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de mer, en disant, ''Que l’Euripe me tienne, puisque je n’ai pu le tenir'' ; Ετειδη Αριστοτεληζ ουχ ειλε τον Ευρεπον, Ευρεποζ εχετω τον Αριστοτελην, ''Postquam Aristoteles non prehendit Euripum, Euripus habeat Aristotelem'' (129) ; 5°. qu’il faut recueillir de là que la fortune a été contraire aux impies, non-seulement dans la vraie Religion, mais aussi dans la fausse. |
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(129) Lilian Gregor. Gyraldus, Dialogismo, XXX, pag. 912, Tom. II Oper. Edit. |
(129) Lilian Gregor. Gyraldus, Dialogismo, XXX, ''pag''. 912, ''Tom. II Oper. Edit. ann''. 1696. |
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(B) On trouve plus de trente Aristotes.] Voyez les Dissertations de Jonsius de Historiâ Peripateticâ, vous y trouverez vingt et un Aristotes dans |
(B) On trouve plus de trente Aristotes.] Voyez les Dissertations de Jonsius de Historiâ Peripateticâ, vous y trouverez vingt et un Aristotes dans la première. L’auteur croyait alors n’avoir rien laissé à dire (4) mais il éprouva que la science croît avec l’age. Il eut onze nouveaux Aristotes à produire quand il publia son Traité ''de Scriptoribus Historiae Philosophiae''. II eut aussi quelque chose à ajouter à ce qu’il avait dit de quelques-uns des vingt et un. Ce qui a été rapporté dans la remarque précédente est une de ces additions. |
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(4) Voyez le XII<sup>e</sup> ''chapitre du Traité de Jonsius'', de Historia Peripatetic. |
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