« Après la pluie, le beau temps » : différence entre les versions

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== I - Les fraises ==
{{chapitre|[[Après la pluie le beau temps]]|[[Comtesse de Ségur]]|I - Les fraises|}}
 
 
GEORGES
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== II - La visite ==
{{chapitre|[[Après la pluie le beau temps]]|[[Comtesse de Ségur]]|II - La visite|}}
 
 
Après le dîner, M. Dormère se retira au salon et se mit à lire ses journaux qu’il n’avait pas achevés ; les enfants restèrent dehors pour jouer. Mais Geneviève était triste ; elle restait assise sur un banc et ne disait rien. Georges allait et venait en chantonnant ; il avait envie de parler à Geneviève, mais il sentait qu’il avait été lâche et cruel à son égard.
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== III - Encore les fraises ==
{{chapitre|[[Après la pluie le beau temps]]|[[Comtesse de Ségur]]|III - Encore les fraises|}}
 
 
Le surlendemain, la bonne mit aux enfants leurs beaux vêtements ; ils avaient encore une heure à attendre : Geneviève se mit à lire et Georges s’amusait à ouvrir tous les tiroirs de sa cousine et à examiner ce qu’ils contenaient. En ouvrant une petite armoire il poussa une exclamation de surprise.
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== IV - La bonne se plaint de Georges ==
{{chapitre|[[Après la pluie le beau temps]]|[[Comtesse de Ségur]]|IV - La bonne se plaint de Georges|}}
 
 
M. Dormère ne parla pas à Geneviève de ce qui s’était passé le matin ; il fut avec elle froid et sévère, comme toujours ; avec Georges il fut au contraire plus affectueux que d’habitude. Après avoir fait une petite promenade dans le potager et la basse-cour, il dit à Georges d’aller jouer avec sa cousine.
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== V - Le départ de Georges décidé ==
{{chapitre|[[Après la pluie le beau temps]]|[[Comtesse de Ségur]]|V - Le départ de Georges décidé|}}
 
 
Quand la cloche sonna le dîner, les enfants descendirent dans la salle à manger. M. Dormère les y rejoignit bientôt. À la grande surprise de Geneviève, il s’approcha d’elle et lui sourit amicalement.
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== VI - Ramoramor ==
{{chapitre|[[Après la pluie le beau temps]]|[[Comtesse de Ségur]]|VI - Ramoramor|}}
 
 
Pendant la visite de M. Dormère chez Mme de Saint-Aimar, un événement extraordinaire se passait au château de Plaisance : c’est ainsi que s’appelait la demeure de M. Dormère.
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== VII - Hostilités de Georges contre Rame ==
{{chapitre|[[Après la pluie le beau temps]]|[[Comtesse de Ségur]]|VII - Hostilités de Georges contre Rame|}}
 
 
Quand Ramoramor s’était retiré avec Pélagie et Geneviève, Georges avait suivi son père dans sa bibliothèque, qui était en même temps son cabinet de travail. Il s’assit pensif dans un fauteuil.
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== VIII - Georges se dessine de plus en plus ==
{{chapitre|[[Après la pluie le beau temps]]|[[Comtesse de Ségur]]|VIII - Georges se dessine de plus en plus|}}
 
 
D’après ce que Pélagie avait dit à Rame des sentiments de Georges pour Geneviève, le bon nègre ne se trouvait pas bien disposé pour Georges. Lorsqu’ils se rencontrèrent le lendemain, Rame ôta son chapeau, mais sans dire un mot. Il accompagnait sa petite maîtresse et ne la quittait pas des yeux.
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== IX - Georges entre au collège ==
{{chapitre|[[Après la pluie le beau temps]]|[[Comtesse de Ségur]]|IX - Georges entre au collège|}}
 
 
La veille du départ de Georges pour le collège, M. Dormère et les enfants venaient de déjeuner ; il était une heure et ils se promenaient devant le château, quand ils virent arriver Mlle Primerose.
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== X - Geneviève sans Georges ==
{{chapitre|[[Après la pluie le beau temps]]|[[Comtesse de Ségur]]|X - Geneviève sans Georges|}}
 
 
Le lendemain, quand Geneviève alla voir son oncle, sa première question fut pour Georges.
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== XI - Première sortie de Georges ==
{{chapitre|[[Après la pluie le beau temps]]|[[Comtesse de Ségur]]|XI - Première sortie de Georges|}}
 
