« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Cathédrale » : différence entre les versions

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Dans la Guyenne, restée anglaise, excepté Bordeaux qui tente un effort
vers 1225, Périgueux, [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes A#Angouleme|Angoulême]], Limoges, Tulle, [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Cahors|Cahors]], Agen, gardent
leurs vieux monuments.
 
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L’église abbatiale de Saint-Front de Périgueux avait été élevée, vers la
fin du X<sup>e</sup> siècle, à l’imitation de l’église de Saint-Marc de Venise (voy. [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 1, Architecture religieuse|Architecture Religieuse]]). <span id=Cahors>Peu après, ou en même temps peut-être, on élevait
l’église cathédrale de Périgueux<span id="note88"></span>[[#footnote88|<sup>88</sup>]] et l’église cathédrale de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Cahors|Cahors]], toutes deux sans transsepts, et présentant seulement une seule nef avec abside.
 
Nous donnons (40) le plan de ce dernier édifice. Il se compose de deux
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<div class=prose>
L’église abbatiale de Saint-Front était plus étendue et plus riche que les
deux pauvres cathédrales de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Cahors|Cahors]] et de la cité de Périgueux.
 
Dans les provinces de l’ouest, comme en Bourgogne, en Champagne, en