« Michel Strogoff/Partie 1/Chapitre 11 » : différence entre les versions

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Royaume-Uni.
 
—Certes oui, cher confrère, et de bon coeurcœur, et c'est ce que j'ai de
mieux à faire! Je vous engage à en faire autant! Parole d'honneur,
c'est trop drôle, ça ne s'est jamais vu!...»
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—Monsieur Korpanoff, répondit Alcide Jolivet, voici une proposition
qui part d'un coeurcœur généreux!
 
—J'ajoute, monsieur, répondit Michel Strogoff, que si je ne vous
offre pas de monter dans mon tarentass, c'est qu'il ne contient que
deux places, et que ma soeursœur et moi, nous les occupons déjà.
 
—Comment donc, monsieur, répondit Alcide Jolivet, mais mon confrère
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dont ils tirent un haut prix.
 
«Tu n'es pas blessée, soeursœur? dit Michel Strogoff, en se précipitant
vers la jeune fille.
 
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Alcide Jolivet se jeta à la tête du cheval, et il faut croire qu'il
avait le poignet solide, car il parvint à le contenir. Son compagnon
et lui avaient vu la rapide manoeuvremanœuvre de Michel Strogoff.
 
«Diable! s'écria Alcide Jolivet, pour un simple négociant, monsieur
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Alcide Jolivet, se tournant alors vers son compagnon:
 
«La soeursœur vaut le frère! dit-il. Si j'étais ours, je ne me frotterais
pas à ce couple redoutable et charmant!»