« Michel Strogoff/Partie 1/Chapitre 5 » : différence entre les versions

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==__MATCH__:[[Page:Verne - Michel Strogoff - Un drame au Mexique, 1905.djvu/52]]==
 
<center>'''Un arrêté en deux articles.'''</center>
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rendit aux bureaux de la Compagnie, dont les bateaux font le service
entre Nijni-Novgorod et Perm.
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Là, à son grand déplaisir, il apprit que le ''Caucase'' — c’était le nom
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le protecteur ? Non. La rencontrer était difficile. Quant à
la protéger… de quel droit ?
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« Seule, se disait-il, seule au milieu de ces nomades ! Et encore les
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Il lui sembla alors, en l’observant bien, qu’il avait affaire à une
sorte de bohémien, tel qu’il s’en rencontre dans toutes les foires, et
==[[Page:Verne - Michel Strogoff - Un drame au Mexique, 1905.djvu/55]]==
tel qu’il s’en rencontre dans toutes les foires, et
dont il n’est pas agréable de subir le contact ni physique ni moral.
Puis, en regardant plus attentivement dans l’ombre qui commençait à
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l’auberge, afin d’y prendre quelque repos. Il suivit, en s’en allant,
le cours du Volga, dont les eaux disparaissaient sous la sombre masse
d’innombrables bateaux. L’orientation du fleuve lui fit alors
==[[Page:Verne - Michel Strogoff - Un drame au Mexique, 1905.djvu/56]]==
L’orientation du fleuve lui fit alors
reconnaître quel était l’endroit qu’il venait de quitter. Cette
agglomération de chariots et de cases occupait précisément la vaste
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Cinq heures encore à passer à Nijni-Novgorod, cela lui semblait un
siècle. Que pouvait-il faire pour occuper cette matinée, si ce n’était
d’errer comme la veille à travers les rues de la ville. Une fois son
==[[Page:Verne - Michel Strogoff - Un drame au Mexique, 1905.djvu/57]]==
veille à travers les rues de la ville. Une fois son
déjeuner fini, son sac bouclé, son podaroshna visé à la maison de
police, il n’aurait plus qu’à partir. Mais, n’étant point homme à se
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Par surcroît de précaution, Michel Strogoff se rendit d’abord aux
bureaux des steam-boats, et, là, il s’assura que le ''Caucase'' partait
bien à l’heure dite. La pensée lui vint alors pour la première fois
==[[Page:Verne - Michel Strogoff - Un drame au Mexique, 1905.djvu/58]]==
pensée lui vint alors pour la première fois
que, puisque la jeune Livonienne devait prendre la route de Perm, il
était fort possible que son projet fût aussi de s’embarquer sur le
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transport des marchandises, était accumulé sur ce champ de foire.
Fourrures, pierres précieuses, étoffes de soie, cachemires des Indes,
tapis turcs, armes du Caucase, tissus de Smyrne ou d’Ispahan, armures
==[[Page:Verne - Michel Strogoff - Un drame au Mexique, 1905.djvu/59]]==
tissus de Smyrne ou d’Ispahan, armures
de Tiflis, thés de la caravane, bronzes européens, horlogerie de la
Suisse, velours et soieries de Lyon, cotonnades anglaises, articles de
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apportés. Suivant un usage très suivi à la foire de Nijni-Novgorod, en
échange de quelques kopeks charitablement offerts par de bonnes âmes,
les geôliers ouvraient la porte à leurs prisonniers, et c’était par
==[[Page:Verne - Michel Strogoff - Un drame au Mexique, 1905.djvu/60]]==
porte à leurs prisonniers, et c’était par
centaines qu’ils s’envolaient en jetant leurs petits cris joyeux…
 
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Depuis deux heures environ, il courait les rues de la ville pour
revenir invariablement au champ de foire. Tout en circulant entre les
groupes, il observait qu’une réelle inquiétude se montrait chez tous
==[[Page:Verne - Michel Strogoff - Un drame au Mexique, 1905.djvu/61]]==
qu’une réelle inquiétude se montrait chez tous
les marchands venus des contrées voisines de l’Asie. Les transactions
en souffraient visiblement. Que bateleurs, saltimbanques et
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Or, Michel Strogoff se trouvait précisément sur la place centrale,
lorsque le bruit se répandit que le maître de police venait d’être
mandé par estafette au palais du gouverneur général. Une importante
==[[Page:Verne - Michel Strogoff - Un drame au Mexique, 1905.djvu/62]]==
palais du gouverneur général. Une importante
dépêche, arrivée de Moscou, disait-on, motivait ce déplacement.
 
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cause que ce soit.
 
« 2° Ordre à tous étrangers d’origine asiatique de quitter la province
=== no match ===
province
dans les vingt-quatre heures. »