« Lettres écrites d’Égypte et de Nubie en 1828 et 1829/13 » : différence entre les versions

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Thèbes (Biban-el-Molouk), le 26 mai 1829.
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lieu parfaitement convenable à cette triste destination, une vallée
aride ; encaissée par de très-hauts rochés coupés à pic, ou par des
montagnes en
montagnes en pleine décomposition, offrant presque toutes de larges
==[[Page:Champollion - Lettres écrites d’Égypte et de Nubie en 1828 et 1829.djvu/248]]==
montagnes en pleine décomposition, offrant presque toutes de larges
fentes occasionnées soit par l’extrême chaleur, soit par des
éboulements intérieurs, et dont les croupes sont parsemées de bandes
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Il me tardait, en arrivant à Biban-el-Molouk, de m’assurer que ces
tombeaux, au nombre de seize (je ne parle ici que des tombeaux
 
==[[Page:Champollion - Lettres écrites d’Égypte et de Nubie en 1828 et 1829.djvu/249]]==
conservant des sculptures et les noms des rois pour qui ils furent
creusés), étaient bien, comme je l’avais déduit d’avance de plusieurs
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pierre convenable à sa sépulture et à l’immensité de l’excavation
projetée. Il est difficile de se défendre d’une certaine surprise
 
==[[Page:Champollion - Lettres écrites d’Égypte et de Nubie en 1828 et 1829.djvu/250]]==
lorsque, après avoir passé sous une porte assez simple, on entre dans de
grandes galeries ou corridors couverts de sculptures parfaitement
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générale de ces monuments par la description rapide et très-succincte de
l’un d’entre eux, celui du Pharaon Rhamsès, fils et successeur de
Meïamoun.
Meïamoun. La décoration des tombeaux royaux était systématisée, et ce
==[[Page:Champollion - Lettres écrites d’Égypte et de Nubie en 1828 et 1829.djvu/251]]==
Meïamoun. La décoration des tombeaux royaux était systématisée, et ce
que l’on trouve dans l’un reparaît dans presque tous les autres, à
quelques exceptions près, comme je le dirai plus bas.
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roi devait être le vivificateur, l’illuminateur de l’Égypte, et la
source de tous les biens physiques et moraux nécessaires à ses
habitants ; le Pharaon mort fut donc encore naturellement comparé au
==[[Page:Champollion - Lettres écrites d’Égypte et de Nubie en 1828 et 1829.djvu/252]]==
mort fut donc encore naturellement comparé au
soleil se couchant et descendant vers le ténébreux hémisphère inférieur,
qu’il doit parcourir pour renaître de nouveau à l’orient, et rendre la
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ses prédécesseurs), à toi Osirien, roi seigneur du monde, Rhamsès, etc.,
encore vivant. »
==[[Page:Champollion - Lettres écrites d’Égypte et de Nubie en 1828 et 1829.djvu/253]]==
 
Cette dernière expression prouverait, s’il en était besoin, que les
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Au plafond de ce premier corridor du tombeau, on lit également de
magnifiques promesses faites au roi pour cette vie terrestre, et le
==[[Page:Champollion - Lettres écrites d’Égypte et de Nubie en 1828 et 1829.djvu/254]]==
, et le
détail des privilèges qui lui sont réservés dans les régions célestes ;
il semble qu’on ait placé ici ces légendes comme pour rendre plus douce
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habitants, dont il sera parlé plus loin.
 
A ces tableaux généraux et d’ensemble succède le développement des
==[[Page:Champollion - Lettres écrites d’Égypte et de Nubie en 1828 et 1829.djvu/255]]==
succède le développement des
détails : les parois des corridors et salles qui suivent (presque
toujours les parois les plus voisines de l’orient) sont couvertes d’une
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direction de la course du dieu et indiquer celle qu’il faut suivre dans
l’étude des tableaux, qui offrent un intérêt d’autant plus piquant que,
dans chacune
dans chacune des douze heures de jour, on a tracé l’image détaillée de
==[[Page:Champollion - Lettres écrites d’Égypte et de Nubie en 1828 et 1829.djvu/256]]==
dans chacune des douze heures de jour, on a tracé l’image détaillée de
la barque du dieu, naviguant dans le fleuve céleste sur le ''fluide
primordial'' ou ''l’éther'', le principe de toutes les choses physiques
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la justice céleste ; le coupable est sous la forme d’une énorme truie,
au-dessus de laquelle on a gravé en grand caractère ''gourmandise'' ou
''gloutonnerie'', sans doute le péché capital du délinquant, quelque
==[[Page:Champollion - Lettres écrites d’Égypte et de Nubie en 1828 et 1829.djvu/257]]==
du délinquant, quelque
glouton de l’époque.
 
