« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Stuc » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
Corrections typographique des apostrophes.
m [[]]
Ligne 41 :
absence nous fait croire trop facilement que les monuments carlovingiens,
par exemple, laissaient voir à l’intérieur comme à l’extérieur
leurs petits appareils grossièrement dressés. <span id=Germigny.les.Pres>Loin de là, ces édifices, bien
qu’ils fussent bruts, barbares, étaient recouverts d’enduits et de peintures
à l’intérieur comme à l’extérieur, et ces enduits, parfois décorés de
gravures, d’ornements d’un faible relief, sont de véritables stucs. Un
des exemples de stucages authentiques appartenant à la période carlovingienne
se voit encore dans la petite église de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes G#Germigny.les.Pres|Germigny des Prés]] (Loiret),
dont la construction remonte au commencement du IX<sup>e</sup> siècle<span id="note1"></span>[[#footnote1|<sup>1</sup>]]. Une
mosaïque dans le caractère grec-byzantin décore la voûte de