 
Le premier mois de l’absence de Georges se passa bien. M. Dormère allait le voir une fois par semaine, le dimanche, et chaque fois il en revenait de mauvaise humeur et disposé à trouver mal tout ce que disait et faisait Geneviève. Il cherchait à dissimuler son peu d’amitié pour elle, mais Pélagie et Rame ne s’y trompaient pas et en causaient souvent entre eux.
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== XII - Mademoiselle Primerose change de logement ==
{{chapitre|[[Après la pluie le beau temps]]|[[Comtesse de Ségur]]|XII - Mademoiselle Primerose change de logement|}}
 
 
Le lendemain de la sortie de Georges et de Jacques, Geneviève, qui avait pensé plusieurs fois à l’invitation qu’avaient acceptée ses amis de Saint-Aimar, demanda à sa bonne pourquoi ils n’étaient pas venus la veille.
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== XIII - Aigres adieux des deux amies ==
{{chapitre|[[Après la pluie le beau temps]]|[[Comtesse de Ségur]]|XIII - Aigres adieux des deux amies|}}
 
 
Mme de Saint-Aimar fut surprise du prompt retour de Mlle Primerose, qui en général prolongeait ses visites jusqu’à l’heure du dîner quand elle allait à Plaisance.
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== XV - Seconde sortie de Georges et de Jacques ==
{{chapitre|[[Après la pluie le beau temps]]|[[Comtesse de Ségur]]|XV - Seconde sortie de Georges et de Jacques|}}
 
 
Un mois environ après l’installation de Mlle Primerose à Plaisance, M. Dormère amena, un mercredi matin, Georges et Jacques ; c’était leur dernière sortie avant les vacances. Quand Geneviève entendit la voiture, elle s’élança à la porte du vestibule pour les recevoir. Georges, descendu le premier, l’embrassa assez froidement ; Jacques la reçut plus affectueusement et l’embrassa à plusieurs reprises.
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== XVI - Portrait de Rame — L’habit rouge ==
{{chapitre|[[Après la pluie le beau temps]]|[[Comtesse de Ségur]]|XVI - Portrait de Rame — L’habit rouge|}}
 
 
M. Dormère reprit, pour ne plus les perdre, sa froideur et son antipathie pour Geneviève. Il en voulait à Rame d’avoir apporté la lettre du Père Recteur, tout en comprenant l’injustice de ce sentiment. Rame aimait tendrement Geneviève, qui lui rendait son amitié, et M. Dormère s’en prenait à Geneviève de l’aversion de Rame contre Georges.
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== XVII - Geneviève fortement attaquée, bien défendue ==
{{chapitre|[[Après la pluie le beau temps]]|[[Comtesse de Ségur]]|XVII - Geneviève fortement attaquée, bien défendue|}}
 
 
Le soir du même jour, Mlle Primerose était seule avec M. Dormère.
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== XVIII - Portrait de Rame corrigé par Georges ==
{{chapitre|[[Après la pluie le beau temps]]|[[Comtesse de Ségur]]|XVIII - Portrait de Rame corrigé par Georges|}}
 
 
Quand le temps des vacances arriva, M. Dormère revint à Plaisance avec Georges, les mains vides de prix, tandis que le père de Jacques l’emmenait chargé de lauriers ; il avait eu des prix dans toutes les compositions, et il avait reçu les compliments et les éloges que méritaient son excellente conduite, son travail persévérant et son exacte obéissance. Cette année il revenait encore une fois l’un des meilleurs élèves de Vaugirard. Geneviève regretta que Georges ne fût pas comme Jacques, mais elle fit son possible pour lui faire le meilleur accueil. Elle lui fit voir ce qu’il ne connaissait pas, et entre autres choses le portrait achevé de Rame.
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== XIX - Faiblesse paternelle ==
{{chapitre|[[Après la pluie le beau temps]]|[[Comtesse de Ségur]]|XIX - Faiblesse paternelle|}}
 
 
MADEMOISELLE PRIMEROSE, ''entrant chez M. Dormère''
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== XX - Plaisance devient désert ==
{{chapitre|[[Après la pluie le beau temps]]|[[Comtesse de Ségur]]|XX - Plaisance devient désert|}}
 
 
La lecture de cette lettre causa à Mlle Primerose une surprise et un mécontentement qu’elle se sentit le besoin impérieux de communiquer à quelqu’un ; elle appela Geneviève et Pélagie.
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== XXI - Années de pensionnat et de collège ==
{{chapitre|[[Après la pluie le beau temps]]|[[Comtesse de Ségur]]|XXI - Années de pensionnat et de collège|}}
 
