« Michel Strogoff/Partie 1/Chapitre 14 » : différence entre les versions
Contenu supprimé Contenu ajouté
m Typographie |
|||
Ligne 96 :
Et le moujik raconta à Michel Strogoff les divers incidents de la
lutte dont il avait été témoin, l’attaque du bac par les barques
tartares, le pillage du tarentass, le massacre des bateliers !
Mais Michel Strogoff ne l’écoutait plus, et, portant la main à son
Ligne 151 :
il ne reste plus rien !
— Eh bien, j’irai a pied à Omsk chercher un
— Quelques heures de repos encore, et tu seras mieux en état de
Ligne 334 :
Sa mère, la vieille Marfa, était devant lui ! Elle lui souriait, toute
tremblante ! Elle lui tendait les bras !
Michel Strogoff se leva. Il allait
La pensée du devoir, le danger sérieux qu’il y avait pour sa mère et
Ligne 357 :
plus ta mère ?
— Vous vous trompez !
ressemblance vous
La vieille Marfa alla droit à lui, et là, les yeux dans les yeux :
Ligne 365 :
Michel Strogoff aurait donné sa vie pour pouvoir serrer librement sa
mère dans ses bras !
d’elle, de sa mission, de son serment !
ferma les yeux pour ne pas voir les inexprimables angoisses qui
contractaient le visage vénéré de sa mère, il retira ses mains pour ne
Ligne 376 :
— Michel ! cria encore la vieille mère.
— Je ne me nomme pas Michel ! Je n’ai jamais été votre fils ! Je suis
Nicolas Korpanoff, marchand à Irkoutsk !
Et, brusquement, il quitta la salle commune, pendant que ces mots
|