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FELIX JE AN 11 I |
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■ 8f7 |
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{{Centré|<big>FÉLIX JEANTET</big>}} |
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• ’ -^v !-• ix Jean tet, né a Saint-Claude-sur ■’Bienne (Jura), a |
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{{lettrine|F|lignes=3}}{{sc|élix Jeantet}}, <i>né à Saint-Claude-sur-Bienne (Jura), a |
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beaux corps tels que les ont évoqués les grands peintres de la nudité, Titien, |
beaux corps tels que les ont évoqués les grands peintres de la nudité, Titien, |
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Rubens, Henner, dont les noms reviennent volontiers sous sa plume. Mais |
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ses vers font plutôt songer, par leur naturalisme hardi, aux belles |
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courtisanes des artistes de la Renaissance qu’aux nymphes si divinement chastes |
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du maître contemporain. |
du maître contemporain. M. Jeantet est de ceux que la Femme obsède plus |
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qu’elle ne les émeut ; ses émotions, du moins, sont plus souvent esthétiques |
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et sensuelles que morales. — Toutefois, en quelques poèmes écrits sous la |
et sensuelles que morales. — Toutefois, en quelques poèmes écrits sous la |
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dictée du Souvenir, cette sensualité se tempère |
dictée du Souvenir, cette sensualité se tempère d’un sentiment exquis ; ainsi |
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dans ces </i>Yeux de Velours<i> dont la tristesse mystérieuse enveloppe et |
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fascine comme l’Antonia d’Hoffmann ou la Ligeia d’Edgar Poë. — Et c’est |
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encore en ces pages, nous semble-t-il, que le poète rend son plus profond |
encore en ces pages, nous semble-t-il, que le poète rend son plus profond |
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hommage |
hommage à la Beauté. |
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poésies de |
Les poésies de M. Félix Jeantet se trouvent chez G. Charpentier et {{Cie}}, |
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A u g u s 1 r U o i< c ri a 1 n . |
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{{d|{{sc|Auguste Dorchain.}}|6}} |