« La Femme sauvage et la Petite-Maîtresse » : différence entre les versions
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{{Navigateur|[[Petits Poèmes en prose - X. A une heure du matin|
"Vraiment, ma chère, vous me fatiguez sans mesure et sans pitié; on dirait, à vous entendre soupirer, que vous souffrez plus que les glaneuses sexagénaires et que les vieilles mendiantes qui ramassent des croûtes de pain à la porte des cabarets.
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