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se préparent à combattre le grand ennemi du Soleil, le serpent
''Apophis''. Ils s’arment d’épieux, se chargent de filets, parce que le
monstre habite les eaux du fleuve sur lequel navigue le vaisseau du
==[[Page:Champollion - Lettres écrites d’Égypte et de Nubie en 1828 et 1829.djvu/258]]==
sur lequel navigue le vaisseau du
Soleil ; ils tendent des cordes ; Apophis est pris ; on le charge de liens ;
on sort du fleuve cet immense reptile, au moyen d’un câble que la déesse
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scènes précédentes, se trouve sculptée sur les parois des tombeaux
royaux opposées à celles dont je viens de donner une idée
très-succincte. Là le dieu, assez constamment peint en ''noir'', de la
==[[Page:Champollion - Lettres écrites d’Égypte et de Nubie en 1828 et 1829.djvu/259]]==
assez constamment peint en ''noir'', de la
tête aux pieds, parcourt les soixante-quinze cercles ou zones auxquels
président autant de personnages divins de toute forme et armés de
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des ténèbres ; les unes sont fortement liées à des poteaux, et les
gardiens de la zone, brandissant leurs glaives, leur reprochent les
crimes qu’elles ont commis sur la terre ; d’autres sont suspendues la
==[[Page:Champollion - Lettres écrites d’Égypte et de Nubie en 1828 et 1829.djvu/260]]==
la
tête en bas ; celles-ci, les mains liées sur la poitrine et la tête
coupée, marchent en longues files ; quelques-unes, les mains liées
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Dieu grand ; elles habitent les demeures de gloire, celles où l’on vit de
la vie céleste ; les corps qu’elles ont abandonnés reposeront à toujours
dans leurs tombeaux, tandis qu’elles jouiront de la présence du Dieu
==[[Page:Champollion - Lettres écrites d’Égypte et de Nubie en 1828 et 1829.djvu/261]]==
jouiront de la présence du Dieu
suprême. »
 
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Le ciel, sous la forme d’une femme dont le corps est parsemé d’étoiles,
enveloppe de trois côtés cette immense composition : le torse se prolonge
==[[Page:Champollion - Lettres écrites d’Égypte et de Nubie en 1828 et 1829.djvu/262]]==
torse se prolonge
sur toute la longueur du tableau dont il couvre la partie supérieure ; sa
tête est à l’occident ; ses bras et ses pieds limitent la longueur du
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Chaque heure du jour est indiquée sur le corps du Ciel par un disque
rouge, et dans le tableau par douze barques ou ''bari'' dans lesquelles
paraît le dieu Soleil naviguant sur l’Océan céleste avec un cortège qui
==[[Page:Champollion - Lettres écrites d’Égypte et de Nubie en 1828 et 1829.djvu/263]]==
avec un cortège qui
change à chaque heure, et qui l’accompagne sur les ''deux rives''.
 
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rois ayant à leur tête le défunt Rhamsès V, allant au-devant de la bari
du dieu pour adorer sa lumière. Aux 4e, 5e et 6e heures, le même Pharaon
prend part aux travaux des dieux qui font la guerre au grand Apophis
==[[Page:Champollion - Lettres écrites d’Égypte et de Nubie en 1828 et 1829.djvu/264]]==
qui font la guerre au grand Apophis
caché dans les eaux de l’Océan. Dans les 7e et 8e heures, le vaisseau
céleste côtoie les demeures des bienheureux, jardins ombragés par des
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Des légendes hiéroglyphiques, placées sur chaque personnage et au
commencement de toutes les scènes, en indiquent les noms et les sujets,
==[[Page:Champollion - Lettres écrites d’Égypte et de Nubie en 1828 et 1829.djvu/265]]==
en faisant connaître l’heure du jour ou de la nuit à laquelle se
rapportent ces scènes symboliques. J’ai pris copie moi-même et des
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Heure 8e, ''les longues étoiles'', sur le coeur.
 
Heure 9e, les serviteurs des parties antérieures (du quadrupède) ''Menté''antér
==[[Page:Champollion - Lettres écrites d’Égypte et de Nubie en 1828 et 1829.djvu/266]]==
ieures (du quadrupède) ''Menté''
(le lion marin ?) (influent) sur le bras gauche.
 
