« Les Fleurs du mal (1861)/L’Irréparable » : différence entre les versions
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{{FleursDuMal|'''[[Les Fleurs du mal]]'''|S<small>PLEEN ET IDÉAL</small>|L’Irréparable|[[L’Invitation au voyage (Les Fleurs du mal)|L’Invitation au voyage]]|[[Causerie]]}}
<poem><br>
'''LIV.
Pouvons-nous étouffer le vieux, le long Remords,
Qui vit, s’agite et se tortille,
Ligne 18 :
Dis-le, belle sorcière, oh ! dis, si tu le sais,
Et pareil au mourant qu’écrasent les blessés,
Que le sabot du cheval froisse,
Dis-le, belle sorcière, oh ! dis, si tu le sais,
Et que surveille le corbeau,
D’avoir sa croix et son tombeau ;
Ce pauvre agonisant que déjà le loup flaire !
Ligne 44 :
Dis, connais-tu l’irrémissible ?
Connais-tu le Remords, aux traits empoisonnés,
Adorable sorcière, aimes-tu les damnés ?
Ligne 63 :
Mais mon cœur, que jamais ne visite l’extase,
Est un théâtre où l’on attend
Toujours, toujours en vain,
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[[Catégorie:Poèmes|Irreparable]]
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[[Catégorie:Charles Baudelaire|Irreparable]]
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