« Page:Nietzsche - Ainsi parlait Zarathoustra (trad. Albert, 1903).djvu/121 » : différence entre les versions

Marc (discussion | contributions)
Aucun résumé des modifications
Dhfozzano (discussion | contributions)
État de la page (Qualité des pages)État de la page (Qualité des pages)
-
Page non corrigée
+
Page corrigée
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 2 : Ligne 2 :


La beauté du Surhumain m’a visité comme une ombre. Hélas, mes frères ! Que m’importent encore — les Dieux ! —
La beauté du Surhumain m’a visité comme une ombre. Hélas, mes frères ! Que m’importent encore — les Dieux ! —



Ainsi parlait Zarathoustra.
Ainsi parlait Zarathoustra.





<section end=s1/>
<section end=s1/>
<section begin=s2/>{{Centré|DES MISÉRICORDIEUX}}
<section begin=s2/>{{Centré|DES MISÉRICORDIEUX}}





Ligne 19 : Ligne 20 :
Pourquoi lui a-t-il donné ce nom ? N’est-ce pas parce l’homme a eu honte trop souvent ?
Pourquoi lui a-t-il donné ce nom ? N’est-ce pas parce l’homme a eu honte trop souvent ?


mes amis ! Ainsi parle celui qui cherche la connaissance : honte, honte, honte — c’est là l’histoire de l’homme !
Ô mes amis ! Ainsi parle celui qui cherche la connaissance : Honte, honte, honte — c’est là l’histoire de l’homme !


Et c’est pourquoi l’homme noble s’impose de ne pas humilier les autres hommes : il s’impose la pudeur de tout ce qui souffre.
Et c’est pourquoi l’homme noble s’impose de ne pas humilier les autres hommes : il s’impose la pudeur de tout ce qui souffre.