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j’ai été obligé de donner partout ailleurs le mot à mot du texte
hiéroglyphique.
==[[Page:Champollion - Lettres écrites d’Égypte et de Nubie en 1828 et 1829.djvu/267]]==
 
J’ai dû recueillir, et je l’ai fait avec un soin religieux, ces restes
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n’occupent pas la même place dans les tombes royales. La salle qui
précède celle du sarcophage, en général consacrée aux quatre génies de
l’Amenti, contient, dans les tombeaux les plus complets, la comparution
==[[Page:Champollion - Lettres écrites d’Égypte et de Nubie en 1828 et 1829.djvu/268]]==
comparution
du roi devant le tribunal des quarante-deux juges divins qui doivent
décider du sort de son âme, tribunal dont ne fut qu’une simple image
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Le roi, soleil modérateur, etc., ''n’a point enlevé les biens voués aux
 
==[[Page:Champollion - Lettres écrites d’Égypte et de Nubie en 1828 et 1829.djvu/269]]==
dieux.''
 
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très-belle coupe, a conservé toute sa peinture : la fraîcheur en est
telle qu’il faut être habitué aux miracles de conservation des monuments
de l’Égypte pour se persuader que ces frêles couleurs ont résisté à plus
==[[Page:Champollion - Lettres écrites d’Égypte et de Nubie en 1828 et 1829.djvu/270]]==
ces frêles couleurs ont résisté à plus
de trente siècles. On a répété ici, mais en grand et avec plus de
détails dans certaines parties, la marche du soleil dans les deux
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J’ai omis dans cette description, aussi rapide que possible, d’un seul
des tombeaux royaux, de parler des bas-reliefs dont sont couverts les
piliers qui soutiennent les diverses salles ; ce sont des adorations aux
==[[Page:Champollion - Lettres écrites d’Égypte et de Nubie en 1828 et 1829.djvu/271]]==
des adorations aux
divinités de l’Égypte, et principalement à celles qui président aux
destinées des âmes, Phtha-Socharis, Atmou, la déesse ''Mérésoehar'',
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à la hâte, grossièrement peint, et dans lequel on a déposé le sarcophage
du roi, à peine ébauché. Cela prouve invinciblement ce que j’ai dit au
commencement, que ces rois ordonnaient leur tombeau en montant sur le
==[[Page:Champollion - Lettres écrites d’Égypte et de Nubie en 1828 et 1829.djvu/272]]==
le
trône ; et si la mort venait les surprendre avant qu’il fût terminé, les
travaux étaient arrêtés et le tombeau demeurait incomplet. On peut donc
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en hiéroglyphes linéaires, arrivant presque aux formes ''hiératiques''. Le
Musée royal possède des rituels conçus en ce genre d’écriture de
 
==[[Page:Champollion - Lettres écrites d’Égypte et de Nubie en 1828 et 1829.djvu/273]]==
transition.
 
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dans ses légendes prend les divers surnoms de ''Noubeï'', d’''Athothi'' et
d’''Amoneï'', et dans son tombeau celui d’Ousireï ; mais cette belle
catacombe dépérit chaque jour. Les piliers se fendent et se délitent ;
==[[Page:Champollion - Lettres écrites d’Égypte et de Nubie en 1828 et 1829.djvu/274]]==
chaque jour. Les piliers se fendent et se délitent ;
les plafonds tombent en éclats, et la peinture s’enlève en écailles.
J’ai fait dessiner et colorier sur place les plus riches tableaux de cet
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Les hommes guidés par le Pasteur des peuples, Hôrus, sont figurés au
nombre de douze, mais appartenant à quatre familles bien distinctes. Les
==[[Page:Champollion - Lettres écrites d’Égypte et de Nubie en 1828 et 1829.djvu/275]]==
trois premiers (les plus voisins du dieu) sont de ''couleur rouge
sombre'', taille bien proportionnée, physionomie douce, nez légèrement
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Je me hâtai de chercher le tableau correspondant à celui-ci dans les
autres tombes
autres tombes royales, et en le retrouvant en effet dans plusieurs, les
==[[Page:Champollion - Lettres écrites d’Égypte et de Nubie en 1828 et 1829.djvu/276]]==
autres tombes royales, et en le retrouvant en effet dans plusieurs, les
variations que j’y observai me convainquirent pleinement qu’on a voulu
figurer ici les habitants des ''quatre parties du monde'', selon l’ancien
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Au lieu de l’Arabe ou du Juif, si simplement vêtu dans le tombeau
d’Ousireï, l’Asie a pour représentants dans d’autres tombeaux (ceux de
==[[Page:Champollion - Lettres écrites d’Égypte et de Nubie en 1828 et 1829.djvu/277]]==
représentants dans d’autres tombeaux (ceux de
''Rhamsès-Meïamoun'', etc.) trois individus toujours à teint basané, nez
aquilin, oeil noir et barbe touffue, mais costumés avec une rare
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sculptures qui pourront servir de vignettes à l’histoire des habitants
primitifs de l’Europe, si on a jamais le courage de l’entreprendre. Leur
vue a toutefois quelque chose de flatteur et de consolant, puisqu’elle
==[[Page:Champollion - Lettres écrites d’Égypte et de Nubie en 1828 et 1829.djvu/278]]==
puisqu’elle
nous fait bien apprécier le chemin que nous avons parcouru depuis.
 
