« Contes d’Andersen/La Bergère et le ramoneur » : différence entre les versions

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d’où sortaient de petites têtes de cerf avec
leurs grandes cornes. Au milieu de l’armoire on
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voyait sculpté un homme d’une singulière apparence :
il ricanait toujours, car on ne pouvait pas
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avait placés où ils étaient, et, là où on les avait
posés, ils s’étaient fiancés. Aussi l’un convenait
==[[Page:Andersen - Contes d'Andersen, traduit par Soldi, Librairie Hachette et Cie, 1876.djvu/43]]==
très-bien à l’autre&nbsp;: c’étaient des jeunes gens faits
de la même porcelaine et tous deux également
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Mais la petite bergère pleurait en regardant son
bien-aimé le ramoneur.
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« Je t’en prie, dit-elle, aide-moi à m’échapper
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avait été construit tant bien que mal. On y jouait
précisément une comédie, et toutes les dames,
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qu’elles appartiennent à la famille des carreaux
ou des piques, des cœurs ou des trèfles, étaient
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fiancés, et il reste toujours un fond d’amitié après
de pareilles relations, même longtemps après.
==[[Page:Andersen - Contes d'Andersen, traduit par Soldi, Librairie Hachette et Cie, 1876.djvu/46]]==
Non, il ne nous reste pas d’autre ressource que
de nous échapper dans le monde.
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il la soutenait, et lui montrait les meilleurs endroits
où mettre ses petits pieds de porcelaine.
==[[Page:Andersen - Contes d'Andersen, traduit par Soldi, Librairie Hachette et Cie, 1876.djvu/47]]==
 
Ils arrivèrent ainsi jusqu’au rebord de la cheminée
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arrivèrent au poêle. Ce n’était pas certes un voyage
d’agrément, et ils s’arrêtèrent à la porte du poêle
==[[Page:Andersen - Contes d'Andersen, traduit par Soldi, Librairie Hachette et Cie, 1876.djvu/48]]==
sombre pour écouter et apprendre ce qui se passait
dans la chambre.
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nous aurions pu nous épargner toute
cette peine.
==[[Page:Andersen - Contes d'Andersen, traduit par Soldi, Librairie Hachette et Cie, 1876.djvu/49]]==
 
— Oh&nbsp;! Si seulement notre vieux grand-père était
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(1) En Allemagne, on monte souvent à la fenêtre par une marche en bois dans laquelle est pratiqué un tiroir.
=== no match ===
un tiroir.