortillant ses fesses sur ma queue englou­tie, qui se dégorgeait, pressurée par les parois rétrécies.
 
mon vit dans ses fesses, sous lesquelles je la tenais, voyagea un moment, se dressant sur la pointe des pieds, montant et descendant, pendant que je -lui chatouillais le bouton. Puis, à l'instant de l'extase, se laissant choir sur mes cuisses, elle cria de jouis­sance en tortillant ses fesses sur ma queue englou­tie, qui se dégorgeait, pressurée par les parois rétrécies.
 
Avant de nous quitter, le soir, nous reprîmes l'expérience, mais cette fois dans l'immobilité complète de la pose. Marianne enferrée jusqu'à la garde, moi la branlant avec vigueur. Elle se tré­moussa bientôt, aspirant ma liqueur par la seule pression du sphincter sur mon membre qui l'écartelait.
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Le lundi suivant, les deux amies arrivèrent ensemble, la Roussotte rayonnant de bonheur. Je les rejoignis bientôt ; Marianne rougit à mon approche, comme si elle se fût trouvée en ma présence pour la première fois. Avant de les sodo­miser, je voulus les voir à l'œuvre dans le tête-bêche qu'elles paraissaient ignorer. C'est cependant un aimable jeu, aussi excitant pour les deux tourte­relles qui s'y livrent, qu'alléchant pour qui en est le témoin.
 
J'étendis un matelas sur le parquet et j'y ins­tallai Marianne, ventre en l'air. Il ne fallait pas songer à lui réserver le dessus, posture où l'on étale son derrière dans toute son indécence, et pour cette première représentation, j'aurais bien perdu mon temps à insister. Je retournai ses jupes, découvrant tout ce qu'il faut pour pratiquer la douce manœuvre. Janine se disposait à prendre place entre les cuisses écartées, devant le chat doré de sa chère amie, selon sa manière accoutumée.
 
place entre les cuisses écartées, devant le chat doré de sa chère amie, selon sa manière accoutumée.
 
— Pas ainsi, ma belle... viens, que je te montre comment deux amies doivent s'entr'aimer.
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Elle dénoua ses superbes cheveux noirs, qui roulèrent sur ses reins, l'enveloppant d'un long manteau de franges qui rendaient plus écarlate sa peau d'ivoire. Je pris ce corps ravissant dans mes bras et le déposai sur mon lit.
 
Je livrai mon premier assaut dans la posture canonique. Ses beaux seins soutenaient ma poitrine sur leurs pointes dressées, tandis que je laissais ma verge entre ses cuisses, appuyant le bout du gland à l'entrée du sanctuaire, l'embrassant sur la bouche, goûtant dans l'immobilité, sur cette chair souple, un plaisir délicieux.
 
ma verge entre ses cuisses, appuyant le bout du gland à l'entrée du sanctuaire, l'embrassant sur la bouche, goûtant dans l'immobilité, sur cette chair souple, un plaisir délicieux.
 
Je sentais l'huis s'entrouvrir sous l'insistance du gland ; je l'y glissai sans le secours des doigts. Les bords bâillants le happèrent, je poussai, mais le logis était si étroit que je mis assez longtemps pour gagner la sombre voûte, et je n'y arrivai que pour y déposer ma décharge, tandis que la petite s'agitait sous moi.
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Arrivés à l'endroit où nous avions fait notre seconde pause, Rose m'invita à la suivre sur le gazon. Mais je n'étais plus en état de la servir. Mais sachant comment s'y prendre pour ranimer une queue défaillante, elle la prit tout entière dans sa large bouche, y logeant jusqu'aux témoins. Ah ! ce ne fut pas long, mon vit grossit, s'allongea, et se trouva si bien là-dedans, que je m'avisai d'y rester comme en un con satiné, et quand je sentis les écluses se rompre, je plongeai le gland jusqu'au fond du gosier pour y vider tout mon foutre.
 
