« Michel Strogoff/Partie 2/Chapitre 15 » : différence entre les versions

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<center>'''Conclusion.'''</center>
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savait que la vie du grand-duc était menacée ! Le salut du frère du
czar et de la Sibérie était donc encore dans ses mains.
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En quelques mots, toute cette histoire fut racontée au grand-duc, et
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douleur, tomba aux genoux du grand-duc, qui la releva d’une main,
pendant qu’il tendait l’autre à Michel Strogoff.
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Une heure après, Nadia était dans les bras de son père.
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En même temps que les Tartares étaient refoulés, les assiégés se
rendaient maîtres de l’incendie. Le naphte liquide ayant rapidement
brûlé à la surface de l’Angara, les flammes, concentrées sur les
==[[Page:Verne - Michel Strogoff - Un drame au Mexique, 1905.djvu/346]]==
l’Angara, les flammes, concentrées sur les
maisons de la rive, avaient respecté les autres quartiers de la ville.
 
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l’invasion tartare, et qui, chose rare, ne se contredisaient guère que
sur les points les moins importants.
==[[Page:Verne - Michel Strogoff - Un drame au Mexique, 1905.djvu/347]]==
 
La campagne, du reste, fut mauvaise pour l’émir et ses alliés. Cette
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vont surgir entre Londres et Péking. — Est-ce que vous n’avez pas envie
d’aller voir ce qui se passe par là ?
==[[Page:Verne - Michel Strogoff - Un drame au Mexique, 1905.djvu/348]]==
 
— Eh parbleu, mon cher Blount, s’écria Alcide Jolivet, j’allais vous