« La Mort d’un chêne » : différence entre les versions
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Ligne 120 :
De ses arbres sacrés, dans l'ombre enseveli,
J'apprends la patience aux hommes inconnue,
Et mon
Mais l'homme fait la guerre aux forêts pacifiques ;
Ligne 127 :
Où l'âme va cueillir la pensée et l'amour.
Prends ton vol, ô mon
Et les oiseaux du ciel, les rêves infinis,
Les blanches visions qui cherchent les lieux sombres,
Ligne 163 :
Le grand semeur a bien des graines à semer.
La nature n'est pas lasse encor de produire :
Car, ton
Tandis que tu gémis sur cet arbre en ruines,
Ligne 186 :
Ne penche plus ton front sur les choses qui meurent ;
Tourne au levant tes yeux, ton
Les arbres sont tombés, mais les germes demeurent ;
Tends sur ceux qui naîtront tes bras pour les bénir.
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