 
Le projet de Mlle Primerose s’exécuta heureusement ; elle alla voir une maison que lui indiqua Azéma et qui se trouvait tout près de l’Assomption ; les dames du pensionnat consentirent à recevoir Mlle Dormère en externe avec la modification du repas du midi. Geneviève devait arriver à huit heures du matin et ne rentrer chez sa cousine qu’à six
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== XXII - Georges et Geneviève ==
{{chapitre|[[Après la pluie le beau temps]]|[[Comtesse de Ségur]]|XXII - Georges et Geneviève|}}
 
 
Georges avait terminé sa toilette ; il se regardait avec complaisance dans son armoire à glace, et son air satisfait laissait voir qu’il était sûr de son succès.
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== XXIII - Événement fatal ==
{{chapitre|[[Après la pluie le beau temps]]|[[Comtesse de Ségur]]|XXIII - Événement fatal|}}
 
 
Quinze jours se passèrent sans aucun changement dans aucune des situations ; seulement Geneviève, ennuyée des assiduités de Georges et des compliments exagérés qu’il lui adressait, commença à l’éviter autant qu’elle le pouvait sans blesser son oncle ni Georges lui-même. Elle témoignait au contraire une grande tendresse à M. Dormère et cherchait à se rendre aussi utile que possible.
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== XXIV - Scène terrible ==
{{chapitre|[[Après la pluie le beau temps]]|[[Comtesse de Ségur]]|XXIV - Scène terrible|}}
 
 
Geneviève, voyant approcher l’heure du déjeuner, se lava les yeux, but un peu d’eau fraîche, pria ardemment le bon Dieu, la sainte Vierge, son bon Ange de venir à son secours et se sentit un peu remise.
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== XXV - Maladie de Geneviève ==
{{chapitre|[[Après la pluie le beau temps]]|[[Comtesse de Ségur]]|XXV - Maladie de Geneviève|}}
 
 
Pélagie, un peu rassurée par les assurances de Mlle Primerose, s’occupa activement à faire revenir la pauvre Geneviève de son évanouissement ; un gémissement plaintif annonça enfin son retour à la vie ; peu après, elle ouvrit les yeux, regarda autour d’elle ; la connaissance lui revint.
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== XXVI - Lettres de mademoiselle Primerose ==
{{chapitre|[[Après la pluie le beau temps]]|[[Comtesse de Ségur]]| XXVI - Lettres de mademoiselle Primerose|}}
 
 
À l’heure du dîner, M. Dormère fit prévenir ''ces dames'' par Pélagie qu’on les attendait pour dîner.
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== XXVII - Horrible fausseté de Georges ==
{{chapitre|[[Après la pluie le beau temps]]|[[Comtesse de Ségur]]|XXVII - Horrible fausseté de Georges|}}
 
 
En quittant Geneviève, M. Bourdon trouva M. Dormère qui l’attendait à la porte. Il avait entendu la voiture, il avait su, par Mlle Primerose, qu’elle avait amené le médecin, et il l’avait attendu pour savoir au juste l’état de sa nièce.
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== XXVIII - Lettre de Georges. Départ de Geneviève ==
{{chapitre|[[Après la pluie le beau temps]]|[[Comtesse de Ségur]]|XXVIII - Lettre de Georges. Départ de Geneviève|}}
 
 
« Geneviève, votre maladie m’a navré ; j’ai plus souffert que je ne puis le décrire. C’est moi qui suis votre bourreau ; le chagrin, le remords me rongent le cœur. Pour achever mon malheur, je vous aime comme je ne vous ai jamais aimée ; vous êtes devenue l’objet de toutes mes pensées.
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== XXIX - Colère de MM. Dormère père et fils ==
{{chapitre|[[Après la pluie le beau temps]]|[[Comtesse de Ségur]]|XXIX - Colère de MM. Dormère père et fils|}}
 
 
Quand Geneviève rentra chez elle, elle voulut brûler la lettre de Georges, de peur qu’elle ne tombât entre les mains de son oncle ou de quelque personne malveillante. Elle la chercha, mais elle ne la trouva pas. Après avoir cherché partout, elle eut la pensée que Mlle Primerose l’avait peut-être aperçue et emportée ; elle entra chez sa cousine, qui n’y était pas. Pélagie lui dit qu’elle était sortie depuis longtemps pour aller donner des nouvelles de Geneviève aux Saint-Aimar, qui en étaient toujours fort occupés, et qui étaient venus tous les jours pour savoir comment elle allait.
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== XXX - Retour de Jacques ==
{{chapitre|[[Après la pluie le beau temps]]|[[Comtesse de Ségur]]|XXX - Retour de Jacques|}}
 
