« La Divine Comédie (trad. Lamennais)/Le Purgatoire/Chant III » : différence entre les versions

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{{ChapitreNav
| [[Dante Alighieri|Dante]]
| <small>[[La Divine Comédie (traduction Lamennais)|La Divine Comédie]]</small><br>'''Le Purgatoire'''
| '''Chant III'''
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| [[La Divine Comédie (trad. Lamennais) : Le Purgatoire - Chant II|La Divine Comédie (trad. Lamennais) : Le Purgatoire - '''Chant II''']]
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| [[La Divine Comédie (trad. Lamennais) : Le Purgatoire - Chant IV|La Divine Comédie (trad. Lamennais) : Le Purgatoire - '''Chant IV''']]
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{{Refa|1}}La Justice divine.
 
{{Refa|2}}Dans une seule pensée, la crainte de perdre Virgile.
 
{{Refa|3}}Des eaux qui baignent le pied du mont.
 
{{Refa|4}}Mantoue, patrie de Virgile.
 
{{Refa|5}}Virgile est lui-même de ces autres, et c’est le sujet de sa tristesse et de son trouble.
 
{{Refa|6}}Lieux situés aux deux extrémités de la rivière de Gênes ; Lerici, au levant, près de Sarzane ; Turbia, au couchant, près de Monaco.
 
{{Refa|7}} Les premières de cette troupe d’âmes heureuses alors, par l’assurance de leur salut.
 
{{Refa|8}} Le bord escarpé de la rampe.
 
{{Refa|9}} Elle avait nom Constance, et fut mère de Frédéric, roi de Sicile, et de Jacques, roi d’Aragon.
 
{{Refa|10}}L’archevêque de Cosenza, envoyé par le pape Clément IV au roi Charles, pour le poussera attaquer Manfred.
 
{{Refa|11}}« Avait bien lu dans l’Écriture ce que je viens de dire de la justice divine. »
 
{{Refa|12}} Selon que le raconte Villani, le roi Charles Ier, ne voulant pas que le corps de Manfred, mort excommunié, fût déposé en terre sainte, le fit enterrer au bout du pont de Bénévent, et chaque soldat de l’armée jeta une pierre sur sa fosse. Cette sorte d’amas de pierres s’appelait mora. Villani ajoute, qu’au dire de quelques-uns. l’archevêque de Cosenza, par ordre du Pape, lit enlever de ce lieu, qui était de terre d’Église, et transporter près du fleuve Verde, les os de Manfred.
 
{{Refa|13}} « Ceux qui sont encore sur la terre. »