« Maître du monde/12 » : différence entre les versions

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{{chapitre|[[Maître du monde]]|[[Auteur:Jules Verne|Jules Verne]]|XII. La crique de Black-Rock.|}}
 
 
==__MATCH__:[[Page:Verne - Maître du monde, Hetzel, 1904.djvu/145]]==
 
{{c|XII. La crique de Black-Rock.}}
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Nous restions là anéantis, Wells et moi, tandis que John Hart et Nab Walker, non moins dépités, se portaient sur divers points de la crique.
==[[Page:Verne - Maître du monde, Hetzel, 1904.djvu/146]]==
 
Et, cependant, nos mesures étaient bien prises, elles avaient toutes chances de succès. Si, au moment de notre arrivée, les deux hommes, signalés par Wells, eussent été sur la grève, nous aurions pu – en rampant – arriver jusqu’à eux, les surprendre, les saisir avant qu’ils ne se fussent embarqués… S’ils avaient été à bord, derrière les roches, nous aurions attendu leur descente à terre, et il eût été facile de leur couper la retraite !… Vraisemblablement, puisque, le premier jour comme le second, Wells n’avait jamais aperçu que ces deux hommes, c’est que l’Épouvante ne comptait pas un personnel plus nombreux !
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– Rien, dit John Hart.
==[[Page:Verne - Maître du monde, Hetzel, 1904.djvu/147]]==
 
– Vous avez fait le tour de la crique ?…
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– C’est ici que vous l’aviez vu par deux fois ?
==[[Page:Verne - Maître du monde, Hetzel, 1904.djvu/148]]==
 
– Oui, ici, monsieur Strock.
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Est-ce que, décidément, ils n’étaient que deux à bord ?…
 
Wells et moi, John Hart et Nab Walker, après avoir remonté la passe,
=== no match ===
nous rampions le long des roches. Des cavités s’évidaient çà et là. Je m’enfonçai avec Wells dans l’une, les deux agents dans l’autre.
 
Si les hommes de l’Épouvante descendaient sur la grève, ils ne pourraient nous voir, mais nous les verrions, et il y aurait lieu d’agir suivant les circonstances.