« Un capitaine de quinze ans/II/12 » : différence entre les versions
Contenu supprimé Contenu ajouté
m Bot: Fixing redirects |
mAucun résumé des modifications |
||
Ligne 10 :
==__MATCH__:[[Page:Verne - Un capitaine de quinze ans, Hetzel, 1878.djvu/303]]==
{{c|chapitre XII<br>Un enterrement royal}}
Ligne 133 ⟶ 132 :
Mais l’eau monta. Les dernières têtes disparurent sous le torrent qui reprenait son cours, et rien n’indiqua plus qu’au fond de cette rivière se creusait une tombe où cent victimes venaient de périr en l’honneur du roi de Kazonndé.
La plume se refuserait à peindre de tels tableaux, si le souci de la vérité n’imposait pas le devoir de les décrire dans leur réalité abominable. L’homme en est encore là dans ces tristes pays. Il n’est plus permis de l’ignorer.
|