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EUGENE R A M B E R T

-1886
{{Centré|<big>EUGÈNE RAMBERT</big>}}
É le 6 avril iS jo près de zMontreux (Suisse), Eugène
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T{ambert, après avoir fait des études de théologie, se consacra
{{Centré|1821-1881}}
à la littérature et fut successivement professeur à FcAcadémie
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de Lausanne et à F École Toly te clinique de Zurich. "Revenu à Lausanne

en 18S1 , il y mourut cinq ans après.
{{lettrine|N|lignes=3}}{{sc|é}} <i>le 6 avril 1830 près de Montreux (Suisse), Eugène
Rambert, après avoir fait des études de théologie, se consacra
à la littérature et fut successivement professeur à l’Académie
de Lausanne et à l’École Polytechnique de Zurich. Revenu à Lausanne
en 1881 , il y mourut cinq ans après.

Eugène Rambert fut avant tout un critique qui unissait la lucidité à
Eugène Rambert fut avant tout un critique qui unissait la lucidité à
l’étendue des connaissances. Il avait néanmoins sa place marquée dans
l’étendue des connaissances. Il avait néanmoins sa place marquée dans
cette ^Anthologie par ses œuvres poétiques, qui, bien que trahissant un
cette Anthologie par ses œuvres poétiques, qui, bien que trahissant un
peu d’effort et de recherche, attestent une grande profondeur de pensée et
peu d’effort et de recherche, attestent une grande profondeur de pensée et
de sentiment. Deux volumes de vers intitulés: Poésies et Chansons
de sentiment. Deux volumes de vers intitulés : </i>Poésies<i> et </i>Chansons
d Enfants ont paru de son vivant; un troisième, Dernières Poésies, a
d’Enfants<i> ont paru de son vivant ; un troisième, </i>Dernières Poésies<i>, a
été publié après sa mort.
été publié après sa mort.

Les œuvres d’Eugène Rambert ont été éditées à Taris par Sando^ et
Les œuvres d’Eugène Rambert ont été éditées à Paris par Sandoz et
Fischbacher, à Lausanne par F. "Rouge.
Fischbacher, à Lausanne par F. Rouge. </i>

A. L.
A. L.

LE VIEUX LËMc4^C
{{Centré|''LE VIEUX LÉMAN''}}
O vieux Léman, toujours le même,
<poem>


Ô vieux Léman, toujours le même,
Bleu miroir du bleu firmament,
Bleu miroir du bleu firmament,
Plus on te voit et plus on t’aime,
Plus on te voit et plus on t’aime,
O vieux Léman !
Ô vieux Léman !
</poem>