« Contes d’Andersen/Le Jardin du Paradis » : différence entre les versions

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d’une mousse épaisse et ruisselante. Il allait tomber
évanoui de fatigue, lorsqu’il entendit un bruit
é
==[[Page:Andersen - Contes d'Andersen, traduit par Soldi, Librairie Hachette et Cie, 1876.djvu/93]]==
trangeétrange, et aperçut devant lui une grande caverne
éclairée par un feu qui aurait pu rôtir tout un
cerf ; et, en effet, attaché à la broche par les
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« Vous avez là des fils intrépides, dit le prince.
 
— 
==[[Page:Andersen - Contes d'Andersen, traduit par Soldi, Librairie Hachette et Cie, 1876.djvu/100]]==
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Intrépides en effet, répondit-elle&nbsp;; mais je sais
 
—&nbsp;Intrépides en effet, répondit-elle&nbsp;; mais je sais
les contenir. Voici le quatrième qui revient.&nbsp;»
 
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La fée tira à elle quelques branches de l’arbre,
et, un moment après, elle se trouva cachée entièrement
 
«&nbsp;
==[[Page:Andersen - Contes d'Andersen, traduit par Soldi, Librairie Hachette et Cie, 1876.djvu/112]]==
<nowiki/>
Je n’ai pas encore péché dit le prince, et je
 
«&nbsp;Je n’ai pas encore péché dit le prince, et je
n’ai pas l’intention de le faire.&nbsp;»
 
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comme pour lui le Paradis est perdu.&nbsp;»
==[[Page:Andersen - Contes d'Andersen, traduit par Soldi, Librairie Hachette et Cie, 1876.djvu/113]]==
<nowiki/>
 
Et ouvrant les yeux, il vit au loin une étoile
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[[Image:Bertall_ill_Les_Habits_Neufs_du_Grand_Duc_fin.png|center|100px|Vignette de Bertall]]
=== no match ===
de Bertall]]
 
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