« La Débâcle/Partie 3/Chapitre VI » : différence entre les versions

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ponts et les canons, en endommageant les lignes
télégraphiques et les chemins de fer. L’ennemi,
c’étaient les français ; et le coeurcœur des
habitants bondissait, en lisant la grande
affiche blanche, collée à la porte de la
commandature, qui leur faisait un crime de leur
angoisse et de leurs voeuxvœux. Il était si dur déjà
d’apprendre les nouvelles victoires des armées
allemandes par les hourras de la garnison !
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morsures de la gelée, pour que l’Allemagne entière
y trouvât son tombeau ! Et une angoisse nouvelle
serrait le coeurcœur de Madame Delaherche. Une nuit que
son fils était absent, appelé en Belgique par ses
affaires, elle avait entendu, en passant devant la
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Monsieur Thiers, dont le voyage actuel, au travers
des capitales de l’Europe, est encore un grand
acte de sagesse et de patriotisme. Tous les voeuxvœux
des gens raisonnables l’accompagnent,
puisse-t-il réussir !
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Les pleurs de la jeune femme redoublèrent, elle se
refusait à parler, envahie maintenant d’une
confusion qui lui jetait tout le sang de son coeurcœur
au visage. Et, enfin, balbutiante, se cachant dans
les bras grands ouverts, tendus vers elle :
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fera le reste.
Depuis que Madame Delaherche était entrée,
Gilberte ne la quittait pas des yeux, le coeurcœur
serré d’angoisse. Allait-elle parler, dire ce
qu’elle venait de voir, empêcher son fils de