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sept ans régna à peine dix-huit mois et n’eut jamais rien à démêler avec les populations qui habitaient les bords du Rhin au {{s|VII}} : le choix flotte donc entre les deux premiers. |
sept ans régna à peine dix-huit mois et n’eut jamais rien à démêler avec les populations qui habitaient les bords du Rhin au {{s|VII}} : le choix flotte donc entre les deux premiers. |
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Les inscriptions de Nâckch-i-Roustam et de Châpour, commémoratives du triomphe de Sapor {{rom|I}} sur le malheureux Valérien en 260, celles de Nâckch-i-Redjâb, de Tâkt-i-Bostân et d’Istâkr, qui sont postérieures<ref>Flandin et Coste, ''ouv, cité'', pl. 6, 46, 181, 181 ''bis'', 181 ''ter'', 190, 193 |
Les inscriptions de Nâckch-i-Roustam et de Châpour, commémoratives du triomphe de Sapor {{rom|I}} sur le malheureux Valérien en 260, celles de Nâckch-i-Redjâb, de Tâkt-i-Bostân et d’Istâkr, qui sont postérieures<ref>Flandin et Coste, ''ouv, cité'', pl. 6, 46, 181, 181 ''bis'', 181 ''ter'', 190, 193 ''bis''.</ref>, m’ont fourni, quant à la forme des signes, |
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un spécimen complet des caractères employés sur le bijou de Wolfsheim ; en est-il de même quant à la valeur ? M. A. de Longpérier, dans une lettre qu’il a bien voulu m écrire<ref>15 mai 1873. </ref>, appelle mon attention sur l’archaïsme du {{?|pehlvi}} ({{?}}, R) deux fois reproduit au nom |
un spécimen complet des caractères employés sur le bijou de Wolfsheim ; en est-il de même quant à la valeur ? M. A. de Longpérier, dans une lettre qu’il a bien voulu m écrire<ref>15 mai 1873. </ref>, appelle mon attention sur l’archaïsme du {{?|pehlvi}} ({{?}}, R) deux fois reproduit au nom |
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d’''Artakhschater'') et m’engage en outre à ne pas faire descendre notre inscription plus bas que le règne de Sapor {{rom|II}} (310-380). D’autre part, les études de M. F. Lenormant nous apprennent que, passé l’époque de Narsès (''Narsi'', 297-303), l’épigraphie numismatique n’attribue plus au signe {{?|pehlvi}} que la valeur {{?}}, tandis que l’équivalent |
d’''Artakhschater'') et m’engage en outre à ne pas faire descendre notre inscription plus bas que le règne de Sapor {{rom|II}} (310-380). D’autre part, les études de M. F. Lenormant nous apprennent que, passé l’époque de Narsès (''Narsi'', 297-303), l’épigraphie numismatique n’attribue plus au signe {{?|pehlvi}} que la valeur {{?}}, tandis que l’équivalent |
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