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La divination. — Les animaux sacrés, — Les arbres et les plantes. — Les bois sacrés. — Les temples. — Les statues. — Les prières. — Les libations. — Les sacrifices humains. — La croyance à l’immortalité de l’âme. — L’autre monde. — L’Elysée des Celtes d’Irlande. |
{{AlinéaNégatif|La divination. — Les animaux sacrés, — Les arbres et les plantes. — Les bois sacrés. — Les temples. — Les statues. — Les prières. — Les libations. — Les sacrifices humains. — La croyance à l’immortalité de l’âme. — L’autre monde. — L’Elysée des Celtes d’Irlande.}} |
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Les écrivains de l’antiquité s’accordent à reconnaître la religiosité des Gaulois. Au témoignage bien connu de César qui dit que les Gaulois sont un peuple très adonné aux pratiques religieuses<ref>''{{lang|la|De bello gallico}}'', {{sc|vi}}, 16, {{sc|i}}.</ref>, il faut ajouter ceux de Tite Live<ref>Livre V, ch. {{sc|xxxxvi}}, 3.</ref> et de Denys d’Halicarnasse<ref>''Antiquités Romaines'', {{sc|vii}}, 70.</ref>. Les Celtes étaient les plus habiles des peuples en science augurale<ref>{{sc|Justin}}, 1. XXIV, ch. iv, 3.</ref>, et le Galate Déjotarus passait pour un augure remarquable<ref>{{sc|Cicéron}}, ''{{lang|la|De Divinatione}}, {{sc|i}}, 15, 26-27.</ref>. La divination s’exerçait par divers oiseaux, le corbeau, l’aigle ; même, chez les Bretons, par la course d’un quadrupède, le lièvre<ref>{{sc|Dion Cassius, lxii}}, 6.</ref>. Des oiseaux indiquent à<section end=s2/> |
Les écrivains de l’antiquité s’accordent à reconnaître la religiosité des Gaulois. Au témoignage bien connu de César qui dit que les Gaulois sont un peuple très adonné aux pratiques religieuses<ref>''{{lang|la|De bello gallico}}'', {{sc|vi}}, 16, {{sc|i}}.</ref>, il faut ajouter ceux de Tite Live<ref>Livre V, ch. {{sc|xxxxvi}}, 3.</ref> et de Denys d’Halicarnasse<ref>''Antiquités Romaines'', {{sc|vii}}, 70.</ref>. Les Celtes étaient les plus habiles des peuples en science augurale<ref>{{sc|Justin}}, 1. XXIV, ch. iv, 3.</ref>, et le Galate Déjotarus passait pour un augure remarquable<ref>{{sc|Cicéron}}, ''{{lang|la|De Divinatione}}, {{sc|i}}, 15, 26-27.</ref>. La divination s’exerçait par divers oiseaux, le corbeau, l’aigle ; même, chez les Bretons, par la course d’un quadrupède, le lièvre<ref>{{sc|Dion Cassius, lxii}}, 6.</ref>. Des oiseaux indiquent à<section end=s2/> |
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