« La Divine Comédie (trad. Lamennais)/Le Paradis/Chant XX » : différence entre les versions

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| [[Dante Alighieri|Dante]]
| <small>[[La Divine Comédie (traduction Lamennais)|La Divine Comédie]]</small><br>'''Le Paradis'''
| '''Chant XX'''
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| [[La Divine Comédie (trad. Lamennais) : Le Paradis - Chant XIX|La Divine Comédie (trad. Lamennais) : Le Paradis - '''Chant XIX''']]
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| [[La Divine Comédie (trad. Lamennais) : Le Paradis - Chant XXI|La Divine Comédie (trad. Lamennais) : Le Paradis - '''Chant XXI''']]
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== Notes ==
 
{{Refa|1}}Les planètes qui, dépourvues de lumière propre, réfléchissent celle du Soleil.
 
{{Refa|2}} L’Aigle, signe de la monarchie universelle des Empereurs.
 
{{Refa|3}} L’amour de Dieu.
 
{{Refa|4}} La sixième planète.
 
{{Refa|5}} Sur le manche où les doigts pressent les cordes, pour former les sons divers.
 
{{Refa|6}} De l’inspiration de l’Esprit saint. Ce vers est obscur, et les commentateurs l’interprètent de diverses manières. Dans quelques manuscrits, on lit ''affetto'' au lieu de ''effetto''.
 
{{Refa|7}} Trajan, qui vengea la mort du fils de la veuve, comme Dante le raconte. — ''Purgat''., ch. X.
 
{{Refa|8}}La vie de l’enfer, d’où le tirèrent, suivant la légende, les prières de saint Grégoire.
 
{{Refa|9}}Ezéchias,
 
{{Refa|10}}Parce qu’une digne prière obtient que ce qui avait été prédit pour aujourd’hui n’arrive que demain, le décret divin n’est pas changé, la prière elle-même et son effet ayant été prévus de Dieu, préordonnés par sou éternel décret.
 
{{Refa|11}} Constantin, abandonnant Rome au Pape, transporta les lois, l’Empire et l’Aigle à Byzance, et les fit Grecs ainsi que lui-même.
 
{{Refa|12}} Comment, à cause de son intention droite et pure.
 
{{Refa|13}}Guillaume II, roi de Sicile, surnommé le Bon.
 
{{Refa|14}}Charles d’Anjou et Frédéric d’Aragon, qui se disputaient, les armes à la main, ce malheureux royaume.
 
{{Refa|15}}Riphée, que Virgile représente comme le plus juste des Troyens, mourut en combattant pour sa patrie contre les Grecs.— Aeneid, II, v. 126.
 
{{Refa|16}}L’image qui, par l’éternelle volonté de Dieu, est le signe de monarchie universelle.
 
{{Refa|17}}« Quoique le désir que j’avais d’éclaircir mes doutes, ''dulibiar'' ''mio'', apparût en moi, sans que je parlasse, comme la couleur à travers le verre qu’elle recouvre. »
 
{{Refa|18}} « Attendre ce qu’il fallait de temps pour que je reçusse la réponse que je désirais. »
 
{{Refa|19}} Les choses dont l’aigle vient de parler.
 
{{Refa|20}} Image de l’eau qui jaillit, pressée par son propre poids.
 
{{Refa|21}} Terme de l’École ; ce qu’une chose est en soi, son essence.
 
{{Refa|22}} ''Le'' ''royaume'' ''des'' ''cieux''.
 
{{Refa|23}} Parce que ce à quoi l’amour et l’espérance la déterminent, est le triomphe de sa bonté même.
 
{{Refa|24}}Le premier des esprits dont se compose l’arc en forme de sourcil, et le cinquième, c’est-à-dire Trajan et Kiphée.
 
{{Refa|25}} Dans la foi, l’un du Rédempteur à venir, l’autre du Rédempteur venu.
 
{{Refa|26}} Sur la terre.
 
{{Refa|27}} La Foi, l’Espérance et la Charité. Ces trois vertus dont le doua la Grâce lui tinrent lieu du baptême.
 
{{Refa|28}}La destruction de Troie précéda, de plus de mille ans, la venue de Jésus-Christ.
 
{{Refa|29}}Tout entière.
 
{{Refa|30}} Riphée et Trajan.