 
Quelques jours après son retour à Paris, Geneviève se trouva plus calme qu’elle ne l’avait été depuis sa maladie. Un matin, Mlle Primerose entra chez elle de bonne heure ; elle la trouva levée et disposée à reprendre son ancienne habitude d’aller tous les jours à la messe ; mais Mlle Primerose s’y opposa, la trouvant encore trop faible. Geneviève obéit avec sa docilité accoutumée ; elle fit sa toilette et passa au salon.
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== XXXI - Bonheur de Geneviève ==
{{chapitre|[[Après la pluie le beau temps]]|[[Comtesse de Ségur]]|XXXI - Bonheur de Geneviève|}}
 
 
Geneviève passa un heureux après-midi ; le retour inattendu de son ami d’enfance, qu’elle ne croyait pas revoir avant l’automne, avait effacé en partie le souvenir de son triste séjour chez son oncle ; une seule inquiétude troublait sa joie : ce voyage de Rome, qu’elle avait désiré et attendu avec impatience, la séparerait encore de Jacques.
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== XXXII - Jacques et Geneviève s’entendent à l’amiable ==
{{chapitre|[[Après la pluie le beau temps]]|[[Comtesse de Ségur]]|XXXII - Jacques et Geneviève s’entendent à l’amiable|}}
 
 
Quand Mlle Primerose fut partie, Jacques s’approcha vivement de Geneviève.
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== XXXIII - Explication complète ==
{{chapitre|[[Après la pluie le beau temps]]|[[Comtesse de Ségur]]|XXXIII - Explication complète|}}
 
 
Quand Mlle Primerose fut chez elle avec Jacques, elle lui dit :
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== XXXV - Nouvelle inquiétude ==
{{chapitre|[[Après la pluie le beau temps]]|[[Comtesse de Ségur]]|XXXV - Nouvelle inquiétude|}}
 
 
Le lendemain de la visite du notaire, Mlle Primerose reçut de M. Dormère la lettre suivante :
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== XXXVI - La punition ==
{{chapitre|[[Après la pluie le beau temps]]|[[Comtesse de Ségur]]|XXXVI - La punition|}}
 
 
M. Dormère était seul ; il se promenait avec agitation dans sa bibliothèque.
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== XXXVII - Décision imprévue ==
{{chapitre|[[Après la pluie le beau temps]]|[[Comtesse de Ségur]]|XXXVII - Décision imprévue|}}
 
 
On attendait avec impatience des nouvelles de Plaisance ; le notaire fut exact au rendez-vous.
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== XXXVIII - Le mariage ==
{{chapitre|[[Après la pluie le beau temps]]|[[Comtesse de Ségur]]|XXXVIII - Le mariage|}}
 
 
Deux jours après, Geneviève reçut une lettre de Jacques ; il avait enlevé facilement le consentement de ses parents, qui désiraient depuis longtemps que l’amitié d’enfance finît par un heureux mariage. Mais le délai de quinze jours leur parut bien court.
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== XXXIX - Grand chagrin ==
{{chapitre|[[Après la pluie le beau temps]]|[[Comtesse de Ségur]]|XXXIX - Grand chagrin|}}
 
 
À la fin de la bataille, Mgr B… s’approcha d’un monceau de cadavres, parmi lesquels quelques blessés respiraient encore. Après en avoir confessé et absous plusieurs, il reconnut le corps de Rame qui recouvrait un zouave. Il frémit, car il connaissait et affectionnait beaucoup Jacques et Geneviève. Il retira vivement le pauvre nègre, qui ne donnait que de faibles signes de vie : une balle lui avait traversé la poitrine ; sous Rame était Jacques inondé de sang, mais respirant encore.
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== XL - Fin de M. Dormère, de Georges et du livre ==
{{chapitre|[[Après la pluie le beau temps]]|[[Comtesse de Ségur]]|XL - Fin de M. Dormère, de Georges et du livre|}}
 
 
Le voyage fut long, à cause des ménagements que demandaient encore la santé de Jacques et celle de Rame ; mais ils arrivèrent tous sans accident et s’établirent dans leur maison d’Auteuil que Mlle Primerose avait achetée pour Jacques et Geneviève par l’entremise du subrogé tuteur.