« La Justice/Veille IX » : différence entre les versions
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Des feux à sa masse arrachés.
Vrai chorège, il défraye et préside les rondes
Dont l'enlace le
Qu'il a, comme un frondeur, lâchés.
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Je préfère au soleil ce tas d'ombre et de fange,
Si, pour les admirer, je dois à ce mélange
Mon
Un astre n'est vivant qu'en cessant d'être étoile :
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Et qui ne dit pas son vrai nom,
Si grandes qu'elles soient, ne l'ont fait toutes seules,
L'homme n'est pas leur
Mais pour mère et nourrice, non !
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Par mes bras affaiblis au repos condamnées,
Me trouveront prêt au départ ;
Et pour l'
J'emporterai, vaincu, l'assurance invincible
D'y survivre en ma noble part !
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Et puisque notre sphère est aux astres unie
Comme un
Et tord un fil du grand métier,
Dans le peu de ce fil que l'homme brise ou lâche,
Ligne 211 :
Et je sais maintenant d'où nous vient l'allégresse
Qui nous monte du
Et l'illumine, chaque fois
Que l'âme, en affrontant ce que la chair abhorre,
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Elle dit : « Gloire à toi dont le zèle conspire
Avec mon vaste règne au bien de mon empire,
Et m'aide à l'
« Ma fille, prends le sceptre ! Il sied que tu partages,
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Dans les derniers vaillants entretient l'espérance,
Et, même en pleine mer, chante la délivrance
Au sombre
Tout homme entend ces voix l'adjurer d'être digne,
Ligne 290 :
Le spectre évanoui de ma pensée infime ;
Mais je sais que l'ébranlement
Qu'en battant pour le bien mon
Humble vibration du meilleur de mon être,
Se propage éternellement !
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