« Michel Strogoff/Partie 1/Chapitre 3 » : différence entre les versions

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—Oui, sire.
 
—Et un coeurcœur?...
 
—Un coeurcœur d'or.
 
—Il se nomme?...
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qui s'échappait en boucles, quand il la coiffait de la casquette
moscovite. Lorsque sa face, ordinairement pâle, venait à se modifier,
c'était uniquement sous un battement plus rapide du coeurcœur, sous
l'influence d'une circulation plus vive qui lui envoyait la rougeur
artérielle. Ses yeux étaient d'un bleu foncé, avec un regard droit,
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comme un damas dans les eaux de Syrie, il avait une santé de fer,
ainsi que l'avait dit le général Kissoff, et, ce qui était non moins
vrai, un coeurcœur d'or.
 
L'unique passion de Michel Strogoff était pour sa mère, la vieille
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Strogoff, à Omsk, sur les bords de l'Irtyche, là où le vieux chasseur
et elle vécurent si longtemps ensemble. Lorsque son fils la quitta, ce
fut le coeurcœur gros, mais en lui promettant de revenir toutes les fois
qu'il le pourrait,—promesse qui fut toujours religieusement tenue.