« Marie-Claire/13 » : différence entre les versions

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==__MATCH__:[[Page:Audoux - Marie-Claire.djvu/66]]==
 
Il y avait déjà un an qu’il était avec nous,
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dans le confessionnal, et tout aussitôt la voix
marmottante et comme lointaine de M. le
curé me
curé me rendait un peu de confiance. Mais
==[[Page:Audoux - Marie-Claire.djvu/67]]==
curé me rendait un peu de confiance. Mais
il fallait toujours qu’il m’aidât à me rappeler
mes péchés : sans cela, j’en aurais oublié la
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Elle n’était pas bruyante, et nous nous éloignions
toujours des disputes. Nous causions
d
de choses graves. Je lui avouai mon aversion
==[[Page:Audoux - Marie-Claire.djvu/68]]==
dee choses graves. Je lui avouai mon aversion
pour la confession, et combien j’avais peur
de faire une mauvaise communion.
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crus reconnaître la voix de sœur Marie-Aimée,
qui demandait :
==[[Page:Audoux - Marie-Claire.djvu/69]]==
 
— Es-tu malade ?
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j’essuyai ma langue : il n’y avait pas non plus
de sang sur mon mouchoir.
==[[Page:Audoux - Marie-Claire.djvu/70]]==
 
Je n’étais pas très sûre de tout cela, mais
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bien regardée dans les yeux, il se mit à rire, et
dit que j’étais une petite fille très sensible.
<
<noinclude></div></noinclude>
=== no match ===
<noinclude></div></noinclude>