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l’extrême chaleur, jusqu’à la première salle. Cet hypogée, d’après ce
qu’on peut en voir, fut exécuté sur un plan très-vaste et décoré de
sculptures du meilleur style, à en juger par les petites portions encore
==[[Page:Champollion - Lettres écrites d’Égypte et de Nubie en 1828 et 1829.djvu/279]]==
portions encore
subsistantes. Des fouilles entreprises en grand produiraient sans doute
la découverte du sarcophage de cet illustre conquérant : on ne peut
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parois, à peine dégrossies, sont couvertes de quelques mauvaises figures
de divinités, dessinées et barbouillées à la hâte.
==[[Page:Champollion - Lettres écrites d’Égypte et de Nubie en 1828 et 1829.djvu/280]]==
 
Son successeur, dont le nom monumental est ''Rhamerri'', ne s’était
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pour recevoir le corps d’une reine, et je dois ajouter, d’une reine
ayant exercé par elle-même le pouvoir souverain, puisque son mari,
quoique portent le titre de roi, ne paraît qu’après elle dans cette
==[[Page:Champollion - Lettres écrites d’Égypte et de Nubie en 1828 et 1829.djvu/281]]==
le titre de roi, ne paraît qu’après elle dans cette
série de bas-reliefs, la reine seule se montrant dans les premiers et
les plus importants. ''Ménéphtha-Siphtha'' fut le nom de ce souverain en
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(Moeris).
 
Ce fait diminue un peu l’odieux de l’usurpation du tombeau de la reine
==[[Page:Champollion - Lettres écrites d’Égypte et de Nubie en 1828 et 1829.djvu/282]]==
du tombeau de la reine
''Thaoser'' et de son mari ''Siphtha'' par leur cinquième ou sixième
successeur, qui ne devait point ; en effet, avoir pour eux le respect dû
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convenablement au roi, ni par leur forme, ni par leur contenu.
 
Le plus grand et le plus magnifique de tous les tombeaux de la vallée
==[[Page:Champollion - Lettres écrites d’Égypte et de Nubie en 1828 et 1829.djvu/283]]==
les tombeaux de la vallée
encore existants fut sans contredit celui du successeur de Rhamerri,
Rhamsès-Meïamoun ; mais aujourd’hui le temps ou la fumée a terni l’éclat
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de ces jolis réduits, les deux fameux joueurs de harpe avec toutes leurs
couleurs, parce qu’ils n’ont été exactement publiés par personne.
==[[Page:Champollion - Lettres écrites d’Égypte et de Nubie en 1828 et 1829.djvu/284]]==
 
En voilà assez sur ''Biban-el-Molouk''. J’ai hâte de retourner à Thèbes,
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européens que l’amour de la science, la guerre, le commerce, le hasard
ou le désoeuvrement ont amenés dans ces tombes solitaires. J’ai
recueilli les plus remarquables de ces inscriptions, soit pour leur
==[[Page:Champollion - Lettres écrites d’Égypte et de Nubie en 1828 et 1829.djvu/285]]==
de ces inscriptions, soit pour leur
contenu, soit pour leur intérêt sous le rapport paléographique. Ce sont
toujours des matériaux[Footnote : A Bém-Hassan-el-Qadim, dans le tombeau
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repasser pieusement ces traits à l’encre noire avec un pinceau, en
ajoutant au-dessous : J.F.C. RST. 1825 (J.-F. Champollion ''restduit'').],
et tout trouve sa place dans
=== no match ===
mes porte-feuilles égyptiens, qui auront
bien quelque prix translatés à Paris..... J’y pense souvent..... Adieu.