Je voulus retirer ma verge, elle ne la lâcha pas, la gardant dans ses lèvres, excitée par l'ardeur qui la brûlait, et se remit à sucer jusqu'à ce que le sire eût repris sa brillante tenue. Puis elle se coucha, levant ses jupes, s'offrant dans un rut bestial, où je vins l'assaillir comme un mâle affamé. Elle s'enferra elle-même jusqu'à la garde, m'enfermant dans ses puissantes cuisses qui enveloppaient mes fesses nues, tandis que mes mains passées sous son cul en pinçaient la chair jusqu'au sang.
 
eût repris sa brillante tenue. Puis elle se coucha, levant ses jupes, s'offrant dans un rut bestial, où je vins l'assaillir comme un mâle affamé. Elle s'enferra elle-même jusqu'à la garde, m'enfermant dans ses puissantes cuisses qui enveloppaient mes fesses nues, tandis que mes mains passées sous son cul en pinçaient la chair jusqu'au sang.
 
Faisant ensuite sauter le bouton de son corsage je mis à nu ses tétons sur lesquels je me précipitai goulûment.
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L'appât du gain soutint sans doute le courage de la fustigée, qui ne broncha pas malgré la rudesse que je déployai. Loin de chercher à se dérober, elle me tint courageusement ses jupes relevées, tandis que je la fustigeai à tour de bras.
 
Son bijou bâillait grand ouvert, comme dans la soif d'amour. Ses fesses étaient incandescentes. J'en étais excité au plus haut point. La grande fille, avait les larmes aux yeux, qui se jeta alors sur moi, glissant sa main dans ma braguette, où elle cons­tata avec plaisir que le sire était en tenue de combat. Et cette fois, c'est elle qui m'entraîna dans le fourré.
 
avait les larmes aux yeux, qui se jeta alors sur moi, glissant sa main dans ma braguette, où elle cons­tata avec plaisir que le sire était en tenue de combat. Et cette fois, c'est elle qui m'entraîna dans le fourré.
 
La chaleur de sa croupe fit naître en moi le désir de la prendre à la paresseuse. J'eus lieu de m'en louer. Le fourreau qui enfermait mon mem­bre me brûlait. Tous ces excitants décuplèrent notre plaisir, et Rose jouissait pour la troisième fois quand je sentis s'élancer le jet épais de mon foutre qui la foudroya.
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Quand elle passait près de moi, dans l'ombre d'un corridor, je lui prenais la taille, qui se tordait dans mes bras, lui pinçais les joues, mettant un baiser où je pouvais. Mes lèvres trouvaient toujours un coin : l'œil, la joue, l'oreille, quelque­fois la nuque dont les frisons voltigeaient, mais jamais la bouche qui avait le talent de se dérober. Gracieuse me glissait entre les doigts et s'enfuyait comme une biche.
 
Cependant elle ne paraissait pas trop farouche, et hormis sa bouche, elle me laissait me rendre compte de la qualité des trésors qu'emprisonnait son corsage adorablement bombé.
 
et hormis sa bouche, elle me laissait me rendre compte de la qualité des trésors qu'emprisonnait son corsage adorablement bombé.
 
Le quatrième soir, après avoir baisé le bout des doigts de la baronne, j'attendis, blotti dans le couloir, que la soubrette passât devant moi, pour aller déshabiller sa maîtresse. Je l'attrapai au vol, et cette fois, je l'embrassai longuement sur la bouche. Etait-ce parce qu'il faisait nuit, mais elle ne détourna pas la tête, et je sentis que ses lèvres s'appuyaient doucement sur les miennes. Avant de la lâcher, je lui dis :
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Je les vis alors entrer dans le cabinet de toilette, qui était à côté de la chambre que j'occupais. Un autre rayon de lumière me montra encore une serrure qui me servit d'observatoire.
 
J'allai de nouveau m'y poster. La femme de chambre garnit d'eau le bidet, y jetant quelques gouttes de parfum. Madame de K..., la chemise troussée très haut, enjamba la cuvette, et me tour-tournant le dos, m'exhiba un superbe postérieur d'une blancheur de neige. Elle le plongea à demi dans l'eau et la soubrette se mit à lui laver ses char­mants appâts.
 
nant le dos, m'exhiba un superbe postérieur d'une blancheur de neige. Elle le plongea à demi dans l'eau et la soubrette se mit à lui laver ses char­mants appâts.
 
