« Page:Lemerre - Anthologie des poètes français du XIXème siècle, t1, 1887.djvu/361 » : différence entre les versions
Aucun résumé des modifications |
|||
État de la page (Qualité des pages) | État de la page (Qualité des pages) | ||
- | + | Page corrigée | |
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 7 : | Ligne 7 : | ||
{{lettrine|I|lignes=3}}{{sc|ssu}} <i>d’une noble et ancienne famille du Forez, Victor de |
{{lettrine|I|lignes=3}}{{sc|ssu}} <i>d’une noble et ancienne famille du Forez, Victor de |
||
Laprade naquit à |
Laprade naquit à Montbrison, contrée montagneuse et boisée, |
||
au milieu d’un beau paysage où son esprit reçut le germe de |
au milieu d’un beau paysage où son esprit reçut le germe de |
||
ce sentiment de la nature quil devait répandre, si intense et si grandiose, |
ce sentiment de la nature quil devait répandre, si intense et si grandiose, |
||
Ligne 25 : | Ligne 25 : | ||
s’unissant à Dieu dans l’éternité. |
s’unissant à Dieu dans l’éternité. |
||
Psyché fut bientôt suivie des </i>Odes et Poèmes<i> (1844). C’est là que |
</i>Psyché<i> fut bientôt suivie des </i>Odes et Poèmes<i> (1844). C’est là que |
||
Victor de Laprade a fait sa plus riche et sa plus féconde moisson lyrique ; |
Victor de Laprade a fait sa plus riche et sa plus féconde moisson lyrique ; |
||
c’est là qu’il a chanté, avec cet enthousiasme, cette exubérance de jeunesse |
c’est là qu’il a chanté, avec cet enthousiasme, cette exubérance de jeunesse |
||
que les poètes eux-mêmes n’éprouvent qu’une fois dans leur vie, son can |
que les poètes eux-mêmes n’éprouvent qu’une fois dans leur vie, son {{tiret|can|tique}}</i> |