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ARISTIDE FREMINE |
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{{Centré|<big>ARISTIDE FRÉMINE</big>}} |
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^j^T^ë R I S T I D E F R É M I N E , né à ’Bricquebec féMancheJ le 16 jan- |
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V*/=-iV vler I ^37-> esl T&ceveur des Contributions indirectes. Tro- |
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{{Centré|1837}} |
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{{lettrine|A|lignes=3}}{{sc|ristide Frémine}}, <i>né à Bricquebec (Manche) le 16 janvier 1837, est Receveur des Contributions indirectes. |
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de bonne heure à des essais poétiques, et les réunit en un volume : Le |
de bonne heure à des essais poétiques, et les réunit en un volume : Le |
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long du chemin, qu il publia en 1863. Depuis, il a donné la Légende |
long du chemin, qu il publia en 1863. Depuis, il a donné la Légende |
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de Normandie (1886), qui témoigne dune réelle puissance |
de Normandie (1886), qui témoigne dune réelle puissance |
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d’imagination et d’une grande sincérité de sentiment. On lui doit, en outre, de |
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nombreuses pièces de vers d’une expression fort originale qui ont paru |
nombreuses pièces de vers d’une expression fort originale qui ont paru |
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dans diverses |
dans diverses Revues et formeront un troisième volume sous le titre de : |
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Chants de l’Ouest. |
</i>Chants de l’Ouest<i>. |
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Les poésies de |
Les poésies de M. Aristide Frémine ont été éditées par Frédéric Henry |
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et |
et A. Lemerre. |
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A. L. |
A. L. |
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LE T{c4VI^(i |
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{{Centré|''LE RAVIN''}} |
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Au ciel, que le soleil veut percer mais en vain, |
Au ciel, que le soleil veut percer mais en vain, |
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Le plateau d’Aurigny présente ses champs jaunes, |
Le plateau d’Aurigny présente ses champs jaunes, |
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Cependant qu’arrêté dans le fond d’un ravin |
Cependant qu’arrêté dans le fond d’un ravin |
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Je regarde un peu d’eau sourdre entre quelques aunes. |
Je regarde un peu d’eau sourdre entre quelques aunes. |
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</poem> |