Quand le bain eut pris fin, la baronne se souleva de son siège et je vis une main courir sur sa fente, promener une fine éponge entre les bords vermeils de la vulve, et puis de la petite rosette jusqu'à l'extrémité de la fente, sous la toison.
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Merci de la rivale ! Décidément, la tribade est complète. Parbleu, voilà pourquoi Mirza me montrait les crocs !...
 
La levrette bien éduquée savait ce qu'on atten­dait d'elle ; en deux bonds, avec un happement joyeux, elle sauta sur le con écarlate, plongea son museau entre les cuisses de sa maîtresse, et fit courir son épaisse langue, longue et large sur les chairs palpitantes. La jouissance dût être atroce. La baronne cria et se tordit sur son fauteuil, salive à la bouche, tandis que la soubrette lui frottait rudement le bout des seins.
 
son museau entre les cuisses de sa maîtresse, et fit courir son épaisse langue, longue et large sur les chairs palpitantes. La jouissance dût être atroce. La baronne cria et se tordit sur son fauteuil, salive à la bouche, tandis que la soubrette lui frottait rudement le bout des seins.
 
La séance était finie, sans doute, car Gracieuse se disposait à ramener l'aimable levrette dans sa niche, mais Mirza résistait. Elle ne devait pas avoir son compte, la pauvre bête, car sa maîtresse vint s'agenouiller sur le bord du fauteuil, le corps penché en avant, la chemise en l'air, qui rendait plus éclatante encore, la blancheur du superbe cul arrondi, qu'elle offrait à la langue de la levrette. Mirza se dressa sur ses pattes de derrière, mit celles de devant sur le siège, lécha deux ou trois fois la raie du cul de sa maîtresse, s'arrêtant un peu plus dans le bas, et satisfaite, abandonna la partie.
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L'épreuve touchait à sa fin, il y avait vingt-huit jours, comme un réserviste, que je promenais la jeune veuve, sans avoir jamais été tenté de la séduire. Il me suffisait de songer aux scènes qu'elle jouait avec son chien. J'avais la plus enviable des compensations avec l'accueillante Gracieuse, tou­jours d'une complaisance extrême, et qui voyait, la mort dans l'âme, arriver le terme de nos amours.
 
Le matin du vingt-neuvième jour, jour mémo­rable, je me promenais en pantoufles dans le corridor du premier étage, comptant moissonner quelques baisers sur les lèvres de la chère Gra­cieuse, quand je l'aperçus accoudée à la fenêtre, très intéressée par ce qui se passait dans la cour. Vêtue d'un simple cotillon, elle laissait voir le bas d'une fine jambe, sous la jupe relevée par la cambrure des reins.
 
d'une fine jambe, sous la jupe relevée par la cambrure des reins.
 
Je m'approchai sans bruit jusqu'à cette croupe engageante, me réjouissant à l'avance du petit cri d'effroi que Gracieuse n'allait pas manquer de pousser, quand elle sentirait ma tête se glisser sous ses jupes.
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Gracieuse toute en larmes, me supplia de la prendre chez moi. Dans l'impossibilité de céder à son désir, je la quittai à regret en lui faisant mille promesses.
 
�DERNIERS==DERNIERS MOTS==
 
Je passai quelques jours encore au pays, mais l'hiver n'est guère favorable aux amours champê­tres. Je revis, à la dérobée, quelques-unes de mes aimables baiseuses. La chaude Madelon, qui allait convoler, quelques jours après, en justes noces, me permit de le lui faire neuf fois, durant les trois jours qui précédèrent la cérémonie. Je risquai le paquet, et s'il n'y est pas resté, ce ne sera ni de ma faute, ni de la sienne, car je lui dégorgeai ma semence jusqu'à la dernière goutte, tandis que la chaude fille se tordait sous mon corps, jouissant comme une possédée. Je restais quelquefois une heure sur son corps électrisé, naviguant sans désemparer jusqu'à la troisième décharge.
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FIN
 
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