« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Rose » : différence entre les versions

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| width=33% style="background: #ffe4b5" | <center>< [[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 8, Rosace|Rosace]]</center>
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</div>
[[Image:Rose.Notre.Dame.Paris.png|center]]
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Il existe trois modèles différents de châssis de pierre qui garnissent ces
roses dans le chœur. Nous donnons l'un d'eux (fig. 1); le vide circulaire
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</div>
[[Image:Roses.differentes.epoques.png|center]]
<div class=prose"text">
D'abord, ainsi que nous venons de le dire (exemple A), la projection de
la voûte intérieure se traduit par un plein cintre, quoique les
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</div>
[[Image:Rose.occidentale.Notre.Dame.Mantes.png|center]]
<div class=prose"text">
Voici donc (fig. 3) le tracé de la rose occidentale de Notre-Dame de
Mantes. C'est encore le système de rayons étrésillonnants qui domine
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</div>
[[Image:Rose.occidentale.Notre.Dame.Paris.png|center]]
<div class=prose"text">
Dans cette composition, l'armature de fer nécessaire pour maintenir
les panneaux des vitraux n'avait plus qu'une importance nulle au point
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</div>
[[Image:Detail.rose.occidentale.Notre.Dame.Paris.png|center]]
<div class=prose"text">
La rose occidentale de la cathédrale de Paris, comme nous le disions
tout à l'heure, ne le cède à aucune autre, même d'une époque plus
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</div>
[[Image:Rose.eglise.abbatiale.Braisne.png|center]]
<div class=prose"text">
La rose de la façade de Notre-Dame de Paris fut taillée vers 1220,
comme nous le disions plus haut. Quarante ans plus tard environ (en
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</div>
[[Image:Rose.transsept.sud.Notre.Dame.Paris.png|center]]
<div class=prose"text">
Notre dessin fait voir les modifications profondes qui, en quelques
années, s'étaient introduites dans la composition de ces parties de la
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</div>
[[Image:Rose.transsept.sud.Notre.Dame.Paris.2.png|center]]
<div class=prose"text">
Dans les deux roses nord et sud du transsept de Notre-Dame de Paris,
les deux écoinçons supérieurs sont aveugles, le formeret de la voûte joignant
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</div>
[[Image:Rose.chapelle.chateau.Saint.Germain.en.Laye.png|center]]
<div class=prose"text">
Pour indiquer plus clairement le tracé de la rose de la sainte Chapelle
de Saint-Germain en Laye, nous n'en donnons qu'un des quatre angles,
Ligne 691 :
</div>
[[Image:Rose.eglise.Saint.Nicaise.Reims.png|center]]
<div class=prose"text">
Les accidents qui résultaient de ce mouvement n'ont pas besoin d'être
signalés; ils compromettaient la solidité de tout l'ouvrage, en déterminant
Ligne 710 :
</div>
[[Image:Deformation.rose.medievale.png|center]]
<div class=prose"text">
Le système de la rose champenoise, composée d'un cercle puissant,
clavé, embrevant les compartiments intérieurs formés de pierre en délit,
Ligne 745 :
</div>
[[Image:Rose.Sainte.Chapelle.Palais.Paris.png|center]]
<div class=prose"text">
Lorsqu'on jette les yeux sur ces réseaux de pierre, composés
presque
Ligne 844 :
</div>
[[Image:Rose.eglise.Montreal.Yonne.png|center]]
<div class=prose"text">
Une école du moyen âge fort remarquable, celle de Bourgogne,
semble
Ligne 875 :
</div>
[[Image:Rose.cathedrale.Langres.png|center]]
<div class=prose"text">
On peut classer parmi les roses des œils de 1 à 2 mètres de vide, qui
s'ouvrent dans des gâbles de pignons et sous les murs-tympans de
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</div>
[[Image:Rose.eglise.Royat.png|center]]
<div class=prose"text">
Deux de ces œils provenant de la cathédrale de Paris, tracés en C et
en D, font ressortir au contraire l'importance de la structure dans la